-Les frères n'ont aucune possession terrestre
-Les fils de soldats euvent entrer à l'académie militaire dés 8 ans
-Les soldats ont un service militaire jusqu'à 40 ans en règle générale
-Une cure de 1 an est proposée pour se réadapter à la vie sociale et fonder une famille
-Pas de mariage tant que le service est en cours, ni de liaisons. Valable pour les religieux aussi.
-On peut cesser d'être frère quand on le désire, mais c'est définitif
-Les soldats sont entre eux tout le temps, de 5h30 à 21h30 : Ils développent des relations d'amitié très tenaces et profondes, qui touche parfois à l'homosexualité bien qu'aucun cas n'aie jamais été recensé officiellement. Cette amitié les garde de devenir des monstres associaux et ajoute de l'unité aux différentes unités
-L'Ordre compte près de 2 millions de frères, ce qui est gigantesque pour une organisation de ce type. Cela est du à la nécessité de former de nombrer soldats, et de ne pas rendre cette caste trop importante. De plus, de nombreux compagnons de l'Ordre ont des tâches que l'Etat ne voulait pas accorder aux autochtones ou à des salariés
-L'Etat voit ses finances gérées par les frères de la caste politique, et plus précisement ceux orientés vers cet aspect du métier. La moitié environ sert à nourrir et loger décement les frères, un quart à payer des ouviers locaux pour des constructions ou d'autres projets nécessitant des mises de fonds (rappelons que les frères ne sont pas payés). Le dernier quart est en réserve, et on y puisse l'aide finançière apportée aux plus démunis.
-Les taxes sont de l'ordre de 25% des revenus de la population, ce qui est très bas pour une système de ce type. Cette générosité est due à l'interdicition faites aux membres de l'Ordre de s'enrichir, et donc, de recevoir cet argent, alors que de nombreux nobles ne s'en privaient pas en Europe.
-De nombreux bureaux sont ouverts à la population de l'Etat pour les diverses réclamations ou projets. Cependant, l'Etat n'est pas une démocratie, et seuls les frères peuvent avoir leur mot à dire, à leur niveau. Les autochtones peuvent par exemple réclamer des canaux d'irrigation, une milice dans leur village, le défrichage d'une zone, l'asséchement d'un marais. Ces deux derniers exemples, classés « modification du territoire » est en réalité une demande d'autorisation. Des experts de l'Ordre vont alors venir examiner les conséquences des changements, et finançer le projet si il est justifié, sans rique, et nécessite une aide finançière.