Vous êtes le héros : La jeunesse de Varès

HRP : ceci n'a pas d'implication avec les autres rps communs

Printemps 1240. Tu es un jeune moine du monastère de la province de Chendö. Il est coutume, dans cette région, d'envoyer les fils des khans dans ce lieu sacré, afin qu'on leur enseigne le savoir de leurs illustres ancêtres. Les moines font subir à leurs élèves de rudes épreuves pour éprouver leur courage, leur force, leur volonté. Celui qui se plaint est aussitôt renvoyé, jugé indigne de l'honneur qui lui est donné par cette instruction millénaire. Après six années environ, les jeunes changpas devront alors quitter le monastère pour trouver une compagne et prouver leur valeur.
A cette époque, les tribus ne sont guère unies, et les rapts de femmes ou de bétail sont monnaie courante. Les recrues du sanctuaire doivent veiller au fragile équilibre de ces plaines arides, et protéger leur peuple des envahisseurs. Les Ossans, en particulier, ont déjà tenté à maintes reprises d'assassiner les grand-maîtres de cet ordre, où de percer leurs secrets. Ils savent depuis longtemps que le changpas n'attendent qu'un chef charismatique pour s'unir et en finir avec ces voisins belliqueux qu'ils méprisent. Or le monastère se targue de former parmi les meilleurs guerriers, ce qui n'est pas sans fondement, même si d'autres provinces, telles celle de Nanga, ont une réputation tout aussi méritée.
A ce moment, il fait nuit noire. Seules quelques étoiles joues à cache-cache derrière les épais nuages d'un ciel d'orage. tu as été envoyé collecter du bois dans les maigres bosquets des alentours, punition dont tu es coutumier car ton inattention en classe est bien connue de tous. Soudain, tu es pris d'un pressentiment. Tu te retournes pour constater avec effrois que le monastère est en proie aux flammes. Tu es désarmé mis à part un poignard, et une torche qui te servait à t'éclairer dans l'obscurité.
-> Tu te précipites vers le monastère le plus vite que tu peux (il est environ à 2km)
-> Tu tentes de rejoindre discrètement le monastère
-> Tu te trouves un abris et décide d'attendre et de rester aux aguets

2) Je tente de le rejoindre discrètement.

Grâce à tes compétences en matière de déplacement silencieux, tu parviens à couvrir la distance te séparant du monastère en un temps raisonnable. Alors que tu n'es plus qu'à quelques centaines de mètres, des cris deviennent perceptibles. Tu redoubles de prudence. Les tintements de sabres entrechoqués deviennent également audibles. Peu de doutes possibles, la place est attaquée. Mais par qui ? Proche de la mer et du grand fleuve changpa, le lieu saint dispose d'un système de défense qui a déjà fait ses preuves. Une muraille entoure l'ensemble, et de multiples tours de guets le long de la côte, du fleuve et dans le désert signalent rapidement l'arrivée d'ennemis. Une armée aurait été remarquée, malgré l'obscurité. Pourtant, maintenant que tu peux voir les ombres dansant devant l'édifice en flammes, tu ne peux qu'admettre que l'adversaire est venu en nombre.
Tu es encore à cent mètres, et tu ne peux toujours pas voir clairement à cause de la fumée et du chaos occasionné par la bataille. Il te semble néanmoins que l'attaquant ne tente pas de pénétrer dans le sanctuaire mais de tuer les moines qui veulent échapper au brasier.
-> Tu te caches et attend qu'un ennemi arrive pour le tuer et espionner tes ennemis
-> Tu te rapproches en rampant pour fureter et voir si tu ne peux pas rejoindre tes compagnons
-> Tu fonces en hurlant boucherie pour les tuer tous avec ton poignard
-> Tu cours vers le monastère en espérant que l'effet de surprise conjugué à ta vitesse et ta direction suffiront à le rejoindre

2) Approche furtive

p { margin-bottom: 0.21cm; }


La vision qui se forme devant tes yeux
est celle de l'enfer. Des flammes gigantesques semblent avaler le
monastère, le vacarme est assourdissant et l'odeur du sang est
perceptible malgré la fumée, dont tu es relativement épargné de
part ton approche rempante. D'ailleurs, si la fumée t'aide à te
dissimuler aux yeux de tes ennemis, il t'est également difficile de
les distinguer. A entendre leur langue, ils viennent de l'est.
Vraissemblablement des confédérés. Il t'apparait évident
désormais qu'il est vain d'espérer rejoindre tes compagnons :
l'édifice est encerclé et un barrage de flèches ballaie quiconque
tente d'échapper au brasier. Soudain, un cris de guerre de fait
entendre, et ton coeur se serre en reconnaissant le grand maître, un
kensaï d'exception. Il effectue un percée avec, semble t'il,
l'ensemble des survivants. L'ennemi pourrait bien être décontenancé
par la manoeuvre, mais tes compagnons sont en net sous nombre, malgré
leur qualité de soldat.

-> Tu tentes d'égorger un soldat au
hasard pour prendre son uniforme et semer le trouble dans leurs rangs

-> Tu cherches un archer pour lui
réserver le même sort

-> Tu restes caché pour voir
comment tourne cette percée

-> Tu téloignes, partant du
principe que tout est perdu et qu'il vaut mieux que tu survives pour
que la vérité se fasse

-> Tu fonces vers tes compagnons en
tentant de dérober une arme à un ennemi qui ne s'attend pas à te
voir débouler dans son dos

-> Tu dérobes une arme, mais
profite de la fumée pour en tuer le plus possible en restant à
l'arrière de la ligne ennemie, afin de jouer sur la surprise, sans
chercher à rejoindre tes compagnons

2) tentative d'égorgement d'archer

p { margin-bottom: 0.21cm; }


Tu profites de l'obscurité pour
chercher ta victime sans te faire repérer. Par chance, tu la trouves
rapidement.

Discrétion pour choper archer :
chances = 7/10 + 1 grâce à camouflage + 1 grâce à chasse
Seul
un 1 sur un dé 10 = échec
Le membre 'Bisol von
Sint-Omer' a effectué l'action suivante : Hasard

'Dé
10' : 5




L'archer
n'a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive, tu le tires
violement à toi et l'égorge avant qu'il n'ai pu pousser un cri. Tu
te hâtes d'enfiler son casque, sa tunique et son carquois en
restant tapis au sol. Tu ne peux distinguer avec précision les
insignes sur l'uniforme car la lumière est trop diffuse, mais il
semble qu'il s'agisse d'un équipement confédéré. Rageur, tu
empoignes l'arc et une flèche avant
de sonder la bataille.
Le kensai fait des ravages, semant la mort autour de lui. En
revanche, nombre de ses compagnons tombent sous le barrage de flèches
de leurs ennemis dispersés derrière
la fumée. Ces derniers ont un net avantage : derrière eux,
l'obscurité quasi totale les masque à tes alliés qui se détachent
sur le fond rougeoyant du monastère en proie aux flammes.


Tu
constates malheureusement qu'en plus de risquer de te faire tuer par
les assiégeants, tu pourrais te faire tuer par tes alliés, surtout
avec cet uniforme. Tu prends garde à ne pas t'interposer entre tes
ennemis et les moines, longeant l'arrière de la ligne ennemie pour
chercher une première cible.


->
Tu décides de garder l'arc, mais de reculer, préférant la survie
et la possibilité de vengeance à l'éventualité de te faire
massacrer toi aussi

->
Tu cours le long de la ligne ennemie en décochant tes flèches sans
t'arrêter

->
Tu cherches celui qui semble être le chef pour le tuer avant de
rapidement te fondre dans la nuit

3) Repérage du chef

Trouver chef avant de se faire repérer : 1->5 sur dé 10 + 2 si sixième sens + 2 si camouflage
Donc 1->7 est bon, 8->10 = se faire repérer avant
Le membre 'Bisol von Sint-Omer' a effectué l'action suivante : Hasard

'Dé 10' : 1 -> OK

Tu te faufiles parmi les attaquants, tentant de repérer d'où partent les estafettes. Ta grande habilité pour te fondre dans le paysage parvient à donner le change : tu finis par entendre une voix vociférer des ordres secs, lesquels sont aussitôt relayés par des messagers. Prenant un peu de recul, tu bandes ton arc, vise la tête de la silhouette de ta cible et décoche ta flèche.


Chance de tuer cible de nuit à travers fumée : 4 sur dé 10 + 2 si maîtrise de l'arc
Tué si 1->6, blessé si 7->8, raté si 9->10

Le membre 'Bisol von Sint-Omer' a effectué l'action suivante : Hasard

'Dé 10' : 2 -> Tué

La flèche meurtrière siffle dans les airs, un craquement sinistre se fait entendre, la silhouette semble rester immobile. Tu retiens ton souffle, près à détaler aussitôt. Elle s'écroule. Vif comme l'éclair, tu t'élances en direction du désert en courant. L'obscurité te voile, et chez les assiégeants, c'est l'incompréhension la plus totale. Personne ne t'ayant repéré ou n'ayant trouvé la sentinelle assassinée, il faut le temps avant qu'ils ne songent à chercher le tueur de leur côté. Tu es rapidement hors de portée.
-> Tu ne t'éloignes pas trop pour pouvoir à nouveau agir et observer comment évolue la situation sans le chef ennemi.
-> Tu cherches à mettre le plus de distance possible entre toi et l'ennemi.


HRP : tu as de la chance

1) pas trop de distance

Le chaos semble gagner les troupes ennemies. Tapis à une cinquantaine de mètres de leurs lignes, et nettement décalé par rapport au lieu de ton assassinat, tu observes le déroulement des événements.
Des attaquants ont étés envoyés à ta recherche, mais leur tâche est ardue, d'autant que tu es sur le qui-vive. Le kensai a mis à profit le moment de relâchement adverse pour atteindre leurs troupes. Le corps à corps est engagé. La fureur qui anime les survivants combinée à la perte de leur chef porte un coup aux assiégeants dont la ligne se brise localement. Impossible de poursuivre le barrage de flèches, on ne distingue plus alliés d'ennemis. La fumée commence a envahir la zone, tandis qu'un énorme craquement se fait entendre : La monastère s'est écroulé sur lui même, pulvérisant ses occupants, ses archives, ses œuvres d'arts. Les changpas ne sont plus qu'une vingtaine, face à une bonne centaine d'adversaires. Leur vaillance et leur qualité de guerriers est néanmoins nettement supérieure, la victoire semble possible.
-> Tu fonces en direction de tes alliés pour recevoir un sabre et les seconder
-> Tu longes la ligne ennemie en tentant d'égorger des cibles isolées et paniquées
-> Tu tires des flèches en te rapprochant un peu
-> Tu préfères ne pas prendre de risques car tu es trop isolé

1) bourrinage

HRP : Enfin ^^
Armé d’un simple poignard et de ton arc, mieux vaut ne pas entrer dans la mêlée avant d’avoir reçu une arme de contact. Cependant, alors que tu cours en direction de la bataille, tu réalises que si ton équipement te permet de traverser les lignes ennemies, elle te rend vulnérable à la rage de tes condisciples… Trop tard, te voici face à un de tes maîtres. Inutile de tenter de le raisonner, il t’a déjà pris pour cible. Tu dois subir deux de ses assauts (sans lui infliger de dégâts) avant qu’il ne te reconnaisse.
Maître changpa : Endurance 45 Habilité 24
Ton coefficient d’attaque est de 18 – 24 = -6
Le membre 'Bisol von Sint-Omer' a effectué l'action suivante : Hasard

'Dé 10' : 4, 8
Ce qui donne d’après la table – 5pvs puis – 2 pvs, il te reste donc 33 – 7 = 26 points d’endurance.
Lorsqu’il réalise sa méprise, ton maître manque d’avaler sa barbe. Tu brandis l’arc en ajoutant « j’ai eu le chef ». Pas le temps pour de grands discours, mais le regard dont te gratifie le guerrier t’emplis de fierté. Tirant un sabre de son fourreau, il te le confie aussitôt, repart au combat.
 Tu décides de rester à l’arrière de tes lignes pour faire usage de l’arc en sécurité
 Tu suis ton maître
 Tu cherches le kensai pour te battre à ses côtés
 Tu cherches un changpa mort pour prendre son uniforme

3) je suis mon maître

Brandissant ton sabre, tu ressens une
douleur dans le bras: Tu constates qu'en effet ton mentor l'a à
moitié tranché. Na fouuuuutre! Hurles tu. Te voilà devant deux
confédérés surpris de voir un des leurs les attaquer. Tu peux
affronter un par un et infliger les dégâts du premier assaut sans
en recevoir :

Confédéré 1 : Habilité 13 Endurance
24 -> coefficient de 5

Confédéré 2 : Habilité 12 Endurance
23 -> coefficient de 6

Jets
de dés (cfr table pour le détail) : 4,
3,
3,
6,
9

Vares	Conf 1	Conf 2
26	24	23
26	15	23
23	7	23
20	Tué	23
19	Tué	12
19	Tué	Tué

Après
avoir taillé en pièces ces deux hommes de l'est, tu juges bon de
hurler « Wâââzhâââ » avant de :

->
Continuer à leur foutre la pâtée à ces mauvais

->
Fêter ça façon Adolf

->
Dormir parce que, Mortecouille, tu as déjà pas mal aidé là.

1)

Grisé de ton succès, encore couvert
du sang de tes adversaires (qui n'étaient pas des poulets), tu
fonces à la suite de ton maître, lequel se trouve soudain en
difficulté : Il vient de vaciller, et deux ennemis sont déjà sur
lui.

-> C'est louche que mon maître
vacille vu qu'il ne semble pas avoir bu plus que de coutume. Je me
bats ailleurs

-> C'est louche que mon maître
vacille vu qu'il ne semble pas avoir bu plus que de coutume. Je me
casses de là

-> J'leur pète la gueule à ces
fils de catins !

1)

Tu t'éloigne rapidement de ton mentor
qui se fait trancher la tête par un confédéré. Alors que son
corps s'affale, tu crois discerner un guerrier ossan, mais les
confédérés s'en retournent au combat, te masquant à nouveau la
vue. Lorsqu'ils disparaissent, ton constates avec dépit que l'ossan
n'est plus là. Mais l'a t'il jamais été ? Rageur, tu massacres un
de leurs compagnons qui n'avait pas pris garde à cause de ton
uniforme. Malheureusement, ceci ne passe pas inaperçus aux yeux des
trois confédérés qui accourent dans ta direction. Tu ne te sens
pas d'humeur à fuir cette fois, bien décidé à leur faire payer la
mort de ton maître. L'un d'entre eux est semble t'il un gradé, mais
il est blessé.

Tu dois les affronter deux par deux (1
et 2, puis 2 et 3), le troisième fuit si tu tues les deux premiers.

Le
membre 'Bisol von
Sint-Omer' a
effectué l'action suivante : Hasard

'Dé
10' : 9,
4,
9

Vares	Conf 1 (gradé)	Conf 2	Conf 3
H 18 E 19	H 15 (CA +3) E 11	H 12 (CA +6) E 15	H 11 (CA +7) E 13
19	Tué	15	13
15	Tué	6	13
15	Tué	Tué	13 (en déroute)

Tu massacres littéralement ces pauvres
bougres, mettant le troisième en déroute.


-> Tu le poursuis en hurlant

-> Tu te retires des combats

-> Tu tranches la tête de leur
gradé pour impressionner les autres

-> Tu vas combattre d'autres
victimes

3)

Découpant la tête de l'officier comme
on découperait une rondelle de saucisson, tu suscites à nouveau
l'attention d'un groupe de 5 guerriers adverses, lesquels se ruent
sur toi... Tu brandis alors ton trophée que tu agrémentes d'un cri
sauvage.


-> Sur dé 10, 1-3 = déroute, 4-7 =
très déstabilisés, 8-9 = peu d'effet, 10 = les rend fous de rage

=> 7 : très déstabilisés

La surprise fait rapidement place à
l'horreur, et les confédérés restent un instant figés. Tu
n'attends pas qu'ils se reprennent et tranche le bras du premier,
avant d'affronter les 4 autres, épouvantés. Ils sont affaiblis par
le choc psychologique et perdent tous 1 points d'habilité après
chacun des leurs tués, et les deux derniers fuient. Mais ils se
battent trois par trois.

'Dés 10' : 7,
7,
7,
5,
9,
9,
6,
5,
6,
3,
8,
7,
5,
7,
1,
1,
10,
7,
5,
9

H : 18 E :15	H : 12 (+6) E : 15	H : 11 (+7) E : 16	H : 10 (+8 ) E : 20	H : 12 (+6) E : 14
H : 18 E :15	H : 12 (+6) E : 3	H : 11 (+7) E : 16	H : 10 (+8 ) E : 20	H : 12 (+6) E : 14
H : 18 E :15	mort	H : 10 (+8 ) E : 16	H :9 (+9) E : 20	H : 11 (+7) E : 14
H : 18 E :15	mort	H : 10 (+8 ) E : 2	H :9 (+9) E : 20	H : 11 (+7) E : 14
H : 18 E :11	mort	mort	En déroute	En déroute

A la vue de la fuite de leurs
condisciples hurlant que tout était perdu et que leurs ennemis
étaient des démons, la peur commence à gagner leurs rangs. Lorsque
tu débouches de la fumée, l'écume au coin des lèvres, les cheveux
poisseux de sang et la tête sanguinolente d'un de leurs officiers au
poing, c'est la panique. Impossible pour les autres officiers
d'empêcher la déroute.

-> Tu les poursuis en incitant tes
compagnons à t'imiter

-> Mieux vaut se regrouper et ne pas
s'enfoncer dans la nuit, même si c'est des tafioles et qu'on les
entend se vautrer sur le sol jonché de rochers.

2)

Tu n'es pas doté du sixième sens, tu
n'anticipes donc pas la flèche que viens de te décocher un des
derniers changpas en mode boucherie. (Dé 8 : Bien raisonné, compagnon ! )

La flèche te frôle, te rappelant
aussitôt que tu es toujours déguisé... (Pas de charisme spécial :
doit lancé un dé pour convaincre sinon deuxième flèche : Ok). Tu
parviens à convaincre tes alliés que ta véritable identité n'est
pas celle qu'ils pensaient être grâce à quelques mots bien choisis
dans ta langue natale. Les rescapés se regroupent autour de toi,
tandis qu'on entend au loin les cris des ennemis en déroute,
lesquels sont encore poursuivis par quelques moines écumant de rage.
Au nombre de cinq, vous vous demandez comment vous avez pu mettre les
confédérés en déroute. A l'annonce de ton exploit, tous sont
émerveillés. Cependant, tu constates rapidement l'absence du grand
maître du monastère. Tu apprends alors qu'il s'est écroulé, sans
avoir été touché. Parmi vous, un maître des arts martiaux, un
scribe, un disciple formé au sabre, un disciple à la médecine et
toi même.( Suite bientôt )

Tiens, faudra que je continue moi ^^

L'examen du corps du maître révèle la présence d'un dard, visiblement empoisonné, figé dans son illustre jambe. Le disciple médecin est d'avis qu'il s'agit d'une fléchette ossan, au vu des plaques bleues présentes sur le corps. Tu répliques qu'il est certain que les guerriers étaient des confédérés, même si tu penses avoir aperçu un ossan lors de la bataille. Il vous semble alors que seules deux options permettent d'expliquer ce fait :
1) Les ossans ont payé des mercenaires pour raser le monastère
2) Les confédérés préparent une invasion et on essayé de détruire cet avant-poste, aidé par des ossans
Qui plus est, les getteurs de vos tours de guets n'ont pas signalé l'arrivée des ennemis, or les confédérés auraient étés repérés de loin, surtout si ils vennaient de la mer. Il faudrait peut-être vérifier ce qu'il en est auprès des guetteurs. Vous supposez tout de même qu'ils ont étés assassinés par des ossans, du moins une partie d'entre eux.
Vous décidez de :
1) Partir du côté de la mer au plus tôt pour repérer leurs éventuels navires
2) trouver la tour de guet la plus proche
3) Partir à l'ouest vers la cité changpa la plus proche