-Bon, bin , les gars, j’crois qu’on va aller prévenir le premier bled venu, histoire de vérifier si ils sont toujours bien vivants, et éventuellement emprunter des montures pour rejoindre le khan local, tente le scribe qui préfère comme toi ne pas aller chercher plus d’ennui pour le moment, a vu de vos effectifs innombrables.
Les autres opinent de la tête. Le maître aurait préféré plutôt vérifier les avant-postes, mais bon, puisque ses compagnons préfèrent aller du côté ou le ennemis ne sont pas, on ne va pas tenter le diable.
Vous vous mettez aussitôt en route, après avoir prélevés divers indices, tels que le dard empoisonnée. C’est vraiment chouette de vivre dans ce semi-désert, mais en fait, c’est plutôt difficile d’être discret et rapide à la fois si on se promène à découvert. L’option retenue est de repérer par où ont fui les confédérés, et de ne pas aller par là. Ca semble déjà un bon plan. D’autant que vous retrouvez rapidement les moines qui les poursuivaient. Morts, évidement, et laissés aux rapaces. Vous les enterrez dignement, puis bifurquez un peu plus vers le Nord, afin de s’éloigner de la mer.
Vous narrez vos exploits de la nuit sous le regard désapprobateur du maître qui a vu des combats plus glorieux. Le scribe n’est plus très bavard, sans doute a-t-il survécu en se terrant dans quelque trou durant l’assaut.
Enfin, vous arrivez en vue d’un troupeau de chèvres, annonciateur de la présence de leurs bergers. En effet, vous avez tôt fait de les trouver. Ils n’ont pas eu vent d’actes similaires, mais évidemment, cela ne prouve rien, vu qu’ils ne sont que des pauvres bougres perdus dans ces steppes aussi vides que vos estomac. De bon cœur, l’homme vous offre à manger. Tu regagnes 3pvs, ce qui t’en fait 14. La troupe se remet rapidement en route, toujours à pieds vu la difficulté de chevaucher une chèvre (même si les changpas sont tout p’tits). Vous arrivez au bout de quelques jours auprès de la tribu de phénix-machin. Le moine médecin vous a plus ou moins tous retapés, tu as 20 pvs. Vous demandez aussitôt audience et tasse de thé au chef de tribu qui vous accueille dans sa yourte qui en jette à mort, avec le tapis coloré et tout. Bon, le bougre est moyennement heureux de la nouvelle. En fait, il avale son thé un peu abruptement, ce qui est à éviter lorsque ledit breuvage frôle les 80°C. Une fois le khan un peu remis, il s’emporte, réclame vengeance, tuerie, massacre, encore vengeance et puis surtout boucherie. Et vengeance aussi.
1) Du calme vieux, on va en parler aux autres tribus, et on va voir ce qu’on fait
2) A mort ! On fonce avec ses troupes montées le long de la côte pour tuer tout ce qui n’est pas bridé
3) On va envoyer un commando avec des troupes utiles vers le monastère
4) Idem mais vers les ossans car c’est des gros enfoirés et c’est forcément eux !
5) On va toujours prendre le thé, puis après, si ils viennent nous faire défequer ici aussi, on les tue, puis on boit du thé.