La saga mp3

Alors, ça avance ici, où je dois vous fouetter ? 8)

Moi tant qu'il me contacte pas, je fous rien. C'est SA saga mp3, après tout...

Je t'ai légèrement invité une semaine chez moi

Bon, je squatte le pc de l'ecole, et j'en ai profite pour taper 5 pages de scenar tres detaille (bha, j'ai deja le squelette de fini de toutes facons).
Il manque le debut, mais vous vous y ferez, et au qwerty ausi

H: Grmmml
Lu a Belz : Je persiste a croire qu’on aurait du l’abandonner sur place, il finira par nous massacrer.
Belz : Heureusement, on est quatre a lui resister. Bisol a peut-etre des plans foireux, mais il arrive toujours a me surprendre. Je suis persuade qu’il ne nous a pas choisis au hazard, et qu’il a prevu ce genre de problemes. Tout au moins, nous nous contrebalancons dans les avis, et on finit toujours par l’ecouter.
Lu (jette un coup d’oeil a Bisol puis au groupe) Mouais, m’enfin, je doute encore… Et si on abandonnait Bisol avec Heinrich en fait, je crois qu’on aurait plus de chances de success, non ?
Bel : Tu oublies que Heinrich a la bouffe, et que Bisol l’obligera a partager. Qui plus est, notre chef a au moins une qualite : Il est tenace.
Lu : Dans son cas, j’appelerais ca ‘borne’, en fait…
Belz : Appelle ca comme tu veux, mais sans lui, on se serait deja arrêtes a la premiere auberge rencontree.
Lu : Depuis quand tu bois toi ?
Bel : Qui te parles de boire ? Moi j’aime rencontrer des gens, me réchauffer au coin du feu, ce genre de choses…
Lu : Arretes … Tu bluffes la ? Toi, sociable ?
Belz : Lupanar ! Tu es un gueux ou quoi ? Les gens, je leur cause pas, je les tue, les viole, les retues, et le feu, je le boutte a l’auberge gars !
Lu : Ha, ouiii, je comprend mieux. Ouf, un instant tu m’avais fait peur…
Bi : Haaaaaaaaalte. La, la frontière impériale.
Hein : Et la rivière. Peux tu m’expliquer pourquoi tu nous fait faire ce grotesque détour par le nord alors que nous allons vers le nord-est, mmmmh ? Pour être certain de devoir franchir la rivière deux fois et d’entrer en guerre avec l’Empire en plus des vikings je présume ?
Bi : En fait, j’avais oublie qu’on devait changer de direction. Ce n’est pas grave : Nous allons voler un navire du poste et rejoindre >>>>> par voie fluviale, n’est-ce pas incroyablement intelligent ?
Hein : C’est surtout incroyablement bisolesque…
Lu : J’avoue, Bisol… Les impériaux ne sont pas aveugles, leurs navires sont soit de gigantesques cubes flottants soit des coquilles de noix approximativement aussi efficaces pour naviguer qu’une passoire en bronze. Et, les vikings ont comme qui dirait des drakkars qui patrouillent le cours d’eau…
Bi : Je ne crois pas aux racontars, alors les deux septiques la, Heinrich et Von Hellsing, vous allez aller en repérage et vérifier vos dires.
Belz : Et tu leur fais confiance ? Même si ils voient qu’ils ont tort, ils te prétendront le contraire ! Je les connais ces fourbes !
Heinr : Bisol, tu n’es qu’un Saint-Thomas !
Bi : Au moins, je suis un Saint, moi. Bien, alors Belz, tu les accompagnes, mais pas de petites gamineries, est-ce clair ?
Belz (souriant a Heinr) : Très clair mon commandant.

Hein : Je te préviens le Possede, et toi aussi le païen, pas de coups foireux, sinon je vous noie dans cette maudite riviere.
Bel : Allons, toujours à broyer du noir ! Cesses donc de ramoner sans arrêt, et concentre toi sur l’objectif.
Hein ( fixant le poste) : Je ne suis pas sur que ça arrange les choses…
Ludw a Belz : En fait, j’y pense, un accident est si vite arrive, il pourrait se faire repérer et on devrait l’abandonner car tout était perdu, non ?
Belz : D’accord, si tu portes son sac de bouffe.
Lu : … Tu ne penses jamais à long terme toi ?
Bel : A quoi bon, autant penser a ce qui arrivera dans un futur proche et quasi certifie, non ?
Hein : Cessez de conspirez dans mos dos vous autres ! Nous arrivons. Bien, une idée pour traverser ?
Belz : A la nage ? Vas y Heinr, on t’attend pour voir si ça marche.
Lu : Je peux aussi construire un pont !
Heinr : Mais pourquoi est-ce que Bisol choisis toujours les plus débiles de ses hommes pour l’accompagner dans ses quêtes bisolesques ?
Lu : C’est vrai quoi, ça sert a quoi un politicien fanatique et bênet du village pour un quête ?
Hein : (Sourire crispe) Je vais le TUUUUUUUUUUUER !
Belz : (le retenant) nan, attend, j’ai une meilleure idée !
Hein : Dis toujours, mais je sens qu’elle va m’achever…
Belz : Bien : On te met en arrière d’environ 300 m, et on leur crie que tu veux nous tuer, et qu’on est des impériaux, et qu’il nous faut du renfort !
Hein : Je le savais. Seigneur, pourquoi m’infliger vous ces épreuves atroces ? Ne vous ai-je pas encore prouve ma foi en vous ?
Lu : Arrête ton cirque. L’idée de Belz est, il est vrai d’une stupidité hallucinante, mais notre mission étant encore pire, et les tloxcoleques bien plus stupides encore que la mission, ça devrait même être faisable…

Soldat tlox : El Tauro, du mouvement du cote des gothiques.
Samu : Vraiment ? Mouhahahaha, enfin ! Ma hache de guerre, ou est ma hache de guerre ?
Sold : Juste la commandant, sous votre nez.
Samu : … Qu’attend tu pour me la donner ?
Sold : Heuuu, oui, voila voila.
Sprotch
Samu : Je lui apprendrai à se moquer de ma mauvaise vue. Bon, par contre, c’était le dernier homme de mon escouade de la semaine. Rhaaaaa, je doit encore attendre 4 jours pour avoir la relève ! Je leur ai pourtant bien dit que 500 hommes par semaine c’est trop peu pour un poste de cette importance ! Je vais donc devoir accueillir ces chiens en personne. (Monte dans sa tour).
Belz : Pitié, pitié aidez nous, un gothique enrage nous a pris en charge, et il va nous étriper si vous ne nous aidez pas a vite traverser !
Samu : (se grattant la crâne) Ha, bien. (A lui-même) Cela arrange bien mes affaires, j’ai horreur de devoir tout faire moi-même, surtout les taches ménagères, brosser mes chaussures, me torcher,… C’est entendu, vous pouvez venir.
Lu : Tu ne crois pas qu’il était cynique la ? Il n’a pas l’air de bouger beaucoup pour nous aider, il reste juste là-haut, à regarder dans la direction opposée. Je pense qu’on aurait pu faire l’effort de se déguiser, ou d’au moins enlever nos armures…
Belz : Je te dis que les impériaux sont stupides.
Lud : Par contre, je n’aurais pas donne d’arme à Walpot, il m’a l’air un peu trop dans son rôle, et il était sensé faire semblant de courir, pas nous foncer dessus a toute allure en hurlant.
Belz : Heuuuu….
Lud et Belz : (avec une conviction redoublee) Aidez nouuuuuuuuuuuuuuuus !!!
Samu : (enjambant les créneaux) J’arrive !
Belz : Tu vois, je te l’avais dit, ils sont justes stupides.
Lud : La, je dois bien reconnaître que sauter depuis une tour de 10 m pour secourir deux poireaux habilles en gothiques ça vaut des points… Mais je vois pas commet il va nous sauver maintenant.
Samu : (se relevant et se massant le dos, a lui-même) Mortecouille, j’avais pas vu ce trou ! Bon, vous etes ou ?
Belz : Je crois qu’il nous cherche.
Lud : Mais lupanar, on est juste en face de lui, sur l’autre rive.
Belz : Je crois que notre ami a des problèmes oculaires… Héla, par ici !
Heinr : Rhaaaaaaaaaaaaaaa !!!!
Lu : Viiiiiiiiiite !
Belz : Je crois qu’il va charger, regarde (montrant Samu grattant du pied, tête baissée).
Samu, chargeant droit devant, hache de bataille a la main : Mhuuuuuuuuuuuuu !!!
Lud : lupanar, il s’enfonce dans l’eau !
Belz : Et il n’essaie même pas de nager, il court visiblement sous l’eau.
Ludw : Tilt : La voila la solution : Une sorte de grosse cloche de bois sous laquelle nous marcherons sous l’eau, disposant de réserves d’air ! Je peux nous faire ça, j’ai le matériel.
Belz : On en reparlera (dégaine son épée)
Hein : Rhaaaaa, je vais te crever vil hérétique !
Belz, parant son coup : Essaie toujours vieille branche. Lud ! (Clin d’œil entendu)
Lud (brandissant son marteau pour le lancer) : Heinrich !
Hein (tournant la tete) : ?
Paf (marteau en plein front)
Belz : Et un problème de règle.
Samu émerge de l’eau en courant toujours tête baissée
Belz : Reste a gérer le second…
Lud : J’en fais mon affaire. Viiiiiiite, par ici (a samu, en l’entraînant dans une direction opposée. Renouvelle l’expérience deux ou trois fois, puis revient près de Belz). On devrait en être débarrasse pour un moment je pense.
Belz : Et que fais t’on d’Hein ? Si il se réveille sans nous il va attaquer ce fou dangereux et va se faire tailler en pièces.
Lud : Et en petites pièces… Mais où est le problème ?
Belz : La bouffe Lud, la bouffe.
Lu : Bon, alors on le réveille ?
Belz : On le laisse la, regarde, l’enrage s’éloigne (montrant samu au loin, rugissant encore).
Lu : Ok, de toutes façon, on doit encore faire notre cloche.
Belz : Parfait, je vais chercher le bois.

Belz : Pas mal ton truc. Reconnaît le Hein, il sait parfois se rendre utile ce bon vieil intendant, pas vrai ?
Hein : Rappelle moi pourquoi je ne t’ai pas tue toi et l’autre bricoleur ?
Belz : Parce qu’on ne faisait que se défendre et qu’on ne t’as pas tue non plus. On a même hésite pour être francs.
Lu : Bien, je crois qu’on peut la tester. Ca tombe bien, la nuit est tombée, on sera moins facilement repérables.
Belz : De toutes façon, l’autre poireau était visiblement le seul du coin, ou alors il ne manque pas vraiment à ses compagnons. Dans un cas comme dans l’autre, c’est très plausible, et c’est tant mieux. Je ne crois pas que ces singes pousseraient le vice à poster des vigiles la nuit, un tour de garde demandant un minimum d’organisation.
Hein : Des nouvelles de Bisol ? Il n’est pas encore venu nous inspecter ?
Belz : Pour être franc, je pense qu’il nous croit mort et qu’il a quitte les lieux.
Lu : Et si tu allais t’en assurer Heinrich ? De toutes façon, ma cloche n’est prévue que pour deux personnes, car nous ne savions pas quand tu reprendrais connaissance.
Hein : Excuse stupide. Mais puisque je gêne, je vais donc aller rejoindre Saint-Omer et Robert. Bonne chance quand même (leur tendant la main, qu’ils regardent ébahis avant de la serrer).
Lu : Ouais, bonne chance a toi aussi vieux, et sans rancune hein ?
Hein : Dieu vous punira bien mieux que je ne pourrai jamais le faire, ne t’en fait pas !


Belz : Comment on sait par ou aller, on ne voit rien, et c’est vraiment la Mortecouille pour marcher, c’est une cloche de nains !
Lu : J’avoue, j’aurais du prévoir qu’on puisse s’y tenir debout, pour pouvoir marcher, mais bon… J’avais peur qu’elle n’offre une trop grande résistance et ne soit retournée par le courant.
Belz : A ce propos, si tu avais songe a la lester de métal et a la pourvoir de poignées a l’intérieur, ça m’aurait évite de devoir faire l’épouvantail pour ne pas la voir remonter, et crois moi, ça troue le cul comment c’est dur a retenir.
Lu : Contente toi de serrer les fesses et de marcher en crabe, sinon on ne vas jamais arriver vivants.
Belz : Il se passe quoi si je soulève un peu trop la cloche ?
Lud : Elle se rempli instantanément d’eau, et on ne serra plus jamais la soulever avec la pression de l’eau.
Belz : Prouuuuuuuuuuuut
Lu : …
Belz : …. Hohohohoho
Lu : Nan, ne lache pas les parois !!! (Parvient de justesse à les retenir le temps que Belz y repose ses mains). Mais quelle est cette odeur ignoble… Ne me dit pas que tu as ?
Belz : Siiiiiiiihihihiii
Lu : Rhaaaaaa, mais lupanar, on doit respirer cet air vicie pour survire a présent, espèce de sale enfoire.
Belz : hohohoho, arrêtes de me faire rire bâtard !

Bisol : Bon, je crois qu’ils ont échoues… Cette mission devait être vraiment trop difficile.
Robert : Je m'ébaudis, évidemment, quel fou ce Bisol.
Bisol : Mais…. Non, c’est impossible, ils ne peuvent être morts, ils sont de ceux qui arrivent toujours à s’en tirer !
Robert : Ben voila quoi, aussi.
Bisol : Viens, nous allons aller voir si ils n’ont pas besoin d’aide !
Robert : Tous des grands vainqueurs sauf moi.
Bisol : Je te demande pardon ?
Robert : Ben, faut pas chef, Je m'ébaudis, vous avez rien fait de mal.
Bisol : … okkkkkkkkkk. Suis moi, au galop !


Lud : Kof kof kof, lupanar, uuuuu, uuuuuuuuuuuh, insoutenable…
Belz : te plaint pas, si je recyclais pas l’air, on n’en aurait pas eu assez !
Lud : Si tu pouvais le recycler en air RESPIRABLE, ça aurait aide, mais la, tu nous a gazes.
Belz : je trouvais ça parfaitement respirable moi.
Lud : Et bien, tu dois être immunise, ou dote de l’odorat d’un poisson rouge. Ou alors, ton air vicié est plus lourd et allais vers le bas de la cloche, et comme je suis plus petit…
Belz : Fallait manger sa soupe Von Hellsing (lui tapotant le crâne).
Lud : Hin Hin Hin, très amusant. Bon, on fait quoi maintenant qu’on a miraculeusement traverse ?
Belz : On trouve leur fort, relooke pour voir si il y a des bateaux, découvre qu’il n’y en a pas et retraverse.
Lu :… Et Mortecouille, j’avais oublie à quel point la mission était débile.
Belz : Moi pas.
Lud : J’admire ton courage…
Belz : Note, tu pourras toujours en faire une plus grande, il y a plein d’arbres de ce cote.
Lu : J’ai laisse mes outils de l’autre cote…
Belz : Evidement, si tu n’y mets pas un peu du tiens… Bon, ne route, le fort est la.
Lu : Comment tu sais ça ? Il fait nuit noire !
Belz : Je suis un Nique-salopes, je suis adapte pour les dans le noir le plus total, quand elles sont les plus chaudes.
Lu : Ha, je vois. Bon, bin, allons y.


Bisol : Donc, Heinrich, ils viennent de traverser la rivière ?
Hein : C’est ce qu’ils sont sensé avoir fait a l’heure actuelle si le bricoleur ne s’est pas trompe dans ses plans, ce qui me semble d’ailleurs beaucoup demander.
Bisol : Tu entends ça Robert ? Je le savais que mes gars étaient des durs.
Robert : Evidement.
Hein : Je vous ferai grâce de leur plan précèdent, par pitié pour vous.
Bisol : Je t’en remercie Walpot, je pense bien que ça m’aurait fait mal… Mais quel est le plan actuel, a ce propos ?
Hein : Ho, je ne vous l’ai pas dit ? Il ont bricole une cloche de bois, et se sont enfonces dans l’eau sous elle, disposant la d’une réserve d’air pour traverser.
Bisol : Et elle s’est enfoncée ? Ils l’avaient lestée, bien sur ?
Hein : Et bien, figures toi que non, mais qu’elle s’est enfoncée quand même. Le Possède n’a peut-être pas de cervelet, mais il a visiblement des muscles.
Robert : Ben voila quoi.
Hein (le regardant) : Ho, ciel, un autre.

Wha ! Ca m'as bien fait rire (surtout samu, jespère qu'on le reverra ^^)
Mais j'ai pas le courage de te démonter maintenant, si on se recontacte...

vile catin, il faut que je me fasse samu moi 8) Il est à quel moment ?

Drôlesque!!!! Samu le taureau!!!!

Suite, plus scenarisee que finie :

Belz et Lud ne trouvent rien. Belz fait un feu pour le prouver à Bisol qui voit rien dans le noir. Il crame le fort tloxco et s’appercoit qu’il y avait de petites embarcations a l’intérieur d’une sorte de hangar maintenant en feu. Lu remarque les voiles qui crament, mais ne dit rien. Bisol s’énerve : idée stupide, les tloxcoleques vont nous repérer ! Pour retraverser, les deux prennent une poutre calcinée et tente de s’échouer sur l’autre river en s’y agrippant (mais elle se retourne et le courant les emporte dans les ténèbres). Samu, attire par la lueur du feu, rapplique. Tandis que Hein et Bisol réfléchissent, Robert lui fonce dessus. Ils s’auto massacrent sans pour autant se tuer (et Robert se marre ; Tiens mange, Je m'ébaudis). Bisol empêche Hein de l’aider : Deux vs 1 n’est pas honorable. Hein se contente de tirer Robert en arrière et de tourner samu vers la lueur vers laquelle il fonce, retraversant du même coup la rivière.
Bisol, Hein et Robert descendent la rivière pour retrouver les deux autres. Hein propose d’accepter l’évidence : Ils sont morts et c’est tant mieux. Bisol fini par admettre qu’on ne peut pas les retrouver de nuit de toute façon, et fait monter le camp sur la rive.
Belz s’était agrippe d’un bras a la poutre et tenait Lud de l’autre, il réussit a les sauver, et ils se cramponnent au bois, pour enfin échouer sur la berge 30 km en aval.
Marche de nuit pour revenir (en partant du principe qu’ils sont du bon cote de la rivière). Ils arrivent épuises a l’aube, juste a temps pour se faire engueuler par Bisol et repartir vers Tyrstadt. Heureusement, nous avons toujours nos chevaux.
On arrive de nouveau devant la rivière, qui fait frontière entre le nord de l’Etat et la province viking. Deux options : Emprunter la route Artos-Tyrstadt qui, forcement mène a un pont (idée de Hein) ou louer un navire (idée de Bisol). Dans les deux cas on se ferait passer pour des marchands d’armes et leurs gardes du corps (pour justifier notre équipement). Lud tente de proposer un tunnel, mais non. Pas de cloche géante non plus, pas plus qu’un pont personnel. Si personne n’a d’autre idée débile, on peut donc voter entre navire ou pont. Belz en a une : Pourquoi ne pas passer a la nage ?
Les réponses pleuvent : On ne sait pas nager, on est en armures lourdes, les marchands sont civilises, c’est large. Belz nous traite de lopette et veut nous prouver que si un boulet de trébuchet peut le faire, pourquoi pas nous ? C’est lourd, ça sait pas nager, c’est très polit et la distance a parcourir est la même. On se passe de la demo : C’est con, c’est absolument pas discret, et c’est la nuit on verra rien. Non, enflamme c’est vraiment pas le bon plan, sauf pour s’annoncer de manière a ce que tout les vikings nous attendent le lendemain.
On monte le camp et passe la nuit sur place, un peu a l’écart. Le lendemain, horreur, Belz a monte un trébuchet. Lud est épate (coopération avec moi ?) mais Hein et Bisol se mettent d’accord, il faut lui expliquer. On est interrompus par Robert qui nous montre qu’un drakkar a déjà repere l’engin et vient dans notre direction. Belz profite de ce moment de répit pour tester la porte de son arme et leur prouver que son idée tient la route. Le projectile tombe bien trop court, et coule le navire. Belz est étonne, son trébuchet aurait du envoyer le boulet bien plus loin. Et, étonnamment son boulet est encore la. Qu’a-t-il bien pu lancer ? Ca devait être lourd et encombrant en tout cas. Hein, pris d’un doute se rend compte que son sac a disparu. Il tente de massacrer Belz qui se défend : Il se bat depuis le début pour conserver ce sac ! Lud peut témoigner. Comme ce dernier se marre, Hein comprend que c’est lui qui a remplace le boulet et le balance aussitôt a la flotte. Révélation, il sait nager (je me noie, je me noie ! Ha, ben non en fait). Reste un soucis avant le départ : Seuls les soldats de l’Ordre ont des chevaux. Il faut s’en débarrasser, ou bien oublier le plan des marchands, foncer a travers les barrages de la route et trebucheter la ville pour entrer de force (plan de Belz). Non, on va devoir trouver autre chose.

Les plans : Les déguiser en yacks, faire semblant qu’ils sont empailles et qu’on va les vendre, les manger. Robert donne son avis en dernier, et choisit donc de les manger (dernière proposition). Bisol, qui est végétarien les leur laisse et va brouter par compassion pour les bêtes. On choisit ensuite l’option du bateau, qui permet d’éviter le gros des patrouilles et de gagner la ville plus rapidement. Non, on ne va pas piller un port pour en avoir ni ship-jacker un navire. On va faire du ‘stop’. Hein a un doute : Qui accepterait de prendre un tel groupe ? En tout cas, il est entendu que ceux qui ne parlent pas viking se feront passer pour muets (on se fout que 80% soient muets et que c’est pas louche du tout). Un navire vient miraculeusement vers nous (non Belz, on ne le coule pas) et on les paie en goths, monnaie acceptée ici mais assez typique des gothiques quand même). Belz se demande pourquoi on ne peut pas être des marchands gothiques, en fait ? Surtout que nos armures sont trop perfectionnées que pour ne pas être de l’Ordre. Parce que, les vikings se méfient de nous. Tout cela est donc très logique, car une bande de mecs vêtus de noirs avec accent allemand, armes lourdes et monnaie gothique sont très discrets comme tout le monde le sait. Belz et Robert sont vites apprécies de l’équipage : Belz parce qu’il apprend leur langue avec facilite, et Robert pour son énergie, sa serviabilité et sa constante bonne humeur. Bisol a la gerbe, Hein joue le muet avec un zèle un peu pousse (il serait pas aveugle et sourd aussi par hasard ?) et Lud fait défequer les marins avec des questions techniques en langage des signes.
Le navire est attaque par des pirates, et les marins s’en sortent grâce a l’aide de leurs clients, les ‘marchands’. Belz fout le feu au navire ennemi qui allait s’échapper (nul ne sait d’où sortait cette boule de feu). Pour Hein, ce sont des contrebandiers qui les ont pris en stop : Ils ont des sales têtes, ils se font attaquer mais semblaient s’y attendre, ils ne peuvent pas ignorer qu’on est pas des marchands… Robert qui leur avait affirme qu’il était muet en a du coup rajoute. Belz prend l’initiative de leur demander si c’est vrai. Tentative des vikings de nous foutre a la flotte pendant la nuit, mais Belz ne dort pas, et les massacre tous avant de faire un grand feu avec les cadavres au milieu du navire. On doit tous sauter à la mer, après avoir abandonner nos armures pour augmenter nos chances. Par miracle on survit tous (on longeait la rive). On rejoint Tyrstadt par voie terrestre et une diversion nous permet d’entrer (balancer une hache dans la face d’un passant. On décide de se séparer une fois a l’intérieur : Un qui parle viking dans chaque groupe. Belz affirme le parler a présent, et Bisol le laisse donc partir avec Robert et Lud, car il refuse de laisser Hein avec lui par soucis de discrétion. Les deux vont interroger les passant pour savoir ou trouver un interprète, et Belz décide d’investiguer dans une taverne. Il se trouve que Belz dispose en effet de rudiments de nordique, mais ils se limitent à des insultes grossières que lui ont appris les marins. Il crée vite un attroupement autour de lui, tous désireux de l’affronter dans des sortes de concours d’insulte. Le commandant s’en sort très bien et Tarik en est averti. Il arrive sur le champ avec sa garde pour … lui prouver qui est le vrai maître des insultes vikings. Le roi, satisfait de son ‘interlocuteur’ lui tend la main et lui offre a boire, ce que le gothique ne refuse pas. Conscient que la boisson qu’il vient d’ingurgiter ne sera pas la dernière, et qu’elle est assez forte pour lui, il décide de tenter sa chance : Bourrer Tarik tout en filant ses propres pintes a Robert derrière lui. Vraala est septique : Robert se met a causer en goth et Lud, visiblement mal a l’aise, tente de le faire taire. Il en parle a Tarik qui, tout heureux d’apprendre que son second comprend le goth lui demande d’interroger Belz sur le présent que Tarik pourrait lui offrir en récompense de sa’ prestation orale’.

Et	Que	Dirais	Tu	D'un	SÉQUENCAGE	?
Je	l'	attend	toujours	.	.	.

C'est ULTRA IMPORTANT, et même s'il est très mal fait, c'est justement là ppur ça...

Vraala proteste sans succès et doit donc rapporter a son chef que Belz veut un interprète changpa-goth. Poussant son avantage, Vraala tente une ruse : Vous n’en avez pas dans l’ÉTAT ? Belz commence : Si, mais….
Lud l’interrompt : Mais on est pas dans l’ordre, donc, on y a pas droit. Robert fait tout foirer en s’écriant qu’il est capitaine, avant de prendre son marteau et de défoncer une table sur les débris de laquelle il tombe raide bourre. Mais Tarik ne tilte pas et se contente de se marrer en pointant la scène du doigt. Vraala tente de le prévenir, mais se retrouve engage comme l’homme qui les accompagnera, puisqu’il est interprète. Sentant qu’il est inutile de discuter, Vraala doit accepter, mais avec l’arrière pensé qu’il pourra mettre fin a leur aventure pendant le voyage. On apprendra plus tard qu’il est qui plus est interprète goth-viking seulement, mais qu’il s’est bien garde de le dire, ne voulant pas que son chef aide les gothiques, et surtout pas ceux-la (il a reconnu Belz malgré son subtil déguisement consistant en des poils pubiens en guise de moustache). Pendant ce temps, Bisol et Hein n’ont rien trouve d’autre que des poivrots, et après avoir tenter de trouver des informations a leur ambassade, ont eu la surprise de voir les crânes des ambassadeurs trôner sur des pieux devant la bâtisse calcinée, réaction a la destruction du drakkar par Belz le matin même.
Ils retrouvent l’autre groupe dans une rue, et Tarik, bien que bourre, reconnaît aussitôt Bisol. S’en suit un duel ou Bisol finit assomme par un coup de poing sur le casque. Robert réagit aussitôt en défonçant le crâne d’un des gardes vikings. Belz suit l’exemple et ils entreprennent de tailler du viking en pièces. Belz admet que c’est de la chair de meilleure qualité que celle qu’on leur sert d’ordinaire. Tandis que Vraala affronte Heinrich (deux doubles haches contre la grande croix qui, maniée par Hein fait office d’un marteau de guerre croisé avec une épée a deux mains), Lud assomme Tarik par derrière, avant de faire de même avec Vraala. Hein emporte Vraala sur son épaule et Belz fait de même avec Bisol. Lud doit rattraper Robert qui, ayant entendu le ‘repliez vous, il est trop nombreux’ des vikings a suivit le mouvement sans réaliser qu’il n’est pas concerne par l’ordre, donnant aux vikings l’impression qu’il les poursuis, d’autant qu’il est pris d’un fou rire aussi injustifié qu’effrayant pour les nordiques. On finit par tous se retrouver dans une ruelle, et à ligoter Vraala, mais Lud rapporte que les portes de la ville ont étés verrouillés. Il suggère de se replier sur le port sans tarder et d’y trouver un navire. On y parvient de justesse, car Robert, quittant notre groupe en entendant ‘rattrapez les’, lancé par Tarik, fonce dans leur direction en interprétant une nouvelle fois l’ordre de manière stupide. Hein parvient à lui donner un contrordre rapidement, et le capitaine rejoint le groupe à temps pour s’échapper. On se rend vite compte que Belz n’aurait pas du massacrer les membres de l’équipage, car notre compétence en matière maritime est assez pathétique. Tarik se lance à notre poursuite avec son propre drakkar, et ne tarde pas à nous rattraper. Lud trouve des barils d’huile dans la cargaison du navire, et aide par Belz, en déverse le contenu dans le sillage du drakkar. Belz y boute alors le feu. Trop proche pour s’arrêter, Tarik voit son bateau en feu et se trouve dans l’impossibilité de les poursuivre.

Heinrich Walpot a écrit:

Et	Que	Dirais	Tu	D'un	SÉQUENCAGE	?
Je	l'	attend	toujours	.	.	.

C'est ULTRA IMPORTANT, et même s'il est très mal fait, c'est justement là ppur ça...

Bha, on l'a deja fait ensemble, le reste c'est du fignolage, ce que je fais. je vois pas l'interet de taper un brol intermediaire entre squelette et scenario final... Enfin motre moi un ex en te basant sur ce que j'ai ecrit, que je visualise ton idee.

1)Pendant que Belz Lu et robert font des concours de rots et du massacre, toi et moi il se ne passe mais vraiment rien.
-> problème temporel : le actions de robert belz et lu durent bien plus longtemps que celles de hein et bisol. (ou alors on a glandé, ce qui n'est pas très plausible non plus)
-> On a vraiment le sentiment de nous séparer que pour rencontrer tarik sans qu'il ne cherche direct à nous massacrer... (en même temps, c'est vrai, tu va me dire... mais je crois que c'est mieux de pas le sentir. [ou alors on l'assume plerinement, mais c'est vite lourd...])

2)Il y a une journée de voyage pour aller de la rivière à la même rivière ... (après l'enguelade de Bisol)

Le séquencage c'est pas du fignolage pour tenter de faire de tenir ton histoire en racollant là ou ça marche moins, c'est vraiment refaire toute la structure pour en avoir une solide... C'est pas seulement un truc intermédiaire, on va revenir en arrière pour amilorer le tout, je te montrerais...

Et je suis pas trop d'accord avec le comportement de Tarik. Ce n'est pas qu'un viking bourré, il a pas été élu Kongr par hasard!

Il faut bien carricaturer... Sinon comment veux tu avancer ? Bisol est pas si incompetent non plus, ni Heinrich si taré ^^

Sauf Belzébuth, qui est bien aussi fou, mais en réalié mieux contenu par les autres ?

Voilà, IRL on l'encadre ^^

Pour finir j'ai zappé tout moi, dingue à quel point une femelle ravage le cerveau humain. Ou à quel point pas de femelle le ravage, en fait
Si je continue et avance bien, déjà, on peut faire une bêta version hein, ce qui motive c'est les résultats. Après on peut faire mieux non ? On enreistrerait où ?

T'as qu'à demander à Sébastien, c'est pas son futur boulot, non ?
Ok pour un épisode pilote alors (Et t'es vraiment devenu une bête de rut, toi).

^^ C'est le mot, sauf que je refuse de me laisser aller à penser comme mon penis. Oui, mais Sebastien, il faudra le prendre dans le sens du poil :ryhncv:

Si l'un de vous trouve Latmölk, pouvez-vous (gentiment) lui demandez de me passez le script de la saga mp3. Mon disque dur étant été reformaté contre mon gré, j'ai tout perdu. Il me semble que je lui avait donné le pdf, et tous les codes sources ensemble. Il me faut tout, surtout les codes sources.
Sinon, le pdf est au moins sur ton ordi Bisol ?