La taverne, LA vrai

Une fine pluie tombe, vous êtes fatigué par une dur journée de chasse... Vous êtes frigorifié et rêvez d'une corne remplie d'hydromel... Vous rêves commencent à devenir réels quant vous vous arrivez dans la ruelle bordant les docks. Vous sentez le poids de chaque pas, et finalement vosu entendez des bruits de rires et de chansons à boire qui troublent la paix nocturne. Vous accélerez le pas, alléché par l'idée de cette corne qui vous fait envie depuis que vous avez quitté la caserne, et finissez par arrver devant la longue maison, avec la fameuse tête de dragon reconaissable entre toutes, qui signale la taverne.

Vous rassemblez votre courage, comprenant que ce ne sera pas une heure que vous passerez ici, masi que ce sera toute la nuit sinon vous serez considéré comme un ragr incapable de tenir l'alcool ou à plus foret raison une arme. Vosu entrez donc, et vous sentez que vous commencez à décongeler, réchauffé par la chaleur des dizaines de corps entassé. Vous êtes happé par la masse, on vopus met une corne remplie à ras boire d'hydromel et vous la videz et commencez à entonner uen chanson à boire...

Telle est la taverne skaerling par exellence. Un lieu de chanson, et d'alcool versé à la gloire des dieux, des hommes et de toutes les victoires! Celui qui versera en premier aura droit aux quolibets de toute la taverne! Soit donc prête, étranger, cette tavrne est aussi dangereuse qu'un champs de bataille pour celui qui ne sait pas tenir l'alcool....

Car ici, l'alcool est à la hauteur du peuple: fort et rude!
:encoreboire: :51515: :encoreboire: :51515: :encoreboire: :encoreboire: :encoreboire: :orcàlachache: :orcàlachache: :orcàlachache:

Il est grand dommage que la Règle de l'Ordre nous interdise ce genre de débauches... Cependant, je pense que nous pouvons tous de même y manger du sanglier à la broche, n'est-ce pas ? :levraimrred:

Dans cette taverne différents alcools et plats simples sont proposés. Voici un bref apperçu des différents choix:

Le Boire:

-Hydromel, typique du pays et la boisson la plus consommée, utilisé pour toutes les libations aux Dieux.
-Bière non filtrée et brune, boisson tout aussi populaire, mais moins forte que l'hydromel, moins sacralisée que l'hydromel et bien plus amère.
-Alcool distillé de Tamscala, assez peu répandu, mais néanmoins présent, pas très apprécié car considéré comme trop sucré, il est néanmoins fort corsé et prisé par de nombreux étrangers.
-Vin rouge de l'Etat gothique, des rapines ont rapporté cet étrange alcool, qui est très rare, et uniquement bu par les chefs qui seul ont les moyens de se l'offrir. Malgré cela, il est très peu prisé.

Le manger.

Ici, la viande et le poisson sont les nourritures de base, accompagné d'un pain noir.

-Sanglier rôti à la broche. La nourriture de base, peu cher et très nourrissante.
-Ragout de viandes diverses. Encore mojs cher, mais néanmoins moins populaire, c'est extra après une dure journeé dans le froid.
-Saumon braisé. Un plat plus noble mais très apprécié par les Jrals.


Une suite peut-être un autre jour...

Hum... Un saumon braisé pour le Landmeister s'il vous plait :mrzeic:

Un sanglier entier pour moi. Et bien grillé sur les bords, je vais me l'emporter à la taverne de la lune. Ah, et aussi avec de la patate douce en décoration et une sauce à l'ail/fromage.

Au moins à la lune, on a de la vraie pluie.

La tarverne, la vraiE, taverne est un nom féminin !

Sinon, sert-moi de l'hydromel, mordiable !

Nan, nan, nan nan Heinrich ! Le code est d'application pour toi aussi cher frère :çava:

-plaf-

-tunk, sprotch et tic tic tic-

-plouf-

Et voilààà!!!!!


Autre chose??? :orcàlachache:

De la subtilité peut-être ? Vous n'avez pas une tasse de thé à tout hasard ?

De quoi? Tasse de thé? Qu'être ça?

Toi boire corne de bienvenu, ou autrement tu insulter notre hospitalité... et ça pas bien! :orcàlachache:

Je refuse, j'ai des principes, et j'ai donné ma parole. Remplacez donc cette boisson (qui semble bien savoureuse au demeurant) par du lait de chèvre et ce sera parfait pour le symbolisme du geste :ouiouioui:

Quoi! Tu oses insulter notre hospitalité en refusant la corne de bienvenu!!!!

A moi Skaerling!!!! Ces hommes refusent notre hospitalité!!!!

*Toute la taverne se lève et on va luire diveres épées et hache sortie de leur fourreau. Le silence est tombé et les deux gothiques se sentent seul face à la cinquanteine de skaerling prêt à les découper.*

Bois ça, et j'oublierai cette insulte grave... Sinon....

Face à cette multitude de nordiques aux barbes poisseuses d'hydromel et de graisses de porcs puantes, pour la plupart sérieusement éméchés et désireux d'en découdre, je compris que je devrais faire un choix entre politique et respect de la Règle. Ils ne me verraient plus dans ce taudis avant un long moment, sans doute lorsque j'aurais investi la place pour faire éclatter leurs panses avec ce breuvages qu'ils apprécient tant.

-Bien, à ce que je vois, votre ouverture d'esprit est au moins aussi grande que votre nation. Je vais donc boire cette "corne d'amitié" pour ne point générer de conflits, et prendre congé sans attendre, ainsi que frère Heinrich... :tttttt:

Bisol n'est franchement pas doué pour la diplomatie (Et il est pas interdit de boire, il est interdit de boire plus que son chef l'autorise). Que s'attendait-il ? Au mieux, il passait pour une femme en armure, au pire, ben ... voilà.

L'établissement a beau être minable, si on veut s'intégrer ici, il faut boire... Bande d'alcoolique.

*Bisol je te suggère de leur offrir une tournée de corne, ça va les calmer, et ils feront plus attention à nous, enfin àmoins que tu préfère boire que de dépenser quelques piécettes*

L'idée d'Heinrich me fit réaliser que je n'étais qu'un imbécile finni. Je le remerciai d'une tape sur l'épaule avant de me tourner une nouvelle fois vers les nordiques :
-Et bien, que dites vous de trancher tout ça par une bonne tournée générale offerte par l'Etat Gothique ?

*Après quelques instants de silence tendu, l'annonce de la tournée générale fait pleuvoir les cris de joie et on entend lesamres diveres tretourné dans leur fourreaux, et après que les cornes furent distribuée, toute la taverne se mit à trinquer en l'honneur des gothiques et une chanson s'entonne.*

Brave brave brave, sir robin!!!
Il était habillé de plate,
Il avait beau chanté comme un patate,
C'était un fameux guerrier,
Qui en a mis des dérouillés!!!
Mais un jour pour une pucelle,
Il est descendu de sa selle...
Il lui a montré sa rapitère,
Et ça a du lui plaire,
Quant quant est revenu le matin,
Le pucelage n'était plus rien!!!!


*Et ainsi de suite durant de nombreuses minutes narrant l'aventure de ce chevalier gothique nommé Robin.*

Je signale à tout hasard que je suis sensé m'appeler Bisol , je ne me sens pas du tout concerné pas ces paillarderies

Outré par ces chansons paillardes, et blessé dans sa dignité, je fis signe à mon compagon de sortir, et quittai ce lieu de débauche d'un pas ferme et altier.

Et tu es suivi jusque dans la rue par des bordée de rires grags et de sifflets ainsi que par de nombreux quolibets sur la virilité de gothiques et de leur faiblesse. Tu entends aussi des allusions sur les rapports entre frères de l'ordre...

Vous allez payer, chiens de nordiques :ggdshrtzqt:

Devant la sortie dépitée des Gothiques, le tavernier offre une tournée générale d'hydromel sur le compte de l'état Gothique.
De nombreux rirent parviennent aux Gothiques jusque dans la rue.

Heinrich à sa suite, Bisol se hâte de quitter la taverne, trop conscient de l'affront qui venait de lui être fait pour pouvoir en supporter d'avantage. Se jurant de ne plus jamais remettre les pieds dans un tel lieu de débauche à moins que ce ne soit pour y bouter le feu, les deux gothiques rejoignent leur escorte. Un certain réconfort les attend dans l'attitude irréprochable des soldats, qui, en garde à vous militaire, ne baissent même pas les yeux en direction des badauds, qui les observent et se rient d'eux.
Faisant signe à ses hommes de se remettre en selle, l'HochMeister rejoint sa monture, et sans un regard en arrière, l'éperonne, s'éloigne.

Longeant la porte vers la sortie, il aperçoit de nombreuses autres tavernes, et, soudain, à, sa droite apparait un établissement célèbre, le prototype même de la grande auberge-taverne de Skaerburg, le Poulpe Noyé. Un homme roux en sort, et apercevant les Gothiques, et pensant à leurs habits qu'il s'agit de hauts dignitaires, donc fort riches en or, les hèle d'un air amical et serviable:

"Hej grands étrangers! Vous ne pouvez donc pas partir en route par un nuit si froide et si sombre, les alfes noirs rodent, et vous ne voudriez pas être leurs proies, non? Venez donc vous réchauffez ici, que je vous offre une corne d'hydromel! Je possède aussi de nombreuses chambres pour la nuit si vous désirez vous reposez. Il n'y a ni puces dans les lit, ni véroles chez nos servantes! Allez, entrez donc!"

Fit-il, en leur faisant un clin d'œil et les invitant à entrer d'un signe de la main.

Sitôt qu'il aperçoit le viking, Heinrich pousse sa monture à se presser, sous le regard étonné des autochtones. Bisol, en revanche, jette un coup d'œil en direction du ciel et fait signe à ses hommes de s'arreter un instant.
Tandis que l'Inquisiteur grommelle qu'il est hors de question qu'il demeure une minute de plus dans cette ville de païens illettrés, l'HochMeister prend un lieutenant à partit :
-"Cet homme n'a pas tort, Berengar, le ciel s'assombrit, et nous n'aurons de toutes façon point le temps de mettre une grande distance entre cette maudite cité et nous. Je propose que nous jouissions d'une bonne nuit de repos, nous l'avons bien mérité."
-"Ce me semble judicieux, seigneur" répond l'intéressé. "De plus, le temps parrait à l'orage, et les brigands seront à leur avantage en terrain connu !"
Comme les autres acquiècent, Heinrich se sent forcé de suivre le mouvement.

Si il fait un lancé de dé 1-4, les gothiques acceptent la proposition du viking. Sinon ils quitteront la cité.

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