Cérémonie frères jurés Tarik-Vares

Suite à l'échange diplomatique et aux bons procédés ayant suivi, une allaince a été conclues entre Skaerlings et Changpas. Pour seller celle-ci, une cérémonie de frère jurés va être célébrée à Mountstrand, dans une grande plaine entre mer et montagne, car la halle n'est pas encore construite.

Ceci se passe quelques semaines (5-7) après l'envoi des skaers dans els montagnes, par une belle journée clair, mais fraiche, seuls quelques nuages passent dans le ciel et les corbeaux croassent joyeusement dans les arbres environnant.

Certes, la plaine n'est pas dans la ville, seulement un peu à proximité, mais elle a été aménagée pour l'occasion: des grandes tables chargée de bopne riche nourriture skaer, des bouteille du meilleur hydromel, un peu de la piquette pompeusement appelée vin volé chez les Gothiques, quelques liqueurs étranges venant des îles de la confédération rapportées par des marchands, des sangliers et autres viandes rotissant sur des broches, des nombreux foyers et braseros pour se rechauffer les menottes quant la nuit tombera, et bien sur, nombres de tentes et de canapé et bancs pour s'assoir, car les invités sont nombreux, avec une invitation envoyée à l'embassadeur des cités de Tamscala, car ce n'est pas le moment de froisser la grande puissance montante, avec l'immense tente du Kongr, avec les deux grandes chaises, la chaise du Kongr bien sur, et, non moins décorée, la chaise ou pourra s'assoir le Renard-sous-l'eau-vive. Partout, sur les tentes et tout autour du champs, claquent les drapeaux aux couleuyrs de l'allaicne du Septentrion.

Au centre de la plaine, dans un cercle sacré ou se tienne pour le moment 3 des 5 Grands chamans, l'un étant dans une université chez les confédérés et l'autre abscent, un Grand chaman n'obéit que s'il le veut bien, aura lieu la cérémonie.
Partout, pas très visible mais très présent, se tient la garde du Kongr au grand complet: 1500 hommes d'élite qui mourreront pour défendre le Kongr. Fait rare et exeptionnel, un Ulfesker se tient au côtés du Kongr, décourageant toute interruption impromptue d'un simple regard. Dans une tente spéciale se tiennent les Bersekers qui iront rejoindre les rangs des Changpas. Tous ont été volontaires, et même honoré de pouvoir servir ainsi leur Kongr, qui s'il n'est pas un fils d'Odin, est un grand guerrier et mérite ainsi leur rescepet.

Ledit Kongr, pour le moment, se tient avec quelques membre de sa garde, l'Ulfesker, trois chamans (pas les grands chamans, mais tout de même...) quelques membres du grand Thing et l'Hersir de la ville.
Le Kongr a mis des habits adapté: une grand tunique rouge brodée du corbeau Skaerling d'argent, en fils d'argent, avec les manches doublée de peau de loup.
Des braies d'un rouge foncé, simples mais de grande qualité, son épée au côté, mais rangée dans son fourreau, une grande cape bleu foncé, teinte avec des teintures rares venue de l'Est par la confédération, bordée de fils d'argent. A ses doigts, une bague d'argent à droite, qui ne le quitte jamais et à gauche une bague d'or sertie d'un rubis, un symbole que se passe les Kongr depuis la fondation du royaume. Sur sa pointrine il porte un pendentif d'argent, nouvellement fait, avec le symbole de l'allaince du septentrion. Il est certes tête nue, mais sa babre et ses cheveux ont eté lavés puis tressé avec soin.
Tout cela donne un essemble relativement simple, mais riche. Pour le moment, Tarik stefanson est souriant, assez détendu, autant qu'on puisse l'être avant une importante cérémonie. Son regard se porte vers l'Est, d'ou son futur frère juré doit arriver...

L’Hersir fit une légère tape sur l’épaule du Kongr.

« Veuillez me pardonner Kongr, mais…euhm…c’est derrière votre royale personne que cela se passe… »

En effet, comme pour faire écho à la remarque du noble, de l’Ouest se mirent à sonner les cors des changpas. De grands cors graves, taillés dans les cornes de yaks sauvages et bientôt rejoints par des trompes de cuivre, des gongs et des tambours si gros qu’ils ont été montés sur des chars.

Tout ce bruit pour annoncer l’arrivée de la délégation de montagnards. Car voici qu’un long défilé de chariots amorce la descente de la colline qui borde la plaine où se tiendra la rencontre. Tout autour des bêtes de sommes et des véhicules s’affairent un grand nombre d’hommes en arme qui aboient des ordres çà et là dans leur étrange dialecte.

Puis soudain, un groupe de yaks quitte le convoi et se dirige vers le Kongr et sa garde. A mi-chemin, les skaerlingar remarquent que les bêtes sont montées et que leur cavaliers déploient des étendards, ceux de leur tribu et de la jeune Alliance du Septentrion.

A leur tête se trouve Vares, vêtu comme à son habitude du même uniforme serré noir et vert que les soldats qui l’accompagnent et armé tout comme eux de son arc et de son sabre. Arrivés face au Kongr, le chef tribal descend de sa monture et s’incline devant son futur frère juré comme le veux la tradition de ses montagnes natales.

« Mon ami ! Bientôt mon frère ! Comme je suis heureux de te voir enfin ! Vois ! J’ai amené beaucoup de mes gens et beaucoup de présent pour le roi de Skaerling ! Deux armoires pleines de vêtements de laine d’antilope des hauts-plateaux, la plus cher du monde, trois coffres des plus fines étoffes de soie, quatre de nos épices et de nos teintures les plus rares, cinq moutons chargés du sel extrait de nos montagnes! Et bien-sûr les artificiers prêts à servir au sein de ton admirable armée.

Tu excuseras mon aspect poussiéreux, mais je voyage depuis plusieurs semaines sans trouver le temps de me reposer. J’ai dû parcourir les vallées jusqu’à l’extrême ouest de nos territoires -car on rapporte la nouvelle d’une armée de femmes sauvages et farouches en marche- avant de revenir jusqu’ici. Mais enfin je suis arrivé ! »

Tarik sentit une grand moment de solitude quand l'Hersir lui fit la remarque... Le Kongr soupira un grand coup, jura contre Loki et son sens de l'orientation, se retourna pour aller accueillir dignement le Renard-sous-l'eau-vive. Il fut impressionné par le son des cornes, différent de celles utilisée en son pays, et oberva avec attention le convoi et il dut retenir un sourire devant les chevaucheurs de yaks. Mais sourire qui ne fut pas retenu en voyant que c'était le dirigeant Vares.

Il écouta avec attention ses paroles, sourit d'un grand sourire aux présents, fronça les sourcils à l'annonce des femmes sauvages, et, une fois que Vares eu fini son discour, il s'inclina aussi, rendant ainsi son salut et, pour els skaers présents, se mettant à égalité avec le Changpa, envoyant ainsi un rappel pour ceux qui auraient oublié que ce serait bientôt son frère.

Mais dans la tête se pressait déjà des pensée:

-Que de bons présents, ceci est bon, très bon. Je me demande si les vêtements ne seront pasa trop petit... bah, qu'inporte, ce sera bien. Et celà prouve la bonne volonté. Et bon, nous avons nos présents aussi: 4 tonneau de notre meilleur hydromel, trois épées forgées du meilleur acier, et nombre de peaux, et surtout une défense taillée de l'empaleur de la mer.
Mais ces femmes sauvages? Il y a une chose à se méfier... mais pour le moment c'est loin. Et Varesn'a pas l'air pressé. Donc rien de pressé en vue, pasbesoin de lever le ban.-

"Moi de même, Renard sous l'eau-vive, je suis très heureux que vous ayez pu descendre des montagne si nombreux. Nous avons prépare de nombreuses tentes et bancs. Je te remercie grandement pour ces présents, nous avons aussi nombres de choses pour vous... Le liquide des dieux, des lames comme vous n'en avez jaamis vu, des peaux en grand nombre, des autres choses en grand nombre, et une défense d¡'ivoire que vosu ne verrez jamais ailleur.
Venez, venez, que les hommes s'assayent autour des feux, il faut d'abord se réchauffer, se rafraichir et se désaltérer... Venez, la grande tente nous attend. Mes hommes vont s'occuper de vos... bêtes. Yaks c'est cela?
Ho, je suis discourtois. Que je vous présente à mes compagnons:

Harald, le Hersir de la ville de Mountstrand, Urk, un Ulfesker de grand renom, Targar, Yvar et Olf, trois chamans des plus talentueux, et ces gens graves avec les barbes grises sont le membres des grand Thing.
Nous ferons la cérémonie quant mes grands chamans auront fini leur préparaion... venez, nous avons beaucoup à nous dire... et j'attends depuis longtemps l'occasion de vous rencontrer, mon futur frère. Nos sièges nous attendent sous cette tente."

Fit Tarik, pointant du doigt la grande tente du milieu de la plaine.

Divertissant au possible

Vares salua les compagnons de Tarik d’un signe de tête puis suivit à travers le campement après que lui et sa garde eurent confié leurs montures à un groupe de jeunes palefreniers blonds comme la paille.

Partout on s’affairait aux préparatifs ; là on montait tant bien que mal une tente récalcitrante, ici on tentait de rattraper une oie qui fuyait pour sa vie, au loin un homme énorme braillait après un marchand freluquet qui n’avait apparemment pas apporté les bons ingrédients pour préparer un plat local. Le genre de tableau classique précédant des festivités.

Sauf que les changpa ne faisaient de toute évidence pas encore parti du tableau classique. Partout sur leur passage les gens s’arrêtaient et les regardaient curieux mais néanmoins courtois et chaleureux.

Ils arrivèrent finalement à une tente plus grande et décorée que les autres, celle du Kongr dans laquelle il fît entrer Vares et l’invita à prendre l’un des sièges disposés là avant de lui servir une corne d’hydromel.

« Enfin je puis m’asseoir !, s’exclama le chef de tribu. La marche et le dos des yaks m’ont quelque peu éreinté. Et quel breuvage fameux vous avez là ! »

Il se tassa un peu dans son siège et lâcha un soupir avant de reprendre

« Alors mon ami, quelles sont les nouvelles du monde ? Je n’ai guère eu le temps d’écouter les nouvelles ces derniers temps et, de toute façon, quelque chose me dit que tes corbeaux vont plus vite que mes hommes. Allons fait moi le récit de ce qu’il se passe en ces temps troublés, je t’en prie. Je te ferai celui de mon voyage en contrepartie ! »

Tarik vit avec plaisir le Renard-sous-l'eau-vive boire à la corne. Olaf lui avait rapporté une certaine... acétité des moeurs, en tout cas, mais là, Vares buvait, et Tarik sourit. Il immagianit de voyager lui-même sur ces bêtes et frissonna. A part les femmes et les navires, il n'aimait pas monter. Quoique se soit. Le seul cheval volé qu'il avait essayé de monter l'avait piétiné. Et avait fini en tant que rôti au menu du soir.

"L'hydromel est la boisson des Dieux. Et quelle meilleure manière de les honorer qu'en buvant de leur brevage? Je suis heureux que tu apprécie les sièges. Hélàs, les travaux ne sont pas fini, mais la grande halle de Mounstrand sera bientôt finie, et là pourront collaborrer nos deux peuples."

Tarik hélà un serviteur, qu'on lui apporte une coupe de Bredivinn. Il trinqua avec Vares, et commença à parler.

"Hélas... le monde est sombre. Et c'est dans ces occasions qu'on a le plus besoin de ces amis... Et je suis heureux de pouvoir compter le peuple Changpa, ainsi que du fameux Renard-sous-l'eau-vive, parmi eux. Les gothiques semblent décider à vouloir la guerre. Mes ambassadeurs ont eu quelques... problèmes. Mais je n'ai rien de clair, mais mes corbeaux t'avertiront pour te donner des nouvelels en celà.
Comme tu le sais, j'ai un traité avec les cités du Sud, du commerce. Je dois rencontrer Weykyu. Un grand homme aussi, dangereux et ambitieux, sans doute, mais... l'Ordre est la grande menace pour la paix du continent.
Mais le royaume Skaerling est prêt. Et ensemble, mon frère, nous garderons les valheurs des homems libres!
A propos, comment s'est passé le voyage? et quelles sont ces femmes sauvages?
J'ai entendu beaucoup des montagnes Changpa, mais jamais je n'y suis allé... Parlez, mon ami, et ne restez pas silencieux, je me réjouis d'entendre les nouvelels des hautes montagnes."

Vares se rembrunit, l’air songeur, après avoir finit sa corne d’une lampée.

« Les Gothiques ?, songeait-il. Ces fanatiques d’un dogme sanglant qui se prétendent moines ? Ils seraient bien malavisés en se mettant à dos l’Alliance alors qu’ils se remettent à peine d’une défaite cuisante d’il y a deux mois face aux Confédérés et à l’Empire. Peut-être que leur faire franchir une étape dans leur cycle de réincarnations un peu plus tôt que prévu pourrait être amusant…

Allons…Pas de viles pensées belliqueuses. Pas bien.

Et Weylkyu…Ce nom lui disait quelque chose…Un rapport récent.

Mais c’est bien sûr ! Ce parvenu d’insulaire qui s’était hissé au rang de Maharavix d’Illahun par on ne sait trop quelle ristourne douteuse. Notoirement ambitieux et militariste qui plus est…Bah il est pas prêt de se sortir du Samsara celui-là. »

Vares sentit que le silence commençait à peser alors que son futur frère-juré lui avait demandé de lui faire le récit de son périple.

« Oui j’ai ouï dire de ta future rencontre avec le Maharavix d’Illahun, un homme de valeur qu’il est bon d’avoir parmi ces amis, si l’on en croit l’alignée de pendus qui se font picorer les orbites à l’entrée de sa merveilleuse cité florissante.

Pour ce qui est des Gothiques ça ne me surprend pas, ils se mettent à dos le monde entier depuis des éons à cause de leur manières repoussantes.

Quant à nous, nous vivons notre vie tribale comme d’habitude : vivant par et pour la chasse. Une vie simple que nous jugeons préférable à tout les palais et les joyaux du monde.

Enfin ceci tiens pour ceux qui peuplent les hauts-plateaux. Car de nouvelles venues, des femmes guerrières montées sur des rennes qui se nomment elles-mêmes Amazones ont mis les vallées de l’extrême occident à feu et à sang. Elles ont pillé plusieurs villages fortifiés et les quelques monastères qu’elles sont parvenues à trouver. Elles ont au passage émasculé tous les hommes de ces lieux avant de clouer leurs attributs sur un pieu dressé au milieu des ruines fumantes. Une de leurs coutumes charmantes qui en dit long. Ce sont des furies assoiffées de sang qui tuent ou mutilent tout ce qui croise leur route : villages, temples, caravanes, voyageurs. C’est une grave menace pour notre peuple et je ne compte pas laisser tant de sauvagerie aveugle impunie.

Lors de mon voyage j’ai effectué un repérage discret de leur horde car elles progressent lentement et j’ai également recruté des guerriers chez nos voisins Ossans qui ont aussi eu à souffrir de cette migration. Avec leur aide et mes frères Thagis nous allons former un commando et mettre à profit notre art de l’assassinat pour frapper là où ça leur fera très mal, le but étant de les faire quitter nos montagnes et les rediriger vers le Sud.

La guerre semble se préparer de tout les côté mon frère, aussi tâchons de ne pas frapper les premiers et mettre le feu au moulin. Tâchons d’éviter que le sang ne coule d’avantage tant que cela est possible… »

(HRP: J'avais pensé faire des Ossans très hostiles aux Changpas... mais on va dire que les choses se sont tassées depuis le temps. Et que circonstances exeptionnelles... )

"Bah, il est vrai que c'est un homme dur. Je n'approuve pas toutes ces méthodes, mais pour un si jeune, il doit avoir du talent pour pouvoir tenir les cités.
Pour les Gothiques... Nous allons nous occuper de les envoyer dans une autre incarnation. Et avec votre aide.

Des femmes guerrières montées sur des rennes. Je vois. Mauvaiss nouvelles cela. Ce serait bien qu'elles se dirigent sur l'empire plutôt que sur les vallées. Si tu en as besoin urgent, je peux t'envoyer des hommes, mais en montagne... je ne garantis pas de leur efficacités. Sans doute que les... Ossans seront plus efficaces. Mais je n'ai pas entendu que du bien de ce peuple. Un peu... étrange. Mais chaque homme avec nous n'est pas contre nous. Et ceci évite que le sang coule.
J'aurais aimé évité la guerre, mais je crains que...

Mais assez de mauvaises nouvelles. Il y a de l'hydromel dans nos verres, des femmes dansant et des nombreuses choses à manger... Et nous sommes dans un jour bon, un jour qui marque l'union des Changpas et des Skaers, l'alliance du Septentrion.

D'ailleurs, la cérémonie sera bientôt prête pour commencer. Je ne sais pas vraiment si dans vos vallées vous avez une chose semblable, sans doute, mais je vais te faire un petit... avant-gout.

En gros, nous allons être chacun à une extrémité du cercle, et les chamans nous appelerons. Nous allons devoir, enfin, devoir, chacun est libre de faire comme il veut, mais c'est la coutume, se couper la paume de la main, et verser quelques goutes de sang dans la coupe d'hydromel béni disposée au centre. Ensuite, nous devons nous serrer la main coupée, nous jurer frère devant les dieux, quels qu'ils soient, tu peux jurer au nom de tes dieux, se ne sont que les autres facettes de la même face après tout, et paratger la coupe remplie d'hydromel et de sang. Après... c'est la fête. Nos hommes seront sans doute très heureux de découvrir d'autres compagnons de boissons.

Tout celà est mieux que les niuvelels de guerre. Nous en reparlerons demain, j'avoue être un peu troublé, et cela mérite réfléxtion, mais aujord'hui est un jour de fête et c'est cela qui doit prédominé.
As tu des questions, mon futur frère?"