Une future grande fête

ok on te laisse gérer ça

J'ai déjà écrit une bonne partie du rp a vrai dire. Rassurez vous ce ne sera pas "Gneuh on est des Changpas Super Sayan et on tue tous les ossanss xptdr" ...y aura du rebondissement et même quelques survivants ossans.

HRP: j'attends le résultat de la guguérre de nuit pour répondre.

Heinrich Zweihänder a écrit:

Tsékelkan a écrit:

Et sinon, oui ça me gâche mon rp à mes yeux, initialement, je l'avais posté pour le finir avant le début des examens et maintenant je dois régler des détails pour éviter d'avoir des emmerdes pendant que je bosse. Ok, Weykyu n'a pas d'examen mais bon on est plusieurs à en avoir et je peux vous assurer qu'avoir autre chose en tête lorsqu'on étudie n'est pas très agréable ni simple, surtout lorsque c'est votre dernière chance de réussir.

Je suis d'accord... On peut peut-être geler la situation jusqu'au 27 juin, le temps que tout le monde puisse s'entre-tuer à 100%

Tsékelkan a écrit:

Weykyu rend les rps intéressants c'est cela. Mon travail ne vaut donc presque rien, si je comprends bien. Tout ce que j'ai fait pour les tloxcolèques ne vaut rien, nada, que dalle. Dommage, à mes yeux, ça avait vraiment de la valeur vu que ça m'avait pris du temps et de la passion. En plus, je rappellerais un pauvre rp qui traîne sur le forum; la colonisation de Tarik chez les okotis. Durant des semaines, il a fait avancer ce rp, simplement désirant s'amuser et je suppose décrire et hop en une fois, une armée confédéré débarque en un tour de manche, élimine les okotis et ramène les skaers chez eux . C'est plutôt ce que j'appelle pourrir un rp, moi. Détruire le travail d'un autre en l'attaquant par derrière n'est pas ce que j'appelle rendre les choses intéressantes, rendre les choses intéressantes, c'est développer l'esprit de ce qu'on représente, c'est travailler sur chaque détail de ce que l'on est sensé représenter, c'est pouvoir répondre à n'importe quelle question qu'on pose dessus et que les gens estiment du respect et de l'intérêt pour le travail accompli. Apparemment, ce n'est pas comme cela que vous définissez ce que je fais.

Blablabla... Arrête de râler, on te dit ! On dirait Ludovicus !

HRP : Mais heu, c'est même pas vrai, il ne râlait pas, il critiquait! Nuance! Mais je suis pour le geler des RP guerriers le temps des examens, car vous êtes déjà début mars et moi je suis fin janvier d'un point de vue RP.

HRP: bon j'en déduis donc que Vares et Heinrich règlent ensemble la guéguerre des ossans ?
Sinon, suite de la discussion avec Tarik dès qu'on a la réponse.
Moi je ne suis pas contre le fait qu'on "gèle" les rps le temps des examens car moi je n'ai plus grand chose à faire après celui-ci (sauf une petite guerre contre les hommes des marais et l'envoi d'une flotte maritime chez les confédérés ).
On peut laisser les confédérés gérer leurs affaires en interne avant de continuer ce qui se passe après le mariage si ça arrange tout le monde.

Tsékelkan a écrit:

et l'envoi d'une flotte maritime chez les confédérés ).

C'est vrai. C'est pas débile comme idée ça. Moi je voulais envoyer ma flotte terrestre au début. Et puis, à bien y réfléchir...

Maintenant que j'ai une terrible flotte de guerre (10 navires marchands ^^) et que j'ai des marins confédérés. Rien ne m'empêche de m'ouvrir au commercre avec eux.

Vares commençait à apprécier le Hochmeister. Il s’était figuré un homme limité, obtus et agressif. Mais le personnage paraissait au contraire sensé et plutôt investi de desseins pacifiques.

« Sans gloire ? Il n’y a pas de gloire dans le fait de tuer un homme, que ce soit sur une colline herbeuse le glaive au poing ou de nuit et dans le dos. La gloire est ce que certains généraux vendent à leurs soldats pour éviter qu’ils ne désertent ou se fassent dessus en pleine mêlée.
Dans la mort, nous sommes tous dans une situation de parfaite et naturelle égalité. Quelle différence entre celui qui est mort pour la gloire et celui qui s’étouffa avec une arrête?

J’ai également perdu des hommes à Tyrstädt. Tous étaient des amis proches. Mais, voyez-vous, si j’avais eu le moindre désire de vengeance…Je vous aurai empoisonné pendant votre sommeil et vous auriez chié du sang pendant trois jours avant de crever étouffé dans vos propre fluides…Mais ce serait absurde, pas vrai ? …Vos hommes et mes hommes avaient tous implicitement accepté de participer à ce combat. Par sens du devoir, ou que sais-je, ils savaient tous qu’ils risquaient fort de laisser leurs carcasses pourrir au fin fond de la campagne skaer pour une histoire d’ambassadeurs mal digérée. C’est là qu’est l’absurdité : vouloir laver l’honneur d’un homme qui s’est fait tuer sur le champ de bataille alors qu’il s’y était lui-même rendu.

Autre non-sens que vous avez souligné…Nous ne savons pas grand-chose les uns des autres. Si les jeux des alliances et des pactes ne nous avaient pas rassemblés à Tyrstädt, nos deux peuples se seraient peut-être cordialement entendus...

Et si, comme j’ai cru le comprendre, nos philosophies respectives ont en commun le souci de la paix et de l’oubli des offenses…Je ne vois pas ce qui empêche l’accomplissement de ce que, justement, je désire : la paix avec vous.

Mon ambassadeur vous avait déjà formulé plus pratiquement ma proposition : un traité de non-agression entre nos deux peuples…Vous aviez alors demandé que je me rende en personne à Gnosia pour que nous puissions en parler directement entre chefs d’états…Et me voilà devant vous ! »

HRP: la paix gothico-impériale-changpa semble possible ^^

(Ah je regrette parfois de tout faire en prose plutot que de le dessiner, je suis tellement meilleur en dessin...)

Le palais était grand. Ou plutôt immense. Ou encore mieux : Titanesque. Camouflé par un symétrie extérieure, la géométrie chaotique de couloirs sombres -
pour que serviteurs, maitresses, animaux et soldats puisse circuler sans se croiser ou gâcher la vue des nobles de la cour impériale - profitait plainement
de l'espace qu'on lui offrait. C'est simple : il y avait tant de couloir cachés que plus personne ne se souvient de leur entièreté.*
Heureusement, les gens de la cour sont malins en coups bas : Le nombres d'ouverture accessibles vers l'extérieur était extrêmement réduit pour qui ne sait
escalader un mur, et aucun issue secrète n'allait vers l'extérieur. De plus tout ces passages, du moins ceux que Kunaï connaissait, sont courts et débouche
inévitablement sur un des grands halls luxurieux et avec un jardin à leur centre.

Dans l'aile du palais que Coutelas avait a surveiller, il y avait trois halls. Il avait deux apprentis avec lui **. C'était donc le nombre parfait. Personne
de trop à partager la prime avec, personne manquant pour faile le travail. Pendant que Kunaï, lui surveillait les goth, et ses deux apprentis *** les vikings
et la confédération. Coutelas commençait a s'ennuyer : Ça faisait longtemps qu'il n'avait combattu d'adversaire à sa taille, et cela ne semlait pas être pour
ce soir... Enfin bon, la première chose qu'un assassin apprend, c'est la patience. Et la seconde, c'est de tuer ses émotions quand elle naissent en lui.

C'est donc le plus normalement du monde que Coutelas vit Kunaï arriver :
-"Coutelas, il y un autre groupe d'Ossans dans le palais"
-"Intéressant, quel groupe ?"
-"Des empoisonneurs, ils ont drogué Otsung et ont disparu dans le palais"
-"T'as averti notre employeur ?"
-"Ouaip, mais je lui ait pas dit que c'était des Ossans. Il veut qu'on les élimine qu'on capture si possible le chef ennemi, bonus de 1000 PO si on y arrive
et 500 de base pour s'en débarasser"
-"Une vraie bonne poire, ce client"
-"Mettons-nous en chasse !"

* Condition très utile pour une guerre d'assassin amusante.
** Ang et Li'ng
*** Fen-zen et Otsung
Là je reconnait que je dis rien de nouveau mais j'ai pas le temps d'en dire plus, et j'ai légèrement mis à jour les faits.

Merci Heirinch

Ce Vares semblait être bien plus paisible et pacifique que les démons décrits par les survivants de leurs attaques, songea Bisol. Il était regrettable qu'il aie déjà du donner son accord pour seconder Flynt dans son attaque sur leur territoire... Le chef d'état décida d'en aviser son interlocuteur, afin de mettre les choses au point avant qu'elles n'aient à dégénérer.
-Cela ne fait que quelques phrases que nous échangeons, et pourtant, vous me semblez déjà être un chef d'état soucieux de son peuple avant tout. Ni assoiffé de conquêtes, ni sanguin et irascible. Vous m'avez fait savoir que vous étiez responsable de la mort de mes guerriers. Je n'ai jamais désiré vous en tenir rigueur pour peu que vous désiriez la paix. La parole donnée est d'or, chez nous tout autant que chez vous. Cela m'amène à devoir vous annoncer une nouvelle des plus désagréable, et potentiellement compromettante à l'entente entre nos deux peuples. Après Tyrstadt, la confédération m'a imposé de les considérer comme alliés, car ils ont promis de se convertir à notre religion. Aucune garantie, je le sais, mais impossible pour moi de refuser. Je suis sensé répandre ma religion en Pandrea, et cette occasion était rêvée. Si j'avais refusé, on m'aurait destitué et remplacé avec un homme plus fanatique. Au plus mauvais moment... Notre alliance implique mon soutien militaire en cas de guerre, et précisément, nous allons vous attaquer prochainement. Je ne peux vous en dire plus, pour des raisons évidentes. Je vous assure cependant que nous n'agirons que par obligation, tel votre soutien aux vikings. Ne croyez pas non plus à une revanche, j'ai de bonnes raisons de croire que je perdrai plus d'hommes que vous... Pensez vous, bien que cette idée paraisse un peu folle, que nous pourrions rester en bonne entente malgré nos affrontements ? A Tyrstadt, vous aidiez les vikings plus que vous n'attaquiez les nôtres. Bientôt j'aiderai les confédérés plus que je n'attaquerai les changpas. Je ne sais trop que faire, ne désirant point vous ajouter à la liste de mes adversaire.

Ailleurs dans le palais, Nazzar était content. Il avait beau avoir pratiqué depuis longtemps, éliminer son premier Ossan le mettait de bonne humeur. Surtout qu'après le chef viking avait vraiment bu ses paroles. Il déchanta vite en sortant du passage secret et en tombant nez à nez avec Coutelas dans le hall. Comment avait-il pu être si négligent que de ne pas vérifier si quelqu'en s'était amener entre temps ? Nazzar pris conscience que ce n'était encore qu'un apprenti... Coutelas ne perdit de temps en vaine menace et dégaina. On le dit massacrateur, mais ce n'est pas une grosse brute. Ce surnom vient surtout de l'état dans lequelles sont retrouvés les victimes de tels assassins. L'état dans lequel se retrouve les victimes vient surtout de la virtuosité du maniement de sabre des massacreurs. Autant dire que Nazzar n'as pas eu le temps de réagir que Coutelas avait sa lame sur sa gorge.
« Ta mission ? dit sèchement Coutelas
- Semer le doute. » rétorqua Nazzar.
À se moment précis Coutelas sentit un coup de vent dans son dos. Il eu juste le temps de donnel un coup de pied à l'assasin qui tentait de le piquer au coup. Pour ce coup, il avait du se tourner de moitié et retirer son sabre Nazzar. Quand il se retourna vers lui, il le vit courrir dans un couloir. Quand il se tourna à nouveau pour voir l'autre assassin, il avait disparu. Coutelas jura une fois énormément, mais ça ne servais à rien si ce n'est que de se faire repérer, il arrêta.
Coutelas se rappela que Kunaï lui avais assuré que les vikings n'avais rien, juste que Otsung avait été éliminé. Celui-sortait du passage secret qui menait dans la pièce d'eau des vikings. Comment ne l'avais-t-il pas vu entré ? C'est alors que Coutelas se rappela d'un autre passage secret dans la suite viking qui donnait dans un hall... d'une autre aile du palais. La partie s'annonçait dure... Kunaï, qui revenait de fouiller le couloir devant les viking, et attiré par le juron de Coutelas arriva.
« Je viens d'un repérer deux, lui dit Coutelas, vu la facilité que j'ai eu a les détecter, ce doit être des apprentis
- deux apprentis ne viendraient jamais seuls aussi loin des terres la moratong, en conclut Kunaï. Il doit donc y en avoir au moins un troisième. Peut-être un maître.
- Ce qui veut dire que ...
- Fen-zen et ton apprenti qui gardent les gothiques sont en danger. On fonce.
- Et les vikings ?
- S'ils voulait les tuer, ils l'ont déjà fait : ce sont des empoisonneur. Il faut les capturer, ils ont toujours l'entidote sur eux, dit Kunaï en courant.
- Et ils vont à coup sur chez les goths. "semer le doute" est leur mission. »

HRP: , on ne peut qu'attendre la suite avec impatience

HRP: cool. En fait, puis-je continuer mon... dialogue.... avec tsé tsé?

HRP: on peut le commencer. Pose une ou deux questions, pour qu'on entame le dialogue. La guéguerre des assasins se terminera avant qu'on ait fini de discuter

Vares ne savait s’il devait être surpris par la révélation qui venait de lui être faite concernant les projets des Confédérés ou simplement conforté dans les soupçons qu’il avait déjà. La chose paraissait pourtant tellement absurde…

« - Et pourquoi, la Confédération voudrait s’en prendre aux Changpas d’après vous ? Nous ne disposons que de peu de ressources et nous n’avons jamais cherché querelles aux Tamascalais…Leur récente implantation sur les anciens territoires de l’Alliance du Septentrion m’incite à penser qu’ils veulent simplement s’emparer le monopole commerciale de la région du bras de mer qui s’enfonce jusqu’à nos montagnes et dont nous contrôlons encore les trois-quarts du littoral…Vous allez donc cautionner et participer à une guerre simplement pour satisfaire l’insatiable avidité de ces rapaces insulaires?...Remarquable publicité pour votre religion…il semblerait que l’avarice et la colère ne soient pas des péchés si capitaux à vos yeux en fin de compte. Vous feriez peut-être bien de respecter d’avantage votre propre crédo avant de jouer les prosélytes…Et que feriez vous donc si nous vous faisions également la promesse de nous convertir, hein ?

…La Confédération de Tamascala va utiliser vos hommes pour faire le sale boulot et elle récupérera tout le butin. Vous ne retirerez rien à les assister dans leur projet de dément…

…Et vos hommes périront jusqu’au dernier. Car, figurez-vous qu’à Tyrstädt, nous nous sommes retirés après l’attaque du convoi de ravitaillement, car je ne souhaitai pas tuer d’avantage des vôtres. Si vous nous attaquez, je n’aurai aucun remord à vous massacrer et donner la chasse aux survivants, jusqu’à Gnosia s’il le faut… »

HRP: ok je continue:

Donc 1er Mars, matin.

"Et alors, ce messager à l'arbalète!!! Quoi, c'est pas vous qui l'avez envoyé hein? Donc vous êtes même incapable d'assurer la protection d'un chef d'état voisin? Hier après notre entrevue, j'étais favorable à votre proposition, mais je vous préviens que maintenant, les choses ne sont plus si simple!
Alors répondez moi. Et si vous hommes ne lâchent pas les miens, vous allez sentir le courroux des dieux du Nord (cf, j'ai bien précisé que les trois hommes qui m'accompagnent sont des bersekers... et là il te faudera bien 10 hommes par berseker, plus 3 pour Alina et 5 pour Tarik, donc 38 hommes qui risquent leur vie)...

Bon, je répète pour la dernière fois ma question: qui était ce messager, et si vous ne le savez pas, trouvez le responsable ou envoyez moi sa tête!
Quand à vos nouvelles conditions, je n'en veux pas! Je dois penser à mon peuple, et avec vos conditions vous pourrez profiter de notre fer, de nos connaissances et de notre savoir faire... et pour nous quoi? Trois techniques pour faire pousser des tomates, une carte de régions ou nous n'irons jamais et même pas une aide en cas de guerre? Vous rêvez, je ne suis pas un agneau de trois jour! Je serai à votre merci ou à celle des gothique! Hors, je ne veux pas être mangé! Nous nous sommes battu depuis des siècles pour notre royaume, contre les confédérés, les hommes des marais et les gothiques, et ce n'est pas pour devenir des vassaux d'un empire que nos guerriers ont rejoint les Dieux.

Et ne devions nous pas être avec les changpas et les moines eunuques? Ils sont ou eux?

Bon, apportez moi 5 cornes de votre liqueur, pour moi, mes hommes et ma fille. Ha oui, je vous présente Alina, ma fille. Elle vous castrera si vous tentez de l'abuser et a déjà gouter à cinq de vos serviteurs. Ne me regarde pas comme ça ma chérie, autant être honnête. Bon, apportez moi ces cornes et répondez. Sinon, je casse tout et vous avec!"

On voyait que, malgré sa menace, Tarik était un peu calmé après avoir hurlé sur l'empereur, et semblait près à éventuellement discuter.

1er Mars

Que la journée était pénible pour Tsékelkan, c'était censé être le plus beau jour de sa vie et les ennuis commençaient dès le saut du lit. Enfin au moins Tarik s'était calmé après avoir vidé son sac.

-"Suivez-moi, installons-nous dans cette pièce, le temps que mes hommes partent chercher deux barils de liqueurs et des cornes".

Tarik, Alina et les 3 berserkers suivirent Tsékelkan dans la pièce juste à côté, Tsékelkan poussa une chaisse et s'installa sur celle-ci et attendit que les skaerlings soient assis.

-"Bon, répondons dans l'ordre de vos questions. Premièrement, j'ignore qui est ce messager à l'arbalète. Par ailleurs, qu'est-ce qu'une arbalète ? (HRP: je rappelle que les impériaux n'ont jamais affronté les confédérés récemment et que ce n'est pas le genre de technologie dont ils peuvent disposer )
Enfin quoi qu'il en soit, Lotkiro !" Un homme maigre mais à l'allure vive apparût dans le champ de vision des skaerlings.
-"Va chercher Kunaï et Vares. Qu'ils arrivent ici, si Vares est déjà en compagnie des gothiques dans le jardin fais-le venir ici et dit aux gothiques que ses qualités de médiateur sont nécessaires". L'homme salua et partît bien vite.

-"J'ignore tout autant que vous, qui est cet homme et pour la protection des chefs d'états, sachez que des équipes d'ossans avaient pour ordre de veuiller à ce que rien ne vienne vous déranger ou vous causer problèmes. C'est pour cela que vous n'avez jamais croiser un gothique dans ces couloirs. Pour votre fille, je vous rappelle que vous êtes à mon mariage ! Qui serais-je pour abuser d'une autre femme le jour où j'unis ma vie à une autre ? Les changpas et les gothiques sont dans leurs quartiers respectifs sauf les chefs d'états et un garde du corps qui sont ou devraient être dans le jardin impérial pour une réunion. C'était indiqué dans le parchemin".

Tsékelkan patienta quelques-instants avant de poursuivre, le temps que les skaerlings digèrent ses paroles ou l'alcool.

-"Je suis surpris que mes nouvelles conditions vous dérangent mais cela est compréhensible puisque j'ai dû m'entretenir avec plusieurs personnes après notre brève rencontre. Je suppose que vous l'ignorez mais les précédents empereurs ne vivaient que pour eux et ne faisaient rien pour le peuple. Pour ma part, j'ai choisi une autre option et j'ai donc dû tenir une réunion avec mon état-major militaire, mes conseillers et quelques prêtres de haut rang. Connaissez-vous un dénommé Adolf ou Belzébuth ? ah, je vois à votre visage que son nom ne vous est pas inconnu". Tsékelkan sortît un parchemin et montra la signature à Tarik avant de reprendre le parchemin.

-"Ce dénommé Adolf a effectué des menaces à l'encontre de l'empire. Il nous a clairement fait savoir que si une alliance était effective avec les skaerlings et surtout au niveau du commerce du fer, que l'ordre nous attaquerait. Malheureusement même si cela ne me déplairait pas de lui montrer que nous savons nous battre, mon peuple se remet tout juste des années de domination de Tenoch, Cuxi et de la défaite de Woodstock. Je refuse de cautionner une escalade qui nous mènera à la guerre avec eux ou qui que ce soit. De plus, je ne veux pas de votre fer pour une autre raison, plus traditionnelle: mon état-major a été très clair là dessus. Nous nous battons depuis des siècles avant nos armes faites à partir du coeur de notre empire. Commencez à dépendre d'une ressource dont nous n'avons aucun accès pour nos soldats est inimaginable et j'espère que vous le comprendrez.

Notre empire a la plus vieille nation de tout Pandréa si nous avions été une nation belliqueuse, voilà longtemps que nous aurions dominé les changpas, commercer ouvertement avec les ossans et rayer l'ordre de la carte ! Mais nous ne sommes pas un peuple belliqueux, nos terres nous suffisent, imaginez les problèmes que vous avez pour diriger votre peuple et mutlipliez-la par 100 ! Car si votre peuple se compte en millier d'hommes, le mien se compte en millions et s'en occuper est l'une des tâches les plus ardues qui existe.
A défaut d'être alliés, je peux vous faire la promesse solannelle sur mon empire que l'empire n'attaquera jamais les terres skaerlings. Mais si vous nous attaquez, nous riposterons cela va de soi.
Je ne vous ai jamais demandé de devenir les vassaux de l'empire. Le seul peuple qui l'a accepté sont les thragryptéens et ce n'est que récent comme mesure. Nous vivons en paix avec les changpas depuis des siècles mais ce n'est pas une relation de vassal à maître, c'est une relation d'égal à égal, de respect des différences ! Si notre offre vous a insulté veuillez m'en excuser, je n'imaginais pas que c'est comme cela que vous voyez les choses.

Vous êtes en guerre avec les hommes des marais, les confédérés et les gothiques. Pour les premiers, je vous ai assuré mon soutien et l'ordre d'attaque a déjà été envoyé, pour les seconds, mes navires ne me permettent même pas d'aller jusque chez eux et eux ne prennent pas la peine de venir chez nous alors pourquoi les attaquer si nous n'en avons ni les moyens, ni la force ? Pour les derniers, vous devez savoir qu'ils ont provoqué plus de fléaux sur mon peuple que le vôtre mais voilà, leur nouvel Hochmeister; Bisol Von sint Omer est un homme de parole, nous avons convenu que les gothiques ne feraient aucune action négative envers notre peuple si ses "missionnaires" peuvent venir exposer leur point de vue chez nous. Je suppose que le pauvre ignore que certains finiront à la broche, d'autres réussiront à faire passer la parole de leur Dieu mais cela prendra plus d'une vie pour réussir à convertir un village en entier et nous avons la rancune tenace.

Je vous le demande simplement dans ce cas, énoncez des conditions d'alliance qui vous plaisaient mais sachez que le soutien militaire n'est pas envisageable si l'ennemi est l'ordre gothique. De plus, je suppose que nos armes et armures sont bien plus faibles que les vôtres et c'est pour cela que je ne vous propose pas de vous équiper à la place. J'attends votre réponse".

Tsékelkan a écrit:

Je refuse de cautionner une escalade qui nous mènera à la guerre

Padmé Amidala spotted...

Bon sinon, je dois encore régler la discussion avec Bisol et taper de l'Ossan donc je vais attendre que tout soit ok avec ces deux points avant de me pointer à votre petite sauterie pour jouer les médiateurs.

HRP: foutue influence star wars J'aurai préféré lâché un fameux: "l'empire contre-attaque"

Tarik a écrit:

« Elle vous castrera si vous tentez de l'abuser et a déjà gouter à cinq de vos serviteurs. Ne me regarde pas comme ça ma chérie, autant être honnête.»

La saloooope … Et ça te dérange pas Tarik, que ta fille puisse se faire engrosser par un esclave Tloxco ? C'est encore moins que de la bouse… Et de la bouse étrangère qui plus est.

Eh, mes serviteurs savent se tenir (sauf si la fille de Tarik joue vraiment les allumeuses) et puis si il doit la marrier ça peut être drôle de penser aux potentiels candidats ^^ (Adolf, lalala)

Les gothiques était des sanguins, disait-on. Ils s'énervait pour un oui ou pour un non. Mais quand ils était seuls, ils étaient plutôt calme. Très calme en fait. Fen-Zen n'avait entendu que les prières gothiques au soir. « Les gothiques ne se battent pas assez entre eux, alors ils se défoulent sur les autres » pensa-t-il alors. Puis un silence glacial était tombé en même temps que la nuitée, et il ne s'était plus rien passé depuis. Sauf cet homme encapuchonné qui s'avançait vers la porte des gothiques. Il marchait calmement, comme s'il était du palais. Mais on ne trompe pas Fen-Zen si facilement : les tloxcolèques portes des manteau de toutes les couleurs — tel un peuple de bouffons — et cet homme portait une grande cape vert foncé. Fen-zen descendit de la corniche qu'il avait choisi pour surveiller, et se glissa derrière l'homme, il posa sa lame sur son dos et lui dit :
« Tout doux l'inconnu. Qui est-tu et que vient-tu chercher ici ? »
L'homme se figea et resta silencieux.
« Réponds ! » menaca Fen-Zen.
L'homme persévéra dans son mutisme. Fen-Zen s'énerva et fit pivoter l'homme de face en tirant sur son épaule.
« Répond, ou je …»
Il n'eut pas le temps de finir, l'homme en se tournant l'avais piqué au bras. L'erreur de débutant : avant même que ses pupilles ne fassent le tour de ses yeux, il était évanouit. Le maitre Ossan rangea son dart et se dirigea à son aise vers la porte gothique. Alors même qu'il touchait la poignée, Kunaï atterrit du plafon derrière lui. Kunaï n'avait pas été discret, mais il ne pouvait laisser l'homme entrer : il devait aller vite. Le maitre Ossan compris qu'il avait affaire à plus compétente personne et se dégagea vite vers le côté opposé d'ou Kunaï. Malheureusement pour lui, Coutelas n'était pas un apprenti : il n'avait pas suivi Kunaï — qui de surcroît se déplaçait sur la corniche — et avait pris un passage secret qui débouchait au delà de la porte gothique. À peine le maître était-il dans le couloir face à Kunaï, qu'il lui porta un coup au dos. L'empoisonneur sentit venir l'attaque et tenta d'esquiver, mais c'était un peu tard, et Coutelas était un escrimeur hors pair : il dévia son coup vers les hanches du maitre, ce qui le toucha et lui trancha son baudrier. Le maître rattrapa son baudrier au vol, mais deux fioles tombèrent. Kunaï et Coutelas étant déjà sur lui, il décida de battre en retraite. Il lança un dart vers Coutelas. D'un coup de pied au vol, Kunaï dévia le dart, évitant ainsi de se retrouver seul. Coutelas s'arrêta net pour ne pas se prendre Kunaï dans la figure. L'homme encapuchoné était rentré dans un passage secret : la porté était toujours ouverte. Coutelas voulu le suivre, mais Kunaï le retint :
« C'est trop dangereux : s'il tend un fil empoisonné là-dedans, on est fait.»
Coutelas fonça vers le hall ou débouchait le passage qu'avais emprunté l'empoisonneur. Tandis Que Kunaï se pencha sur les deux fioles à terre…

Pas de suite avant Samedi : j'ai eu examen aujourd'hui, et j'en ais un samedi.