La mort de Gaetan

Voici un récit qui se déroule dans le futur, mais comme je suis dépressif, j'étais inspiré maintenant pol

Informations prérequises :
-Une sergenterie = 9 chevaliers et un sergent
-Une lieutenanterie = 106 chevaliers, 12 sergents et 1 lieutenant.
-Gaetan était un capitaine réputé pour être le meilleur cavalier de l'Etat et un commandant de cavalerie inégalable
-Robert l'Illuminé est un capitaine très proche de Saint-Omer et l'un des meilleurs commandant d'infanterie de l'histoire.

Durant l'automne de cette année, un évenement tragique plongea l'Etat dans la douleur.

Robert l'Iluminé avait été envoyé en campagne de reconnaissance dans les grandes plaines, et ayant longé la rivière Iggulden, depuis la frontière Nord de l'Etat, en direction de l'Ouest, il arriva dans une vallée encore inexplorée, entourée de montagnes. Son unité comprennait à peine trois sergenteries de cavalerie, dont Gaetan avait la charge, et une lieutenanterie de fantassins, soit un total d'une grosse centaine d'hommes.

Alors que l'armée montait le camp à l'intérieur du cirque, des éclaireurs aperçurent des guerriers quitter leurs refuges, dans les montagnes du défilé permettant d'accéder à la vallée.

Comprenant qu'ils pouvait donner l'alerte, Robert était perdu. Les gothiques s'étaient enfonçés près de 10km dans le cirque, et l'on venait d'apprendre au même instant qu'une armée de l'Empire était en mouvement à moins de 5km de l'entrée de la vallée. Ils ne pouseraient évidement pas en direction des chevaliers, pusique les rapports indiquaient qu'ils suivaient une route dont la trajectoire s'éloignait radicalement de la postion de l'Ordre.

Si les montagnards parvennaient à avertir le commandant impérial, Robert et ses hommes eut étés massacrés sans l'ombre d'un doute.

Il était toutefois impensable de les rattraper, ils avaient déjà trop d'avance.

Déjà, le capitaine dictait ses ordres de résistance et écrivait des messages à confier à des cavaliers pour prévenir l'Etat de ce désastre.

C'est lorsqu'il voulut livrer ces messages à leurs porteurs qu'il apprit qu'ils n'étaient plus dans le camp. Des hommes affirmaient que Gaetan avait rassemblé ses hommes pour tenter l'impossible : rattrapper la garnison ennemie et l'annéhantir à tout pris.

Le rude commandant, que nul n'avait jamais vu gémir ou verser une larme éclatta alors en sanglots, déchira violement ses lettres, et s'enferma dans sa tente.

Gaetan versa lui aussi une larme en songeant à son sacrifice, et à celui de ses hommes, qui l'avaient toujours accompagné dans toutes ses batailles, qui avaient versé tant de sang pour l'Etat.

Gorges nouées, joues humides et chaudes de larmes, les cavaliers chevauchaient de toutes leur forces, poussant leurs fidéles montures, dépourvues d'armures poour augmenter leurs chances. Ils savaient qu'ils devraient combattre à pied, et exténués, et qu'ils ne reverraient sans doute jamais leurs compagnons. De petits sourires s'affichaient encore sur leurs faces lorsque leurs regards se croisaient, mais leurs yeux étaient voilés et résignés.

Ils allaient rattraper leurs adversaires, et tenter le tout pour le tout lorsque, au détour d'une forêt, l'armée ennemie apparu, en colonne. Se dirigeant toujours résolument vers le Nord, elle n'avait pas encore étée avertie.

Une lieue la séparait encore des fugitifs, lesquels étaient à même distance de Gaetan et de ses hommes.

Déjà, des contigents se détachaient de la colonne pour se porter vers les messagers. Tout semblait vraiment perdu, cependant, talonnant leurs montures plus violement encore, les chevaliers parvinrent à dépasser leurs cibles de quelques centaines de mètres, s'interposant entre l'armée et eux. Sautant à bas de leurs étalons, ils les égorgèrent simultanément comme ils savaient qu'ils devaient le faire en pareille situation. Pas un ne trembla au moment d'ôter la vie à son compagnon de combat, leur résolution était trop forte.

Lentement, les 31 chevaliers se tournèrent vers les messagers, s'alignèrent dans un mouvement parfaitement synchronisé, et tout ensemble, baissèrent la visière de leur heaume, dégainèrent leurs lames d'acier, rabattirent leurs boucliers devant leurs torses, et se mirent en marche.

Indécis, la centaine de montagnards finit par les charger.

C'était une bataille perdue d'avance, mais la rage des gothiques qui se savaient des héros et des martyrs était si forte, leur synchronisation si parfaite qu'on eut dit une seul homme, que la sort en fut autrement. Les troupes impériales arrivèrent dans leurs dos alors que seuls douze hommes étaient encore debout, mais les chevaliers eurent encore la force de ne pas protéger leurs arrières pour achever la trentaine de messagers restant. Ce fut un massacre. Gaetan, percé de toutes part, tomba au sol aux pieds de ceux qu'il avait tenté d'éliminer, se releva encore malgré les coups qui pleuvaient sur son corps mutilé, vascilla sur ses jambes qui avaient temps de fois chevauché des destriers, et hurla dans son dernier soupir "Force et Honneur" en brandissant son épée au dessus de sa tête qui roula au sol un instant plus tard.

L'Empire était désormais averti de la situation, et l'armée ennemie modifia instantanément sa trajectoire en conséquence.

Dans la vallée, la situation venait de changer, car un col accesible avait été trouvé dans les montagnes du côté ouest, en direction de l'Etat. En abandonnant la matériel, les chevaliers pouvaient s'échapper si ils agissaient vite.

Robert était brisé. Un de ses plus proches amis venait de se sacrifier en vain, et lui, ce lâche de capitaine de l'Ordre allait s'échapper et fuir tel un animal éffarouché.

Il renvoya ses hommes et les confia au lieutenant, leur expliquant qu'il allait venger la mort de Gaetan et que cent ennemis pérriraient pour chacun des coups que son ami avait reçu. Refusant de laisser leur général se sacrifier seul, les fantassins décidèrent d'un commun accord à se battre aux côtés de leur chef.

Eclattant en sanglots, le capitaine comprit qu'il ne pouvait se résigner à sacrifier d'autres hommes inutilement, et se promit de venger la mort du cavalier par une victoire éclattante et sanglante. Il serra chacun des hommes dans ses bras, balbutia tel un gros ours, et les obligea à fuir avec lui par ce col.

Le gros fou lol!

Comment tu inventes tout ça toi, mdr ? Pas moyen quoi. Je voulais faire le gros chaud moi, c'est quoi ces lâches là, il fallait les massacrer :ouiouioui:

Notez, un petit commentaire de la part des autres ferait plaisir aussi Laughing

OK

Pourquoi t'est dépressif, toi ?
On va se choper que des histoires de la fin glorieuse de l'Ordre. Pfff...

Et pour un bon équilibre du jeu, il vaut mieux dire : C'est libre maintenant : à vous de créer l'histoire (grâce aux gn)

Je sui dépressif car je suis dans un pays pourris sans amis et que je no-life trop à mon goût.
Et, oui, je sais, mais de toutes façon, on va quand même jamais tuer de faux-joueurs au GN (ni de vrais d'ailleurs ^^).