Tebtunis

Tebtunis :

Description sommaire :

Tebtunis est l’une des 5 grandes cités de la confédération de tamascala. Contrairement aux autres cités, elle n’est guère agressive et préfère dialoguer et faire des échanges commerciaux avec les autres peuples. C’est ainsi qu’ils ont pu créer une carte très précise de pandréa et apprendre la plupart des langues parlées. Tebtunis est la capitale de la culture et de la libre pensée, la cité des penseurs par excellence. Elle est opposée à l'esclavagisme et à la guerre. Pour éviter de s'enliser dans des problèmes militaires divers, les Tebtuniens ont, paradoxalement, décidé de former des troupes très puissantes, mais peu nombreuses. L'intérêt est de pouvoir et se passer de mercenaires, et se passer d'un service militaire très large et compromettant le système pacifique et philosophique de la ville.

Bien que les citoyens soient plus chétifs que leurs voisins versghaliens, ils conservent leur calme en toute situation. Si ils ne possèdent guère la sauvagerie de leurs voisins, ils disposent d’une chaîne de commandement très efficace et leurs stratèges sont parmi les meilleurs de Pandrea. Leur petit nombre est un avantage et une faiblesse mais ils ont appris à tirer parti de toutes les situations. De plus, ils disposent de la plus puissante technologie de la confédération et des troupes les mieux équipées.
De même leur marine reste technologiquement supérieure à celle des autres cités, et est très polyvalente.

Description détaillée de Tebtunis même :

Tebtunis compte 90 000 habitants ainsi que 11 villages chacun comptant près de 10 000 habitants.

La grande Bibliothèque de Tebtunis : c’est dans cet immense bâtiment que des scribes s’affairent jour et nuit à recopier les dernières découvertes de leurs scientifiques ou d’anciens parchemins à des intervalles réguliers pour l’académie, l’université et eux-mêmes le plus grand nombre de fois. Chaque connaissance est répertoriée et rangée selon un ordre bien précis à chaque copie. Ces connaissances viennent à la fois des découvertes, du savoir ancestral mais surtout de l’espionnage ! Bien que l’on vante la suprématie de la bibliothèque d’Ilahun, celle de Tebtunis n’est pas accessible à tout public mais dispose d'autant de renseignements que les autres Grandes Bibliothèques confédérées.

L’université de Tebtunis : bâtiment gargantuesque qui possède énormément de laboratoires, sites d’entraînement et de salles de cour. C’est ici que l’on trouve les plus grands savants, qu’ils soient ingénieur, philosophe, physicien, mathématicien, géomètre, astrologue, forgerons,… C’est ici que les grandes idées qui ont données sa puissance à Tebtunis sont nées ainsi que des grandes innovations, prises de conscience,… Actuellement le recteur de l’université est Archimédio, le plus grand scientifique de Tebtunis.

La grande académie : c’est dans ce modeste bâtiment que les divers professeurs découvrent les futurs talents de demain. C’est ici que se donnent les cours d’apprentissage à tous les jeunes tebtunisiens, on retrouve une version bien plus petite de cette académie dans les villages qui entourent Tebtunis. Les jeunes motivés, intéressés ou simplement plus intelligents que la moyenne soit d’office intégré à l’université de Tebtunis.

L’acropole : bâtiment central de Tebtunis, génie d’architecture, c’est ici que loge le seigneur de Tebtunis. C’est aussi le lieu d’entraînement des espions et où ils font leurs rapports à leur seigneur. Ce bâtiment est interdit aux personnes étrangères à la ville.

La caserne de Tebtunis ; c’est ici que l’on trouve le Palestre ; lieu d’entraînement des jeunes hommes où ils s’entraînent à toutes les disciplines olympiques (Lutte, saut en hauteur, longueur, lancer du javelot, disque et poids) sauf la course à pied qui se pratique dans un stade. C’est également ici que l’on trouve les grands stratèges et les stocks d’armes de Tebtunis.

Théâtre : c’est le lieu où en soirée, des pièces de théâtre sont jouées pour divertir la foule ou réfléchir à certaines choses (grâce aux philosophes). En journée, c’est le lieu où les politiciens viennent parler aux citoyens.

La muraille de Tebtunis : originale et unique, Tebtunis dispose du meilleur réseau de défense actuel. Deux murailles circulaires séparées par des fossés très profonds entourent la ville. Les défenseurs peuvent communiquer à l’abri des ennemis par des galeries souterraines. Cette muraille protège Tebtunis face à tout type d’invasion.

Les champs intérieurs : grâce à un réseau d’irrigation souterrain, Tebtunis dispose de champs qu’elle cultive en plein ville pour éviter de mourir de faim lors d’un siège.

Le port de Tebtunis : protégé par un piège fonctionnant grâce à un système de levier et de rouage ; Tebtunis peut soudainement faire surgir des limites de son port des chaînes qui empêchent tout accès à son port ou fuite de celui-ci. Ce qui laisse le temps au diverses armes de guerres de détruire les bateaux ennemis. Les docks sont uniques car si ils sont peu nombreux, ils disposent chacun de grue à poulie, drague et de tenailles gigantesques qui facilitent les transports de matériel voire même déplacer des navires et les changer de sens.

Technologie :

Armement : arbalète lourde, lance, épée, hache, arc et armes de guerre. Tour à réfraction solaire, Glycaons, navires de guerre, machines de guerre. Fonte et forge des divers métaux présents sur leur île.

Sciences : astrologie, mathématique, géométrie, physique, chimie (alchimie surtout), mécanique, optique, astronomie, carte des vents, positions des étoiles, biologie.

Forteresse unique : originale et unique, Tebtunis dispose du meilleur réseau de défense de l'île. Deux murailles circulaires séparées par des fossés très profonds entourent la ville. Les défenseurs peuvent communiquer à l’abri des ennemis par des galeries souterraines.

La drague : les pelles excavatrices sont disposées de manière à recueillir le matériel du fond des lagunes ou à désenvaser le fond des ports.

La vapeur d’eau ; des expériences visant à faire s’envoler des mongolfières comme poste d’observation ont été plutôt concluantes mais les savants ne savent pas encore si ils l’utiliseront pour la guerre.

L’autopsie : les tebtunisiens n’ont pas hésité à disséquer des cadavres frais pour augmenter leur savoir. Ils connaissent actuellement le fonctionnement du cœur, la structure de la colonne vertébrale et le mouvement des muscles ainsi que l’interaction de certaines de leurs substances chimiques sur certains organes et n’hésitent pas à le tester sur certains « cobayes ».

La grue pivotante : posée sur une plate-forme tournante, munie d’un caisson de contrepoids et d’un « singe » équipé d’un dispositif d’arrêt.

La tenaille gigantesque : machine de guerre conçue par Achimédio qui fonctionne au moyen de leviers et de poulies et qui a pour but d’élever un navire au-delà du niveau de la mer pour le transporter ou détruire un navire ennemi.

Liberté de pensées et de paroles : tout citoyen peut demander la parole devant l’assemblée du peuple

Feu grégeois : Si les Changpas ont la naphte, la Confédération a le feu grégeois. Bien plus dangereux, bien plus meurtrier et surtout terriblement coûteux. Il a plusieurs utilisations, mais il est surtout usité lors des combats navals pouvant causer de terribles ravages. Mis à la tête d'une flèche de baliste et enflammé, il peut aider à la dislocation de la coque, à l'inflammation des voiles, même cirées. Presque tous les gros bateaux de la Confédération sont équipés de ce genre d'armes, car elles sont simples et relativement peu coûteuse.
Si la baliste incendiaire est terriblement redoutable à longue distance, le canon de feu est simplement mortel. Cela ressemble à un long tube de métal avec un bout évasé. Le principe est simple. Dès que l'ennemi arrive à portée (une dizaine de brasses, soit 20 mètres), on enflamme le liquide qui se trouve à l'intérieur - préchauffé au préalable - et une immense boule de feu arrive sur la cible. Elle peut calciner un bateau en une fraction de secondes. Il n'y a que les bateaux de l'Etat-major avec ce dispositif, ainsi que certaines forteresses côtières.

Armes de siège :

Machines d’assaut :

La tour mobile : permet de s’approcher des remparts de la ville assiégée. Elle est en bois ; montée sur des roues pour l’amener à proximité des remparts qu’elle domine. Composée de plusieurs étages, on trouve un pont-levis au dernier étage que l’on abaisse au moment opportun pour que les soldats puissent monter sur les remparts.

La vinea : sorte de baraque roulante en bois au toit incliné que poussent un groupe de soldats. Des peaux mouillées la recouvrent entièrement pour la protéger des projectiles inflammables.

La tortue : ressemble à la vinea mais en plus grand. Elle a pour objectif de protéger les soldats pendant les soldats pendant qu’ils creusent des galeries souterraines au pied des remparts. Elle abrite aussi des faux murales qui servent à « faucher » les remparts, leurs pointes de fer déchaussent les pierres et poutres pour ouvrir des brèches.

Le bélier : utilisé pour démolir les portes et les murailles. Se compose d’une lourde poutre de bois munie d’une extrémité de métal, maintenue par des chaînes que des soldats tirent avant de les relâcher pour que bélier inflige des dégâts.


Machines de jet :

La catapulte à traction: lance des projectiles (enflammés ou non) à grande distance. Boulets de plomb, pierres ou outre enflammé. Se compose d’une grande poutre en bois portant à son extrémité une poche de peau où est logé le projectile. De gros câbles s’enroulent autour d’un treuil, permettant d’abaisser cette poutre et ainsi de tendre la corde d’un arc placé au sommet de la machine. Lorsque l’on lâche brusquement les câbles, la poutre vient buter contre une grosse barre et le projectile jaillit avec violence de la poche.

Petrobolos : Fonctionne exactement comme la catapulte à traction mais envoie plusieurs projectiles avec moins de force mais plus de portée sur les formations ennemies ou les murailles adverses. Face à l’infanterie, on enflamme généralement ses projectiles. Vu qu’il s’agit d’une variante de la catapulte à traction, il suffit juste d’agrandir la poche de peau pour y loger plus de projectiles.

La baliste lourde : ressemble à la catapulte mais est construite pour que le projectile suivent une trajectoire en arc de cercle et tombe derrière la muraille pour un siège ou tout droit pour combattre l’armée ennemie. Il arrive qu’on enflamme les projectiles, chacun de ses projectiles peut empaler plusieurs hommes et reste enfoncé dans le mur d’une muraille.

La baliste à répétition : similaire à la baliste lourde mais dispose d’une « boîte » en bois qui permet d’accueillir de 4 à 8 projectiles de moindre taille qui partent en même temps vers une cible unique. Bien qu’il faille du temps pour la recharger, elle est très efficace face à tout ce qui leur fait face.

L’onagre : machine de jet semblable à la catapulte mais de dimension plus réduite, facilement transportable sur le champ de bataille. Lance des projectiles à 30m de distance et à près de 40m de haut.

Mangonneaux : composée d’une forte poutre sur un pivot (pour qu’elle tourne) entre deux hauts chevalets. A l’extrémité de la poutre, on trouve une poche qui contient le projectile. A l’autre bout, on trouve un contrepoids qui permet d’envoyer le projectile avec une force bien supérieure à la catapulte à traction et une plus grande distance. Un mangonneau de long de 6m à l’avant et de 2 m du côté du contrepoids peut envoyer un projectile de 100kg à 76m de distance ! Il s’agit simplement de l’évolution de la catapulte de traction et aussi du plus grand secret des ingénieurs tebtuniens qui ont passés des années à recopier des maigres informations rassemblées par leurs espions sur les armes de guerre des gothiques et à tester ces armes sur des cibles sur leurs terrains d’entraînement.

Héliopolis : fonctionnant exactement comme une tour mobile si ce n’est qu’il abrite des archers, des balistes de tout type voire même un bélier ou une catapulte (variante incluse) à son sommet (ou sa base). Il s’agit d’une tour de combat mobile en quelque sorte. Utile pour surprendre l’ennemi, repérer ses points faibles et éliminer les machines de guerres ennemies ou leurs formations.

Navires :

Trirème : le navire le plus employé ; disposant de 3 rangs de rameurs superposés. Mesurant 35 à 38 m de long sur 6 de large. Le grand mât soutient la voile rectangulaire qui porte le nom du capitaine. L’équipage compte 250 hommes ; rameurs (150), marins et soldats. Elle pèse 50 tonnes et vogue à 5 nœuds (9.3km/h). Cette version est celle que toutes les autres cités utilisent, celle de Tebtunis diffère énormément.
Grâce à un astucieux système d’engrenages et d’un levier à tourner ; un seul marin active 3 rames au lieu d’une seule ! Le système prend évidemment de la place et demande une bonne coordination de la part des rameurs mais demande moins d’hommes, ce qui permet à Tebtunis d’avoir une flotte plus importante et efficace. La version de Tebtunis mesure 40m de long sur 7 de large, d’une protection en métal sous le niveau de la mer pour éviter l’eperonage ennemi. L’équipage compte 50 rameurs, 30 marins et 40 soldats (marins sommairement équipé entraînés à l’abordage et à la manipulation des armes de guerres du navire). Elle pèse 55 tonnes et vogue à 7 nœuds en pleine activité (13km/h). Elle dispose d’un éperon avant et arrière ainsi que 6 machines de guerres : une devant, 2 sur le flanc bâbord, 2 sur le flanc tribord et une derrière. Celles-ci varient d’un navire à l’autre.


La quinquérème : évolution de la trirème, elle compte cinq rangs de rameurs. Trop lourde à la manœuvre, peu rapide elle fût donc peu employée. Mesurant 70m de long sur 8 de large, elle comportait 310 rameurs, 47 marins et 120 soldats. Tebtunis dispose encore de quelques-uns de ces vieux navires en cale sèche mais ne les a jamais amélioré et les utilise comme leurres ou comme pièce de rechanges pour réparer d’autre navires.


Le navire-cité de Scoratios : comparable à une immense caraque un peu plus évoluée ; un gros galion. Ayant une surélévation à l'avant et à l'arrière, un voilage extrêmement complexe permettant à une petite partie de l'équipage de manœuvrer le bateau. Ce navire à sa spécificité et sa méthode de combat, allant de l'incendie de l'ennemi au clouage sur place par une astucieuse méthode de cisaillement des mats ennemis. Disposant des meilleures armes de Tebtunis, il est bien évidemment leur navire commandant qui porte la mort à leurs ennemis. Revêtu d’une couche de métal sur la partie immergée pour éviter de se faire couler par les navires-béliers, il a survécu à toutes ses batailles grâce au capitaine Scoratios dont le talent et les connaissances ne sont plus à démontrer.

Les navires marchands ; ils sont légions et se serait impensable de dire qu'il y a un style prédominant. Tous les navires se veulent les plus performants pour prendre le plus de marchandise et aller le plus vite possible, gagnant ainsi du temps sur son concurrent et vendre plus rapidement et plus de marchandises. Les navires voguent à travers les mers connues et n'ont qu'un seul point commun; ils battent tous pavillon de Tebtunis, n’hésitant pas à utiliser celui de la confédération pour leurs propres intérêts.

Le navire de pêche ; de taille variable et d’équipage variable, ils sont nombreux et partent en pleine mer pour ramener de quoi nourrir la population de leur village ou Tebtunis même.

Le navire-tortue : similaire au fonctionnement de la trirème, il est cependant recouvert d’une couche supérieure de métal le protégeant des projectiles ennemis, lui permettant ainsi d’éperonner les navires ennemis sans craindre de représailles. Certains d’entre eux colorent cette couche de métal supérieure de couleur bleue-verte afin que les ennemis ne réalisent que trop tard ce qui leur tombe dessus. D’autres utilisent un canon de flamme pour surprendre l’ennemi qui ne peut rien faire face à cela. Néanmoins ces navires sont longs à construire et chers en matériaux, ce qui explique que Tebtunis n’en a qu’une dizaine et cache cette découverte à tout le monde.

Le navire minotaure : comme tous les autres navires, il s’agit d’une variante de la trimère Tebtunienne. Ici, on retrouve deux éperons à l’avant du navire mais surtout celui-ci est bien plus petit. Il ne fait que 20 mètres de long sur 5 de large et ne compte que l’équivalent de 90 rameurs ; 30 d’entre-eux sont présents pour manipuler le mécanisme et l’on retrouve 20 marins et 60 soldats ! Ce navire dispose d’éperons rétractables, ils sont très utiles pour aborder les navires ennemis si nécessaire. Bien plus petit et maniable, il constitue les flottes d’harcèlement de Tebtunis.

Le navire manticore : Basé sur la trirème, ce navire ne diffère que par la maniabilité et le nombre de baliste lourde et légères présentes sur l’ensemble du pont supérieur du navire. Les capitaines de ces navires enflamment toujours les projectiles des balistes pour rapidement agir en pleine bataille.

Le navire-marteau : Similaire au navire minotaure pour la taille, il dispose d’un marteau à contrepoids qui coule les navires ennemis. Une protection en métal est présente à l’avant du navire tandis que des balistes légères sont présentes sur les flancs et l’arrière du navire pour occuper les ennemis qui les prendraient de flanc.

Le navire lourd : Variante de la trimère, elle dispose d’une catapulte ou onagre qui rendent le navire très menaçant à longue distance.

Armée :

L’armée de Tebtunis est peu nombreuse car c’est une armée de métier, entraînée, loyale et efficace. Leur entraînement se fait dans les casernes et est très sélectif.Tous les soldats de Tebtunis portent un casque, une cuirasse de métal et des cnémides (jambières) ainsi qu’une épée courte et tranchante. Tous les soldats de métier de Tebtunis doivent jurer sur le Serment de l’éphèbe : « je ne déshonorerai pas les armes que je porte et je n’abandonnerai pas mes camarades au combat ; je lutterai pour notre mère-cité ».
Le hoplite porte une redoutable lance de 4m de long avec une pointe de métal de 20cm et un bouclier d’un mètre cinquante de diamètre. Ils combattent en redoutables phalanges qui portent la mort à quiconque les charge. Leur efficacité n’est plus à démontrer, leur rôle consiste à défendre une position donnée et éliminer quiconque tente de s’en approcher.

Le taxiarque dispose d’un arc long et de flèches diverses ; en fer, inflammables et de couleur noire pour les combats de nuit ainsi qu’un petit bouclier de métal sur le bras pour éventuellement se protéger. Leur rôle est de faire pleuvoir la mort sur les unités ennemies désignées par l’état-major.

Le gastrapheles dispose d’une arbalète lourde et tire divers carreaux sur l’ennemi. Bien que peu nombreux, leur puissance a causée déjà bien des morts mais ils tirent de manière bien plus lentes que les taxiarques. Les savants de Tebtunis tentent de développer une version plus légère et efficace de cette arme qui pourrait tirer plusieurs carreaux les uns après les autres.

Les ingénieurs sont des scientifiques qui passent généralement du temps à travailler dans leurs universités dans leurs domaines propres mais il arrive qu’ils viennent avec certains de leurs étudiants pour faire fonctionner certaines de leurs armes de guerre et les étudier pour augmenter leurs capacités. En général, si ils ne peuvent pas démonter leurs armes de siège, ils la détruisent avant de fuir et si par malheur ils se font capturer, beaucoup d’entre eux n’hésitent pas à se suicider pour empêcher que l’ennemi ne les torture. Leur savoir n’étant que partiellement perdu puisque leurs travaux sont conservés à l’université.

Mais même si l’armée de Tebtunis compte 5000 guerriers de métier. Elle compte aussi une armée de réserve. Les jeunes des villages entourant Tebtunis suivent une brève formation de combat pour défendre leur village et leurs terres si nécessaire. Ils ne sont jamais envoyés en dehors de leurs terres puisqu’ils sont chasseurs, éleveurs, agriculteurs,… On en compte près de 2500 répartis en 2 catégories ; les pelastes et les hypapistes.

Les pelastes sont une infanterie légère ; simplement vêtu de leur tenu de tout les jours mais disposent d’un bouclier et de quelques javelots ou arcs et flèches pour tirer sur leurs ennemis.
Les hypapistes sont aussi une infanterie légère ; vêtu d’une simple armure en cuir, ils portent un bouclier et une lance ou une épée. Ils forment des unités de volontaires et harcèlent les ennemis au maximum.

Ressources de Tebtunis :

Tebtunis est une cité riche et prospère. Elle dispose d’énormément de ressources qu’elle produit et échange que ce soit avec Ilahun, Versgalha, les tribus environnantes ou les 2 autres cités de Tamascala.
On retrouve bien des produits à Tebtunis ; Vin, huile d’olive, fromage, porcs, poisson, poules et coq, chèvres, blé, miel, raisin, argent, fer, bronze, cuivre, étain, marbre, cristal, souffre, épices, soie, pierres précieuses, tissus, tapis, métallurgie fine et lourde, animaux rares, verre, livre et documents ainsi que de l’encens et certaines plantes qui permettent de se sentir bien.

Pas encore tout lu, mais bel investissement
Je te fais quelques remarques (et j'ai déjà changé quelques tournures de phrases) pour orienter le travail :
1) Nous sommes bien d'accord que Tebtunis n'est pas une ville grecque, pas plus que les autres confédérées. Inspiration grecque dans le mode de pensée, pas dans les noms, les technologies etc... Je sais qu'il est ardu d'inventer une culture, mais c'est également assez chouette d'innover. Par exemple, tu peux inventer des nouveaux mots pour les navires, plutôt que trières. Et une mythologie basée sur les éléments du feu etc..., donc tu peux trouver un Dieu du Feu, du Vent, de la Terre, de l'Eau, etc. Et inventer des créatures mythiques. En un mot, fais toi plaisir, et aide toi de qui tu veux
2) Fais attention lorsque tu dis que Tebtunis est la meilleure dans tel ou tel domaine, ça implique que les autres sont plus mauvais. Par exemple, les cités les mieux défendues chez les confédérés sont celles de Nekhen, la meilleure marine (pas technologiquement parlant) celle de Illahun, etc...
3) Les technologies, nous allons en discuter hein Le canon de feu c'est chouette, mais même si les byzantins l'avaient, l'implication rp est trop grand que pour que je ferme les yeux. Faudra en reparler.
Vu que tu n'es pas dans "le contexte de départ", c'est moins grave, puisque les autres joueurs ne le prennent pas en compte pour décrire leur faction en 1249.

Désolé si je suis chiant, j'essaie d'éviter de retrouver les grecs purs et durs ici, et je suis contre les factions surpuissantes

Euh Bisol, j'ai quelque chose à dire que tu ne vas pas apprécier du tout... Le canon à feu c'est comme le coup du trébuchet à contrepoids, Weykyu en avait parlé bien avait Tyrstad et ça avait été accepté puisqu'il s'agit d'une application du feu grégois. Désolé... Sinon j'ai remarqué quelque chose qui m'a sauté aux yeux et je suis surpris que ça n'ait pas marqué les esprits mais ils ont du fer !

Oui, Pandrea dispose de ressources minières en fer, en tout cas il y en a dans les monts Croth, alors du coup... il y en a. Donc logique qu'ils y aient accès.

Tsékelkan a écrit:

Euh Bisol, j'ai quelque chose à dire que tu ne vas pas apprécier du tout... Le canon à feu c'est comme le coup du trébuchet à contrepoids, Weykyu en avait parlé bien avait Tyrstad et ça avait été accepté puisqu'il s'agit d'une application du feu grégois. Désolé... Sinon j'ai remarqué quelque chose qui m'a sauté aux yeux et je suis surpris que ça n'ait pas marqué les esprits mais ils ont du fer !

Il y a tout de même un écart entre un canon à feu grégeois et un trébuchet.

1) JE vais définir clairement sur une carte ou les minerais se situent. Comme ca fini les peuples qui ont tous les minerais au besoin.
2) Ce n'est pas parce que mes yeux sautent une ligne qu'elle est homologuee à vie. Et les confédérés n'ont pas plus de trébuchets que de canons de feu en 1249. Ils pourraient l'obtenir, mais il faut discuter comment.
3) Cessez la course aux armements et jouez deja avec ce que vous êtes sensés avoir ! La meilleure flotte et d'excellents soldats, c'est déjà pas mal hein.

Bonne idée développement des ressources, mais regarde aussi ce qui est déjà écrit, pour éviter qu'on doive tout changer.

heureusement pour moi, les minerais intéressants sont chez les autres ^^

Je serai le plus impartial possible, et en fonction de la carte. J'ai des connaissances en géologie et éco-géographie.

Effectivement, il y a un saut entre le trébuchet à contrepoids et le canon à feu... Le trébuchet est bien plus efficace et approuvé. La bouche à feu ou mort du dragon n'est pas vraiment une arme efficace. Elle fait office de dernier recours et même le plus téméraire des soldats hésite à l'utiliser. Car il est vrai qu'un tir bien orienté crée une flamme d'une vingtaine de mètres... Même pas une fois sur deux.

Ces technologies meurtrières (poudre, trébuchets, naphte, feu grégeois, etc...) vont passer par des débats et mon accord.