Desole pour mon clavier qwerty
Chapitre un : Le lieu de Rendez-vous
Personnages utilises : Belzebuth, Robert, Heinrich, Ludwig, Bisol
Les personages arrivent au fur et a mesure. D’abord Belz et Robert, puis Ludwig, puis Heinrich. Aucun ne sait pouroi ils sont la, mais ils savant qu’ils doivent partir avec Bisol pour quelque quete absurde qu’il aura encore imaginee.
Quelques notes : Seul Heinrich est equipe pour voyager, avec un enorme sac remplis de brol qui sent abominablement le fromage. Belz essaiera d’ailleurs de le subtiliser plus d’une fois, et Ludwig de le faire disparaitre. Robert et Belz sont en armures completes, et n’ont rien d’autre. Ludwig a du matos d’architecte. Heinrich ne maquera pas de les critiquer, exaspere de leur stupidite. Il hesite deja a abandonner.
Bisol arrive en dernier, et leur explique la situation : Il a entendu parler de Kensais, fabuleux guerriers changpas qu’il voudrait etudier, et si possible ramener a Artos en temps que professeurs. Beaucoup de remarques, dans l’idee :
Belz : C’est des primitives, des lopettes.
Robert : Je m'ébaudis, quell fou ce Bisol.
Heinrich : C’est bien une idée digne de ton esprit tordu et sournois, je ne cherche meme pas a contredire, tu ne m’ecoutes de toutes facon jamais.
Ludwig : Ils auraient pas plutot des architectes de genies ?
Je les ignore et prete serment une fois passes le pont –levis : Je reviendrai avec un kensai ou ne reviendrai pas.
Belzebuth fait alors mine de rentrer : Enfin, rentrons les gars, et Bisol ne pourra ni nous suivre ni reussir seul, quel plan parfait. Ludwig est d’accord, mais lui est base a Woodstock. Par compassion, Belz les suit.
Chapitre deux : Le depart
Personnages utilises : Belzebuth, Robert, Heinrich, Ludwig, Bisol
Ludwig veut savoir mon plan d’action : Penetrer leur territoire incognito, en kdnaper un et rentrer.
Ludwig : Dans ce cas, comment passer inapercu ?
Silence. On fera un effort, voila tout.
Robert : Voila quoi, Je m'ébaudis
Ludwig : Comment on localise un kensai sans declencher une baston generale ?
Belz : On declenche une baston generale.
(…)
CCL : Il faut un traducteur. Facile, il y en a a Artos qu’on vient de quitter.
Oui, mais serment debile, donc, on peut pas. Tous sauf Belz oublient que seul Bisol ne peut pas rentrer, mais comme il veut uner baston generale, il ne leur fait pas remarquer.
Ca ennerve beaucoup Heinrich ( Et voila ! Bisol nous a encore prouve toute son incapacite a mener un projet correctememt. Je suis meme sur qu’il n’a meme pas pense a notre ravitaillement sur place ! etc….). Ludwig se marre, et donc, Robert aussi.
Mais Bisol a un plan de rechange : En piquer un a Tyrstadt, puisqu’ils commercent avec les Changpas. Tous sont pour ( pas con !) sauf Heinrich qui en a deja marre de l’intelligence prehistorique de ses compagnons. Par depit il demade quand mme comment Bisol compte penetrer dans la cite. Bisol demande des suggestions :
Belz : Une breche au trebuchet.
Robert : Je m'ébaudis, evidement. Voila quoi.
Ludwig : Tunnels
Heinrich : On y va pas.
Bisol conclu : On se fait passer pour des marchands.
Et nos armes ?
On est marchands d’armes (applaudissements)
Depuis quand l’Etat vend ses armes ?
On est des artisants locaux, voila tout.
Robert : Je m'ébaudis, voila quoi.
Heinrich abandonne, il est las, mais las…
Chapitre 3 : La riviere
Personnages utilises : Belzebuth, Robert, Heinrich, Ludwig, Bisol
On se retrouve la nuit tombee devant la riviere qui separe la province gothique de celle de Skaerling. Deux options pour la traverser : Passer un pont, ou louer un navire, qui permet en outré de gagner la ville via le fleuve, en tant que marchands.
Belz propose, pour une question de discretion de traverser a la nage.
->Le pont nous fera reperer, et le navire aussi.
Sauf qu’on sait pas nager.
->Oui, mais les chevaux bien.
Sauf qu’on est en armures, et que la riviere est un fleuve et est large. Et, accesoirement, qu’un marchand est civilise.
Belz boude :
->On est PAS des marchands, et je suis sur que je vous balance un roc de l’autre cote avec un bete trebuchet ( portee 200 m).
On se passera de la demo. Il fait nuit on verra rien.
->Oui, mais si on entend pas plouf, on sait que c’est ok.
Oui, mais on a PAS de trebuchet.
->Pas de ssoucis, je vous en fait un en 2 minutes moi.
Repete l’interet ?
->Prouver qu’on peut traverser rapidos et discretos ce ruisseau.
Je suppose qu’un trebuchet est d’une discretion redoubtable, surtout qu’on est les seuls a savoir en faire.
-> On le crame après evidement.
Evidement. (….) C’est non.
Ils dorment.
Au reveil, horreur, il a construit un trebuchet (n’oublions pas qu’il ne dort pas)
Ludwig et epate (cooperation lui-belz ?)
Bisol et Heinrich veulent le tuer : Bravo pour la discretion.
Un drakkar les a deja repere et ses dirige vers eux.
Belz : je teste la portee, regardez bien !
Nooooooooooooooooooooooooooon !
Le boulet part et tombe trop court, en plein sur les Vikings. Les navire est coule.
-> En effet, trop court. Bizarre, d’apres mes mesures sur un baton, ca devait aller, elle devait pas faire plus d’un pied de large. Z’avez p’tet raison les gars.
Heinrich demande a Belzebuth ce qu’il a balance.
-> ce rocher, la.
Si c’est ce rocher, pourquoi est t’il la ?
-> Heuuuu
Ludwig se marre. Heinrich comprend : Il a remplace le rocher par son sac a dos (tous aussi lourd). Il le balance a la flotte avec pour ordre d’aller le repecher.
(suite a venir)