Les guerriers

Voici un résumé descriptif des unités les plus courantes au sein de l’armée changpa.

Milices et mercenaires

Hommes des plaines : Recrutés chez les habitants des basses vallées où s’étendent les jungles et les rizières, ils se battent avec des outils agricoles tels que des fléaux à riz ou des faucilles. Ils ne possèdent aucun matériel outre ces armes rudimentaires, alors ne parlons même pas d’expérience au combat.

Hommes des montagnes : Rudes guerriers généralement armés d’un arc traditionnel changpa, de quelques javelots et d’une épée pour les plus chanceux. Ils sont levés parmi les bergers et les chasseurs de chaque tribu en cas de besoin.

Hommes du désert : Les nomades des régions désertiques à l’est des territoires changpas sont réputés plus agressifs que leurs compatriotes occidentaux. Certains prétendent que ce caractère bouillonnant vient du soleil qui rayonne plus intensément sur leur pays ou encore que c’est en raison des escarmouches perpétuelles qui les opposent aux Ossans et à leurs sbires. Au combat, ils manient l’arc et le sabre avec une dextérité certaine.

Djangdi : Mercenaires pillards pourtant fidèles à leur peuple ils sont équipés d’une armure de cuir ou de corne agrémentée de quelques pièces de métal et armé d’un sabre, d’un arc et parfois d’une lance. Ils forment le seul corps de guerriers professionnels et expérimentés disponible en nombre dans les montagnes.

Soldats de métier

Éclaireurs :Les éclaireurs sont chargés des missions de reconnaissance visant à repérer les mouvements de troupes ennemies mais également les installations, les stocks et les infrastructures qu’ils seront tenus de saboter si l’occasion se présente.

Infiltrateurs :Les Changpas profitent de la diversité ethnique qui les caractérisent pour former des individus capables d’infiltrer les troupes adverses en se faisant passer pour l’un des leurs pendant un cours laps de temps. Ils pourront alors récupérer de précieuses informations voire assassiner certains hauts-gradés. Ces hommes sont formés aux arts du déguisement et du mensonge, si bien qu’ils se révèlent utile pour maintenir l’ordre social dans les territoires changpas.

Trappeurs : Les meilleurs chasseurs sont utilisés en temps de guerre pour piéger les routes, les ponts et parfois même les champs de bataille dans le but de harceler constamment l’ennemi et d’instiller la peur dans ses rangs. Les plus expérimentés peuvent grader au rang de Maître trappeur.

Traqueurs : Il s’agit d’hommes entraînés à la course, au camouflage et au combat à l’arme légère. Deux types de missions leurs sont assignées : l’élimination des tirailleurs ennemis et la poursuite des unités mises en déroute après une embuscade couronnée de succès.

Tueurs : Loin d’être des assassins, les tueurs sont simplement les experts du combat au corps-à-corps qui sont chargé de diriger l’infanterie dans les mêlées. Leur formation comprend une approche plus approfondie du combat à l’arme blanche (lance et sabre principalement) et à mains nues. Quoique jugés moins subtiles que leurs collègues décrits ci-dessus, ils sont néanmoins indispensables pour leur assurer un soutient musclé. Les plus expérimentés peuvent grader au rang de Maître d’arme.

Les soldats de métier forment des troupes d’officiers de cinq (un par spécialisation). 50 miliciens levés parmi les tribus nomades sont alors mis sous leurs ordres et forment une meute.
Les 400 meutes de l’armée changpa sont subordonnées à l’autorité des Maîtres trappeurs.

Les Djangdis réguliers sont également regroupés en troupes d’officiers comportant cinq hommes commandant 50 miliciens levés parmi les clans sédentaires. Ils forment ainsi un bataillon.
Les 400 bataillons de l’armée changpa sont sous les ordres des Soheis et des Maîtres d’arme.


Troupes d’élites

Thagis : Il s’agit d’une secte d’assassins mystiques extrêmement secrète et violente. Généralement rattachés à un temple, leurs contrats leur sont assignés selon un système complexe de présages et de visions. En temps de guerre, ils forment des commandos chargés d’accomplir les missions les plus périlleuses, souvent au cœur même des lignes ennemies, mettant à profit leurs nombreuses techniques d’infiltrations.

Soheis : L’élite des guerriers changpas. Ce sont des moines-guerriers qui passent la majorité de leur temps à méditer, s’entraîner au combat et apprendre l’art de la guerre, en faisant à la fois de grands combattants et des stratèges avisés. Ils sont également très respectés et craints pour leurs connaissances occultes et leur savoir médical. Ils manient la lance à lame courbe (se rapproche de la hallebarde). Très peu nombreux, et éparpillés dans les montagnes où ils mènent une vie d’ascèse, ils sont surtout utilisés comme médecins de camp lors des campagnes militaires.

Archers

Tous les guerriers changpas, du simple chasseur au chef de tribu possèdent un arc composite à double courbure, léger et facilement transportable, utilisable à pied comme à dos de yack. C’est la précision et la cadence de tir des Changpa qui les a rendu célèbres.

Les Changpas utilisent également une grande variété d’armes de jets : javelots, dards, sarbacanes couteaux et étoiles de lancé sont très utilisé.

Autres

Moines : Nombreux sont les monastères qui enseignent que la chair est plus forte que l’acier. Certains moines prennent les enseignements au pied de la lettre et voue leur existence au combat à mains nues. Redoutables en combat singuliers mais présentent peu (pas) d’intérêt lors d’une bataille rangée.

Aventuriers : Beaucoup de Changpas consacrent leur vie à l’apprentissage des arts martiaux et parcourent le monde en quête de duels et d’enseignements pour améliorer leur technique. Ils utilisent un grand nombre d’armes, souvent étranges et biscornues et se dotent toujours de surnoms du type « héron sanglant » ou « tigre bondissant ». Parfois, lorsqu’une bataille s’annonce, ils se rassemblent en régiments et rejoignent un camp pour le simple plaisir de se battre ou pour la gloire mourir au combat.

Fauconniers : L’art de dresser les grands aigles des montagnes est une pratique pluriséculaire profondément ancrée dans la culture changpa. Ils permettent d’une part de transmettre des messages à une vitesse inégalée et d’autre part de tuer les oiseaux voyageurs ennemis. Ce sont également des chasseurs hors pairs qui sont capable de tuer des animaux aussi gros que des loups lorsqu’ils travaillent en équipe de deux.
Ces oiseaux, quoique remarquables, ne peuvent se mesurer avec les terrifiants Uhrs de la Confédération de Tamascala.

N'hésites pas à accentuer le côté "embuscade", ni à faire intervenir les maîtres kensais (nomme les comme tu veux), très peu nombreux et capables de tenir tête à des armées entières.
Attention aussi : Vous n'avez pas de cavalerie, mais des yacks

Des yaks ?

Pardonne moi mais...Un yak c'est une vache. On peut même croiser les deux espèces pour obtenir des dzo. C'est très utile pour un tas de trucs: le cuir, le lait, la laine, la viande, les travaux dans les champs mais tout comme les vaches...c'est apathique. Si on pouvait en faire des bêtes de combat, la Suisse serait maîtresse du monde. Je ne compte pas faire un remix de la Horde d'Or des mongols; les clans pouvant fournir des chevaux sont peu peuplés et se comptent sur les doigts d'une seule main.

Sinon, c'est évident qu'il faut garder à l'esprit l'aspect embuscade. En regardant les unités, on n'imagine pas les utiliser autrement qu'en guerilla.

Quant aux grands maîtres d'arts martiaux, je prend note

Cool!!!!

J'aime bien tes unités!!!

Et de toutes façons, tes Changpas te correspondent plutôt bien; ils ont gagnés une victoire sans combattre, juste en tirant des flèches.

Beh ouais...Tactique du Bosquet®

Ze tactique ultime!!!!

de nuit et de dos, au moins ? ^^

Évidemment ! Tu nous prend pour qui ? On est des professionnels nous, petit .

Sans oublier le surnombre et la pluie...

Entendu à tous niveaux. Les Yacks ne sont pas des bêtes de combat, mais de somme, non négligeable pour le transport de matériel par rapport aux autres factions, surtout en montagne !
Par contre, si vous avez ne fus-ce que deux chevaux capables de procréer, je connais l'affaire, on va vous les voler et dans 5 ans Skaerling et les confédérés ont de la cavalerie lourde...

Argument convaincant. Présentation des unités éditée.

Notez quand même, malgré vos critiques constantes quant à mon monopole de la cavalerie, qu'il est plus facile de ramener des chevaux en cogue qu'en langship ou autre. Ca nous a couté assez cher au niveau démographique aussi, de sacrifier l'équipage au profit des chevaux... Depuis, notre système de sauvegarde de cet avantage a quand même été au centre de notre attention.
Sans cette rapidité et ce moyen d'exploiter nos connaissances en matière de tactique, il ne nous reste que des hommes surentrainés et suréquipés, mais prévisibles et bien trop lents pour être efficaces :/ En montagne, on se fait laminer tu sais

Oui je sais

En ce qui me concerne je ne critique pas. En fait je ne suis au courant de ce monopole équin que depuis trois ou quatre jours.

Faut bien lui laisser des avantages... Et lui a un code d'honneur pas très, disons, flexible!!!

Ouais, mais comme précisé, je ne critique ni ne me plains. Une flèche vole plus vite qu'un cheval ne galope...

Et un coup de lance dans un poitrail... c'est fragile un cheval quant même...

Edité.

Vu que ça va bientôt se taper dessus, je me suis dit que c'était bien de mettre les topics à jour en fonction du pdf que j'avais balancé il y a de cela un bail déjà.

Bonne idée
Je penserai une fois à faire des pdf aussi, plus agréable à lire et plus facile que de surfer entre les topics.