Tebtunis, citée confédérée

Suite à la guerre contre les vikings, Mithridas avait dû faire face à une population énervée, les philosophes avait soulevé la populace en insistant sur l’alliance avec les gothiques, ces hommes en armure obstiné et persuadé d’avoir la seule vérité et résolu à l’imposée au monde entier, par la force si nécessaire. Aider par les scientifiques, révolté par l’idée du partage de leur connaissances avec les autoproclamés élu de dieu et les autres nations de la confédération, ils ont obligé le Rix de Tebtunis à avoir des conseillers qui représenterais l’avis des scientifiques et des philosophes.

Ainsi tenait-il conseil avec Constinos et Cepharis :
Constinos est un savant éminent d’une cinquantaine d’années, issu de la haute noblesse, moins passionné par les découvertes faites dans la citée par le fait qu’elles représentent des armes entre les mains de ses pareils et qu’elles contribuent à donner un poids sans cesse plus grand à la science dans la cité.
Cepharis lui est un penseur de basse noblesse, d’une quarantaine d’année les autres philosophes l’ont choisi pour les représentés car il a mis un long moment à trouver sa voie, ayant tâté quelques années durant et de la formation militaire et de la formation scientifique de la citée, mais il trouvant la science trop hasardeuse et l’armée trop répétitive alors il s’est tourné vers la pensée et les raisonnements mais ses connaissances des autres milieux lui permet de mieux s’expliquer avec les autres membres du conseil.

« Il est temps de définir ce que vous voulez exactement ! » Dit Mithridas, assis dans son fauteuil devant une table ronde, à sa droite était son fidèle second, Raug Moss, capitaine de la garde et à sa gauche, Cepharis et en face de lui se trouvait Constinos.
Celui-ci pris la parole d’un ton hautain: « C’est la science qui fait la puissance de Tebtunis, et j’ai l’impression que vous l’avez oublié ! Partir en guerre, comme les barbares de Versghala ? Et que sera la prochaine étape, refaire des esclaves ? » Tout en disant ces dernier mot, il regarda dans les yeux le délégué des philosophes, pour bien essayer de lui faire comprendre que leur combat était le même.
« Et que fallait-il faire ? Rester là pendant que les autres allaient se battre et gagner de nouvelles terres et comploter entre eux ? Il faut saisir les occasions quand elles se présentent, vieillard ! » Répondit Mithridas avec fougue.
Des échanges de ce genre continuèrent un moment, chacun des deux orateurs voulant montrer la supériorité de son soutient par rapport à celui de l’autre, Raug’Moss et Cepharis étant resté meut, le premier avec un souris amusé, le deuxième l’air gêner de cet affrontement verbal. Après avoir conclus à une égalité dans cette joute oratoire, les discutions purent enfin commencer. Il fut décidé que le Rix de Tebtunis, quel qu’il soit prendrait désormais conseil auprès d’un membre de l’armée, un des penseurs et un des scientifiques, mais toutefois en cas d’urgent, afin de ne pas ralentir les décisions à prendre, il serait autorisé à donner seul des ordres pour sauvegarder la sécurité de la cité.

Plusieurs jours de suite, les réunions se suivirent, les querelles entre Mithridas et Constinos se suivaient sur beaucoup de points, Raug’Moss avait presque constamment au visage un sourire amusé et ne prenais la parole que pour parler de sécurité et d’effectif militaire. Cepharis parlait encore moins, donnant son avis quand on lui demandait ou quand le sujet était l’esclavage, la religion ou les rapport avec les autres peuples de Pandréa.
La quasi-totalité des grandes questions étaient réglés, ce jour-là, devant le Rix et son capitaine, un verre de vin rouge, comme à leur habitude lors de ces réunions, devait le penseur et le savant, de l’eau claire aromatisée de citron. Alors que le sujet en était aux conditions de détentions des prisonniers selon leurs statuts sociaux et non selon leurs crimes. Alors que la discussion avançait, Mithridas commença à se plaindre du froid, Constinos lui répondit que la journée n’était pas froide du tout et c’est en voulant demander son avis à Raug’Moss que Mithridas se rendit compte que celui-ci était penché sur le côté appuyer contre le dossier de sa chaise, une main crispée sur son torse ! Il tenta de se lever mais s’effondra par terre, ses jambes ne répondant plus à ses ordres. Cepharis se précipita vers le Rix et Constinos le leva et contourna la table pour venir voir ce qu’il se passait, s’accroupissant auprès de Mithridas, il pus constaté que celui-ci avait le regard affolé et une main sur sa poitrine, il n’arrivait manifestement plus à respirer ! « Mais il a été empoisonné » conclu tout haut le savant, à quoi répondit Cepharis : « bien entendu, et maintenant il va vengé sa propre mort », alors que Constinos se tournait vers le penseur, il sentit une lame lui rentré dans les côtes, la main crispée du Rix mort était refermée sur une dague et en utilisant ce poing comme arme, Cepharis poignarda le savant tout en criant « AU SECOUR, GARDES, ILS SE SONT ENTRETUES ». Lorsque les soldats entrèrent dans la pièce, Cepharis était déjà loin du corps et Continos en voulant clamé son innocence ne put que craché le sang qui emplissait à présent ses poumons et mourut achevé par les gardes.

Le lendemain, la citée apprenait que le savant Constinos avait voulu prendre le pouvoir en empoisonnant le vin du conseil, mais que comme le philosophe Cepharis n’en avait pas bu, il avait essayé de prendre la dague du Rix Mithridas afin de tuer le dernier conseillé, Mithridas avait utilisé ses dernières forces afin de vengé sa mort, comme le témoignait la dague ensanglantée qui avait dans sa main figée par la mort.

Les puissants de la citée c’étaient réuni dans l’amphithéatre afin de nommé au plus vite un nouveau chef à la ville, les savants et l’armée arguaient tout deux qu’ils étaient les mieux placés pour gérer la citée. Le débat n’en était plus vraiment un, tant les cris et insultes volaient de part et d’autre. Soudain une voix s’éleva plus haut que toutes les autres « ASSER !!! J’ai vu suffisamment de morts hier pour ne pas vous permettre de vous battre comme des chiens affamés par le pouvoir !». Cepharis se tenait au centre de l’amphithéatre, l’air dégouté par la scène à laquelle il venait d’assisté. Il repris la parole « L’armée et la science sont deux armes, se sont-elles qui permettent à Tebtunis de resté libre face à tout ses ennemis ! Mais faut-il une arme pour gouverner la citée ? Je pense qu’il faudrait une personne réfléchie, capable de savoir quand utilisé l’une des armes dont nous disposons mais également capable de savoir laquelle utilisé, les penseurs et religieux de la citée m’ont fait confiance pour les représentés au conseil, afin de protégé la citée, je vous demande de donner vous aussi votre confiance, afin que la citée ne s’affaiblisse pas dans une lutte fratricide entre l’armée et les savants !

Et c’est de cette façon de Cepharis deviens Rix de Tebtunis, citée du savoir et de la philosophie.

Cette fois c'est pas ma faute si t'es mort

Bravo pour ton « coming out ».
Il semble qu'on fini tous un moment d'abandonner les idéaux gracieux pour jouer quelqu'un de… de… d'efficace tout simplement.
Ça promet ^^

Je me suis surtout rendu compte que Mithridas, chef militaire, aurait du être contester par les scientifiques de la citée et que tel que je l'avais décrit, il ne pouvait pas survivre à la politique de la confédération (avec ses complots, ses meurtres, ...), alors je l'ai remplacé par une personnes qui est du genre à revenir vivant d'une rencontre avec les 4 autres dirigeants de citées ^^.
Et puis ma première prise de pouvoir, c'était un peu dans un pays de bisounours, il défend le faible injustement opprimé et devient chef de la citée... beaucoup moins "confédérée" que se changement de Rix ci  

Pas mal Tu deviens abonné aux pertes de persos
Tu noteras que Tebtunis est sensée être démocratique, donc au minimum oligarchique.

Bisol von Sint-Omer a écrit:

Tu noteras que Tebtunis est sensée être démocratique, donc au minimum oligarchique.

Les états-unis aussi mais qui pensent encore que le peuple américain a plus de pouvoir que ses lobby industriels ?

Un loby est oligarchique

Excuses, j'avais compris « le moins oligarchique possible ».
Enfin t'aurais pu dire « un minimum oligarchique ».

Je faisais le raccourci dictature < oligarchie < démocratie, démocratie étant le mieux, dictature le pire.

Oui, idéalement le pouvoir devrait être à une assemblée, mais si je vous met un groupe de perso comme chef de Tebtunis, ça réduit toutes possibilité d'action car tout le monde sait que plus il y a gens au pouvoir, plus ils se tirent dans les pattes et les rivalités empêchent toutes décisions d'être prises (ou alors après un temps fou).
Alors j'ai opté pour un représentant élu démocratiquement par une assemblée grâce à son habilité à joué avec les rivalités entre les militaires et les savants de Tebtunis. C'est déjà plus démocratique que l'arrivée au pouvoir de Mithridas .
De plus, dans mon rp, j'ai mis

Mithridas a écrit:

Il fut décidé que le Rix de Tebtunis, quel qu’il soit prendrait désormais conseil auprès d’un membre de l’armée, un des penseurs et un des scientifiques, mais toutefois en cas d’urgent, afin de ne pas ralentir les décisions à prendre, il serait autorisé à donner seul des ordres pour sauvegarder la sécurité de la cité.

et ce n'est pas remis en question, Tebtunis est donc une "Oligarchie représentative" pour le moment.
Je vais mettre tout ça au clair maintenant que j'ai enfin fini les examens et avant la rentrée.

Les assemblées où on se tire dans les pattes sont au moins assez intéressante niveau rp

Allez, la suite !

Plus d'un an qu'on a pas la suite :'(

Je sais que ça fait longtemps de c'est en stand-by, mais je doit carrément refaire certaines parties de la ville (par exemple ma compagnies de détenu, c'est pas trop dans l'idée de Tebtunis en faite), j'ai beaucoup de travail et j'ai eu divers problèmes en plus des secondes sessions ^^