Un curé dans les ennuis

Dans un petit village, si petit qu'il n'a pas de nom, dans la province de Holzschaft, deux ombres marchent dans le crépuscule. Deux ombres envloppées de capes qui semblent se diriger droit vers la chappelle d'ou sortent les quelques paysans après la messe du soir.
Se postant près de la porte, comme si rien ne fut plus naturel, les deux hommes attendirent que tout le monde sorte. Profitant pour détailler de plus près ces deux voyageurs. Le premier est chauve, tout comme le deuxième. Deux chauves donc, et portant chacun un étrage petit anneau de bronze à l'annulaire gauche, gravé de deux corbeaux.
Le premier est grand, avec un barbe blonde et les yeux bleux, il porte des vêtements de voyage usés mais à son côté pend une dague et dans son dos il semble porter une autre arme, mais dissimulée par la cape. Il possède un petit sac qui semble bien rempli.
Le second est brun, chatin plutôt, avec seulement une fine moustache qui lui barre le visage. Il a les traits durs et ces yeux foudroient les paysans sortant en mormonnant de l'église. Il porte de même une dague, mais à son côtñe gauche pend une épée. Comem son compagnon, il porte un sac et des vêtements usés. Chose étrange, il possède la même bague que son compagnon qui plus est au Même doigts. Celui-si semble portant la porter depuis plus longtemps.

Enfin, le dernier paysans sort de l'église qui semble à peu près vite. Les deux hommes entrent donc dans celle-ci et le brun demande d'un voie clair et sans accent.

"Ou est le curé, nous devons lui parler de toute urgence!"

Une voix se fit entendre : «Le père Joseph est partit, il n'était malheureusement plus capable de s'occuper du bien-être spirituel du village. Je suis le nouveau curé, je me nomme Ludovicus.»

Un jeune homme en habit monacal sortit de la sacristie et toisa les 2 chauves. Il faisait 1m75, bien bâti et avait le visage sérieux et austère. Sans l'habit de prêtre, rien ne le différenciait d'un honnête paysan, si ce n'est la lueur, proche de la folie, qu'il avait dans le yeux et qui était commune aux personnes ayant la foi complète en une idéologie et une morale, quel qu'elle soit.

Puis il dit : « Pour être venus ici avec vos armes, vous n'êtes sûrement pas chrétiens! Quelle demande peut être si pressante pour vous faire venir ainsi dans ce lieu sacré?». Si la phrase était interrogatrice, le ton, lui, était clairement réprobateur.

«Qui êtes vous? Que me voulez-vous?» Ajouta-il. Il avait entendu des récits de guerriers lors de sa formation au ceint de l'ordre gothique et les hommes se tenant devant lui avait l'air d'être des skearlings au vu de leur accoutrement mais ils étaient plus civilisé qu'on ne lui avait, dit : ils avait attendu la fin de la messe, donc leur but était peut-être diplomatique. Néanmoins, il avait cru comprendre que leur nation était en guerre contre l'ordre à cause d'un problème d'ambassadeurs porteurs de malédictions qui n'avait pas vraiment eu la vie sauve. Que venaient-ils faire dans le village?

L'homme plus petit fit un signe au plus grand dela tête, et celui-ci s'enpressa de refermer la porte, devant laquelle il resta les bras croisés.

"Qui sommes ne te regarde pas. Sache seulement que je me nomme Osmund, et que mon compagnon se nomme Olaf. Nous somems les frères jurés de Sigurd le Chauve. Si je t'en dis plus, petit homme, je serai obligé de te tuer. Et je ne pense pas que tu le veuille.
Sache que c'est le destin plus que notre envie qui nous a mené ici. Nous avons besoin de toi, petit homme, et tu vas nous aider, de gré ou de force. J'ai besoin d'information sur votre système de soit-disant porteurs de la bonne parole. Votre... inquisition.

Qui se charge des interrogatoires des prisonniers? Ou sont-ils? Nous sommes venus rechercher notre frère Sigurd, et venus venger sa mort si elle est confirmée!
Et sache que nous ne sommes pas lié à notre roi. Nous somems ici seuls, alors... Ne compte pas sur un ordre supérieur pour te sauver. Et Olaf te tranchera en deux si tu tentes de t'enfuir. Parleras tu?"

HRP : Je ne les attendais plus... Ca va être marrant Un conseil Ludovicus : Ne les sous-estime pas.

HRP j'ai mis du temps à trouver qui c'était, Sigurd le chauve ^^

"Sigurd le chauve, l'un des "ambassadeurs" envoyé à la capitale?" Ceux qui, par la pratique de leurs rites sataniques maudits dans l'enceinte des murs, on déclenché la guerre présente? Dit le prêtre , visiblement surpris.

Il marqua une pause et baisa les yeux, en frissonnant de dégout et raconta les bruits qui couraient :
J'ai entendu dire qu'Adolf s'était chargé personnellement des interrogatoires et que l'un des espions y est mort, l'autre à céder et à tout raconter , il a eu une mort plus digne! Ça à fait grand bruit car il fut autorisé un rite d'incinération viking pour tout deux.

Ludovicus releva la tête et regarda les 2 guerriers en face :
Venger la mort de votre frère risque d'être compliqué si vous devez tuer Adolf, ce "démon" est fort et rusé!

Omsund écouta attentivement, les yeux plissé, les dires du curé. A vrai dire, il avait pensé que le prêtre poserait de la résistance. Mais obtenir des informations ainsi était plus facile que de torturer des hommes. Il l'avait déjà fait, mais il n'en éprouvait aucun plaisir, contrairement à ce qui semblait se passer dans les sombres cachots gothiques.

"Nous ne sommes pas sataniques. Et si tu nous insultes encore, je te trancherai les pouces. Ainsi ils sont morts tous les deux... Je le craignais. Et tu me donnes le nom de celui qui les a assassiné. Tu es bien coopératif.
Qui est-il dans l'Ordre? C'est l'Ordenmarschall c'est ça? Le dénommé... Bulzébouthe pour ces hommes. Oui, Bélzébuth je me souviens. Grand, sombre. Oui, je vois.
La situation a Gnosia est... compliquée pour le moment. Nous allons donc rester ici pour le moment. Nous ne toucherons pas à ton village, ni ne te ferons de mal si tu restes coopératif. Mias nous serons sans pitié si tu tentes de nous... trahir.
Nous allons attendre que les Gothiques reviennent et que la situation se calme, ensuite nous agirons. Et toi, prêtre, tu nous aidera de gré ou de force.

Tu as quelque chose à redire?
Olaf, va chercher si ce curé a quelque chose à manger ou boire! J'ai faim!"

HRP : je sais à présent que je n'était pas sensé savoir pour la torture, On fait quoi, on modifie ou on continue comme ça?

HRP: on va dire que tu as reçu ces informations de part d'un maçon; une rumeur qui court. Bisol?

HRP :
Normalement, seuls Bisol, Ludvig et Adolf sont au courant. Mais comme Adolf a fait sortir les maçons de la pièce... Ils n'auraient pas du laisser de fuites, car ils n'y ont aucun intérêt. Ce sont des hommes très conservateurs et adeptes des secrets. Je lance des dés qui indiqueront si fuites il y a eu.
Disons 5 maçons (5 dés) x une chance sur 6 de laisser sortir une info. Un 1 sur un dé 6 = fuite.

Le membre 'Bisol von Sint-Omer' a effectué l'action suivante : Hasard

'Dé 6' : 4, 2, 1, 3, 2

Une fuite, donc je tolère

NB : Je te préviens, ce sera difficile de l'approcher. On reconnait vite un viking. Il faudra être... astucieux Et n'oublie pas que c'est le meilleur des guerriers de l'ordre. On ne le tue pas comme un vulgaire porcelet

Loduvicus déclara : "il me semble que c'est de force que je doit vous aidez, les braves villageois méritent de vivre quelques années encore, ce sont de bons chrétiens". L'argument ne sembla pas être bien approuvé par les vikings.

"La vengeance vous mènera à votre propre destruction donc je n'ai pas de raison de vous cachez ses informations. Mais si vous voulez attendre que la situation se calme, vous ferez bien d'être patient, cette paix m'a l'air d'être instable." Dit le prêtre.

Dans l'église , il n'y avait que de l'eau bénie et des hosties ( également des bougies, si les skraelings avait très faim ).

HRP : désolé pour l'erreur Bisol

HRP : Pas de soucis Ludovicus, je suis très content que tu interviennes dans des rps !

"Rmmpf..."

Fut la seule réponse que les vikings apportèrent à la tentative du curé de les moraliser et de les faire prendre conscience qu'ils n'étaient pas des gentils selon l'église Gothique.
Pendant ce temps, Olaf fouillait l'église, renifla avec interet le vin de messe, mais après reflexion, il se dit qu'un vin béni par le dieu chrétien ne valait pas la peine d'être bu. De même, il s'approcha avec convoitise des osties, et il en mâcha une avec une voracité digne de lui-même. Mais le résultat ne fut pas probant. Bien qu'il envisagea les cierges, il n'était pas -encore- assez affamé pour manger des bougies. C'est donc contrarié qu'il revint vers le curé et son compagnon.

"-Osmund, il n'y a rien à manger. Que des biscuits secs et sans gout et de la pisse qu'on devrait appeler vin. Et je te rappelle que nos provisions ont baissés depuis notre départ de Gnosia.
-Je vois. Prêtre, nous avons un problème. Nous avons faim. Tu es un peu le chef de cette communanuté? Et bien tu vas trouver de la nourriture, de la viande, de la bière et du pain. Et je vais t'accompagner, je serai plus discret. Et pour te rassurer, je ne prends pas mon épée. Elñle risquerait t'attirer les soupçons des villageois. Mais je te planterai cette dague dans les cottes sans remords, compris? Allons y, à moins que tu doives prier pour trouver de la nourriture, jajajaja!"

"Des biscuits sec!" S'exclama Ludovicus. "Se sont des hosties, la symbolisation du corps du christ, sacrifié pour la rédemptions de l'humanité! Leurs consommation signifie pour les chrétiens qu'on le reconnais comme sauveur de l'humanité et fils du dieu unique , quelque soit le nom que les peuples lui donne!"

Puis il se repris, après tout , ce sacrilège avait été commis par un viking ignorant les coutumes chrétiennes (et qui pouvait le tuer en 5 secondes).

Il réfléchit et dit : "J'ai bien de la viande, du pain, des fruits et des légumes chez moi, au presbytère mais je n'ai pas de bière, la seule boisson alcoolisée que j'ai est de l'hydromel doux mais sinon, il y a toujours de l'eau, bien que je pense que ça ne vous satisfera pas."

Puis, se tournant vers Osmund, il lui dit "Ma maison est à cinq minutes d'ici, si vous voulez venir, venez! Mais ne faite pas de mal à la population du village"

HRP : il faudrait peut-être un mj car si les vikings ont été vu par la population, la nouvelle de leur présence risque d'arriver à l'oreille de quelqu'un d'influent : soit au prêtre du village voisin qui le communiquera en haut-lieu ( croyant ou non que je suis de mèche avec eux ) soit aux militaires de l'ordre. Donc il faudrait savoir si un villageois les a vu en sortant de l'église et après, si un autre risque de les voir lors de la visite au presbytère.
Il ne faut pas oublier jamais que les gueux parlent beaucoup. Il faudra aussi savoir en combien de jour la nouvelle se propagera.

HRP: si ça vous convient à tout les deux, je veux bien me charger de cette affaire ^^.

HRP : Pourquoi pas, tu essayerais le boulot de maître avec un petit rp entre 2 vikings et un prêtre dans un petit village, un truc sans importance ... pour le moment .Moi, ça me va.

HRP pareil.

[i]Les 2 skraelings suivirent le prêtre à travers le village pour rejoindre sa maison. Les habitants ayant aperçu ces grands hommes bien bâtis lorsqu'ils sortaient de la messe, ne pouvaient s'empêcher de se demander qui ils étaient et ce qu'ils venaient faire ici dans leur petit village. S'agissait-il d'écuyers cherchant un prêtre pour un mission que leur chevalier leur avait confiée, de pauvres réfugiés dont le village avait été détruit ou bien de cruels ennemis ? Le doute et la rumeur allait sans aucun doute vite se propager dans ce petit village. Mais chacun étant trop couard pour oser sortir de chez soi pour braver la forêt la nuit ou bien les deux étrangers, on allait simplement les sectariser comme on le faisait si bien dans ce genre de petit village, où être différent est un crime passible de la peine de mort.

Arrivé à la maison modeste de Ludovicus, les skraelings ne manquèrent pas de faire quelques remarques sur l'architecture de celle-ci. Ils entrèrent pour y trouver le strict minimum pour vivre; un lit de paille, un écriteau et de l'encre pour écrire, une table ainsi que des "chaises". Ludovicus alla chercher de quoi nourrir ses occupants dans la réserve annexée à sa chaumière. Pendant ce temps les skraelings étaient libres de parler sans oreille indiscrète.

HRP : je t'ai envoyer des info par mp, et je croit qu'à l'origine, un seul viking devais me suivre, non? Bon , après tout, dans tout jeu de rôle, le mj a toujours raison donc moi ça me va ( et ils ne casseront pas mon église )

HRP: en effet, seul Osmund devait suivre. Mais c'est pas grave. Je réponderai quant j'aurai plus de temps.

HRP: d'après moi, ils devraient suivre tous les deux, puisqu'il y a à manger et un lieu où dormir à la clé. De plus, je ne pense pas que le prêtre laisse son église seule avec un skraeling assez énervé.

HRP voilà, je réponds... por fin!

Les deux Skaers suivèrent sans proteester le prêtre. Ou en tout cas, ils n'essayèrent pas d'agresser un villageois qui de toutes façons ne pourraient pas faire le poids contre les deux étrangers. Une fois arriver dans la maison, Olaf se mit près de la porte l'unique sortie de la maison [HRP: important, on laisse pas le prêtre être seul sans contrôle], pendant qu'Osmund inspectait la pièce. Il ne semblait rien y avoir.
Les deux espions, car s'en étaient si il fallait encore le répéter, se regardèrent l'un et l'autre et ce mirent à parler dans une langue étrange.

-Naka, krof?
-Iashi Gnosia frich.
-Okam ik Belzébuth omana tuoa.
-Ia. T Ulfeskers frisshi trachi, nif ash.
-Kao, kom. Yu buao, al empao wala.
-Ia, ishiki frii niash. Trassh trassh trassh.
-Boua noams. Uoamana noako ita...
-Ia. Ihsa frass, jeje!
-Oupa.
-Trash Belzébuth t vraish. T fracass barasji.
-U maçon ouamonoa?
-Nipitidei.

Bon, comme un parle en Thragyptéen et le second la langue parlée dans le sud-ouest de l'empire Tloxolète, vous avez pas compris grand chose, je vais vous faire la traduction. Et oui, ils parlent ces langues. On est espion ou on ne l'est pas.

-Bon, on fait quoi maintenant?
-Je sais pas. Depuis Gnosia c'est le lupanar.
-Il semble donc que ce Bélzébuth mijote un truc pas net.
-Oui. Et les Ulfeskers qui sont parti en chasse et dont on a pas de nouvelles.
-C'est plutôt une bonne nouvelle. Mais ce village. Au début de la guerre.
-Oui, je m'y suis rendu peu après. Apparement ça a été une boucherie sans nom.
-Foutus fauves. Aussi dangereux pour nous que pour eux ça...
-Oui. Mais les corbeaux veillent, jeje.
-Tu parles...
-Il fauderas trouver Bélzébuth, et le tuer. Et la vengeance sera accomplie.
-Et ce maçon qu'il y avait avec lui, enfin si j'ai bien compris?
-Aucune idée.
-Silence, le prêtre revient!

Le prêtre revenant, l'étrange dialogue s'interrompit. Et Olaf, impatiant s'exclama.

"-Pas trop tôt! Tu aurais tarder plus je t'aurais dévoré tout cru! Je n'ai pas mangé autre chose que du pain et des graines sèches depuis des jours.
-En effet. Merci pour ton hospitalité si spontanée... Dit Osmund d'un ton un peu sarcastique. Tu vas maintenant nous conter tout ce que tu sais et qui tu es. Et si tu nous ments... Tu ne veux pas savoir ce qui se passera. Et maintenant, nous mangeons et tu parles!."

Le petit prêtre raconta les ouïs dire à ses "invités". Le repas se passa plutôt bien si on ne prends pas en compte les remarques sur la nourriture d'un certain skraeling... Lorsque vint le moment de se coucher, les skraelings refusèrent de laisser le prêtre seul et dormirent donc avec lui dans la paille de la grange; enfin l'un des deux dormait pendant que l'autre veillait. Le petit matin vînt se poindre et Ludovicus se leva pour commencer la journée avec les matines. Cependant l'un des skraelings avait remarqué durant sa ronde qu'un villageois était parti dans les bois en pleine nuit et n'était pas revenu ce matin. Ne sachant pas si il était courant que l'on sorte la nuit pour aller en pleine forêt (après tout chez eux, c'est juste le chemin du retour d'une bonne soirée à la taverne du coin), il demanda ce que cela signifiait à leur "otage". Celui-ci fût surpris de la nouvelle car il était rare que certains bravent leurs peurs pour partir. Mais se doutant que ce bon chrétien allait sans doute quérir de l'aide au prochain village, il parla simplement aux skraelings des nombreuses habitudes et moeurs du village, ceux-ci après moins de deux minutes d'explication lui sommèrent de se taire. Néanmoins il leur expliqua qu'il devait aller préparer les matines; la première messe de la journée. Maintenant Ludovicus partît à l'église pour la préparer mais qu'allaient donc faire les skraelings...

HRP Désolé pour répondre avec retard, j'ai eu peu de temps ces jours.

Au moment ou Ludovicus allait franchir la porte de son domicile, il sentit qu'une main forte l'attrapait par la nuque. Et s'il se retourna, ce fut pour voir la tête chauve et très contrariée d'Olaf.

"Non je ne crois pas prêtre. Si tu n'y es peut-être pour rien, nous allons être découvert. Alors nous allonspartir, mais tu vas venir avec nous. Tu vas expliquer aux villageois que tu as été appelé à Gnosia pour des affaires urgentes et tu vas charger le bouseux le moins abruti du village de se charger de la messe. Et tu fais erreur si tu penses avoir le choix.
Tu as deux minutes pour te préparer, ensuite tu vas faire ceci. Est-ce clair?"

Si la voie d'Osmund est restée calme et que son ton est relativement poli, on sent toute son irritation et si Ludovicus fait un mauvais choix, il pourrait bien se retrouver une tête en moins...

HRP : le mj peut il lancer un dé pour savoir si mon instinct de survie fonctionne ( impaire ) ou si c'est celui de fanatisme et de sacrifice qui se met en route (paire ) et donner le résultat ici, j'enverais la réaction selon ça.

HRP: désolé, c'est pair. Bonne chance