Une future grande fête

HRP: attendons donc la fin de la guerre des assassins et étripons nous sur le topic méga-alliance. Okay?

Si on doit faire un retour 1249, doit-je vraiment écrire cette guerre ? Enfin, oui car c'est fun, mais attendez un peu, là j'ai trop à faire...

Il n'y aura de retour en 1249 que si on finit par trop dénaturer le jeu jusqu'à impossibilité de faire autrement que de recommencer.

Ne t'inquiètes pas Heinrich, finis la guerre des assassins dès que tu auras du temps.

HRP: Bonjouuuur! On parle de moi, mais je ne suis pas là pour réagir. Comme c'est regrettable... Mais tout à fait RP, puisque je suis à des centaines de kilomètres de là. Juste une petite précision:
-même les ossans ne savent pas qui les a engagés. Ils savent que l'or vient des Gothiques et des skaers, c'est tout.

Sinon, très beaux RP. C'est cool, ça bouge un max. On débutera la guerre des marécages une fois vos alliances faites. Merci à tous de faire exactement ce que j'espérais, par ailleurs.

Flynt a écrit:

Merci à tous de faire exactement ce que j'espérais, par ailleurs.

Heureusement que t'as des dons d'oracles quand même...parce ç'eut été chaud sans...

Ben voui. Faut bien. Bon, la réaction de Tarik n'était pas difficile à prévoir, ainsi que celle de Bisol et la tienne. Dans l'ordre: s'énerver, être honnête et noble et pour ta part: être suspicieux.

j'applaudis avec ferveur.

Ouais ouais...

On verra qui rira bien le dernier. Donc il faudera le résultat pour savoir quelles infos Vares a à disposition pour continuer le RP avec Bisol.

HRP: Bon, en attendant Bisol, et le résultat de la guerre des assassins, je continue avec Tsétsé.

"Je sais pas qui a envoyé ce bougre de messager.
Mais je vais vous dire une chose, Weylkyu est mort. Et son meurtrier aussi. Comment je peux être sur de ce dernier point? C'est moi qui ai été le chercher dans sa cité du Sud, et m'en suis occupé personnellement. Même sa mère ne l'aurait pas reconnu. De plus, c'était l'ancien rix d'Antinoe. Weylkyu est mort et bien mort, on aurait même retrouvé son cadavre, les poches remplies de pièces d'or. Mais il avait un lieutenant, un certain Flynt, qui a repris le pouvoir à Ilalhun.

Mais bref, je vais vous dire... Mes conditions. Car je ne suis pas content de la manière dont vous avez traité vos... invités. C'est à dire moi-même.
Vous allez m'aider dans les marécages, vaincre ce tyran de Hurg, et me verser l'or que vous m'avez promis, et moi, en échange, je laisserai votre vassal en paix, et vous par la même occasion. Et une fois les terres marécageuses conquises, vous allez retirer vos troupes, je ne veux pas d'une armée, même la votre, à mes portes. Bon, pour compenser cet investissement, je serai prêt à renégocier nos conditions d'accord sur le commerce, avec un oeil très favorable... si tout se passe bien. Vous comprenez bien? J'ai déjà deux peuples hostiles à mes portes, ne rêvant que de piller et détruire, alors je ne laisserai pas une troisième armée prêt de chez moi. Donc une fois la pacification effectuée, vos troupes repartiront. Et vous aurez toute la paix que vous voulez de la part des skaerlings... Tout le monde gagnant n'est-ce pas?

Et avec ces terres et cet or... et bien la confédération ne se sentira plus en position de force... Donc, vous pourrez commercer avec eux et faire prospérer votre empire, que vous apporteraient quelques marécages supplémentaires?

Quand à l'attaque des confédérés, Vares, quelles sont leurs possibilités, ont-ils des chances, qu'a dit ce prêtre? A-t-il dit des renseignements importants? Ou n'est-ce qu'un bluff? Je ne fais pas confiance aux confédérés, pas plus qu'aux gothiques!"

HRP: la fin de la guerre des assassins devient vitale là

Un dénommé Flynt avait repris le pouvoir à Ilahun. La lettre d'adolf le mentionnait comme quelqu'un dont il fallait se méfier. Tsékelkan montrerait beaucoup de sympathie à ce dénommé Adolf pour les aides qu'il lui avait apporté depuis peu. Il ignorait si cet homme avait un intérêt à gagner la confiance de Tsékelkan mais il l'avait aidé malgré la barrière du passé lourd entre empire et gothique.
Tsékelkan prît la parole;

-"Je suis outré et déçu que vous n'ayez pas apprécié la manière dont vous ayez été traité. J'ai fait de mon mieux, rassembler une aile complet du palais, préparé des activités festivales pour vous occuper et vous n'êtes guère heureux. Je comprends que cette tentative d'assassinat vous morde le coeur et a fait disparaître la confiance que vous m'accordiez alors je ne vais vous posez qu'une seule et unique question; qui aurait le plus à profiter de notre mésentente ?

D'après ce que je sais, depuis Tyrstad, les gothiques ne désirent plus vous combattre. Je les vois mal commencer à embaucher des assassins pour venir vous tuer à mon mariage car ce sont des hommes qui suivent un code d'honneur. Les changpas n'ont aucune raison de vous en vouloir puisque vous êtes en paix avec eux depuis très peu de temps. Et pour ma part, croyez-vous que je vous aurais fait des offres d'alliance avant de tenter de vous assassiner ? C'est ridicule, mais il y a bien une faction qui n'est pas présente au mariage, une faction qui n'a pas été invitée et qui en a peut-être été vexée; la confédération !
On ne peut pas dire que j'ai eu d'excellents rapports avec la confédération par le passé, celle-ci pille mes côtes et mon peuple a tenté à plusieurs reprises de les envahir. Inutile de dire que nous n'avons jamais réussi.

Vous-même et Vares ainsi que les gothiques me l'avez confirmé; les confédérés ne sont pas dignes de confiance et agissent dans le dos des gens pour profiter du désarroi afin de tirer leurs épingles du jeu. Ils auraient tout à y gagner si nous ne nous entendons pas. Il leur serait facile de m'annoncer que votre armée désire m'attaquer et que je dois contre-attaquer avant son arrivée, on vous le dire. Les confédérés agiront contre vous et les changpas en priorité car vous êtes les ennemis des gothiques et de leur nouveau dieu. Si ils s'assurent que nos rapports se dégradent c'est pour s'assurer que le moment venu; vous serez isolé. Ils veulent simplement que notre entente se dégrade afin de profiter du tumulte qui nous opposera pour porter des coups terribles à chacun de nous.

Je vous en prie Kongr Tarik, croyez-moi. Je n'ai pas embauché d'assassins, ma garde les cherche en ce moment même. Je ne vous demande pas de me faire confiance mais juste de réfléchir avec un peu de bon sens. Pourquoi voudrais-je perdre nos rapports amicaux ?

Les changpas pourront vous le confirmer, je suis un homme de parole. Et ils savent que je ne suis pas un menteur mais un homme qui oeuvre pour la bonne entente entre les peuples.

HRP: Suivant la réponse de Tarik, Tsékelkan agira différemment pour les terres des marais. Vares tu es bien évidemment invité à te mêler à tout ça.

HRP :

Citation :

les confédérés ne sont pas dignes de confiance et agissent dans le dos des gens pour profiter du désarroi afin de tirer leurs épingles du jeu.

Pourquoi tu envoi une flotte chez moi dans ce cas?

Hop Hop pas d'empressements Mithridas.
les confédérés ne sont pas dignes de confiance et agissent dans le dos des gens pour profiter du désarroi afin de tirer leurs épingles du jeu.
C'est la phrase que tout le monde dit aux impériaux quand ils demandent comment on considère les confédérés.
C'est pas parce que c'est le cas à Tyrstad que toutes les cités le sont. De plus, j'ai envoyé une flotte pour aller commercer à Tebtunis; capitale de la philosphie, la seule cité confédérée ou on ne tire pas à vue sur moi

HRP: Heinrich, pourrais-tu terminer la guéguerre des assassins avant le 28 (idéalement avant ce week-end) pour qu'on puisse finir ceci pour le 28.
Comme ça avant que Bisol ne parte, on aura tout fait.

J'avias un sale examen ce matin, mais maintenant ça va. Je m'y mets et continue dès que je peux, normalement ce soir.

oki merci

je reprends ce que l'on a écrit:

---

Le palais était grand. Ou plutôt immense. Ou encore mieux : Titanesque. Camouflé par un symétrie extérieure, la géométrie chaotique de couloirs sombres -
pour que serviteurs, maitresses, animaux et soldats puisse circuler sans se croiser ou gâcher la vue des nobles de la cour impériale - profitait plainement
de l'espace qu'on lui offrait. C'est simple : il y avait tant de couloir cachés que plus personne ne se souvient de leur entièreté.*
Heureusement, les gens de la cour sont malins en coups bas : Le nombres d'ouverture accessibles vers l'extérieur était extrêmement réduit pour qui ne sait
escalader un mur, et aucun issue secrète n'allait vers l'extérieur. De plus tout ces passages, du moins ceux que Kunaï connaissait, sont courts et débouche
inévitablement sur un des grands halls luxurieux et avec un jardin à leur centre.

Dans l'aile du palais que Coutelas avait a surveiller, il y avait trois halls. Il avait deux apprentis avec lui **. C'était donc le nombre parfait. Personne
de trop à partager la prime avec, personne manquant pour faile le travail. Pendant que Kunaï, lui surveillait les goth, et ses deux apprentis *** les vikings
et la confédération. Coutelas commençait a s'ennuyer : Ça faisait longtemps qu'il n'avait combattu d'adversaire à sa taille, et cela ne semlait pas être pour
ce soir... Enfin bon, la première chose qu'un assassin apprend, c'est la patience. Et la seconde, c'est de tuer ses émotions quand elle naissent en lui.

C'est donc le plus normalement du monde que Coutelas vit Kunaï arriver :
-"Coutelas, il y un autre groupe d'Ossans dans le palais"
-"Intéressant, quel groupe ?"
-"Des empoisonneurs, ils ont drogué Otsung et ont disparu dans le palais"
-"T'as averti notre employeur ?"
-"Ouaip, mais je lui ait pas dit que c'était des Ossans. Il veut qu'on les élimine qu'on capture si possible le chef ennemi, bonus de 1000 PO si on y arrive
et 500 de base pour s'en débarasser"
-"Une vraie bonne poire, ce client"
-"Mettons-nous en chasse !"

* Condition très utile pour une guerre d'assassin amusante.
** Ang et Li'ng
*** Fen-zen et Otsung

---

Ailleurs dans le palais, Nazzar était content. Il avait beau avoir pratiqué depuis longtemps, éliminer son premier Ossan le mettait de bonne humeur. Surtout qu'après le chef viking avait vraiment bu ses paroles. Il déchanta vite en sortant du passage secret et en tombant nez à nez avec Coutelas dans le hall. Comment avait-il pu être si négligent que de ne pas vérifier si quelqu'en s'était amener entre temps ? Nazzar pris conscience que ce n'était encore qu'un apprenti... Coutelas ne perdit de temps en vaine menace et dégaina. On le dit massacrateur, mais ce n'est pas une grosse brute. Ce surnom vient surtout de l'état dans lequelles sont retrouvés les victimes de tels assassins. L'état dans lequel se retrouve les victimes vient surtout de la virtuosité du maniement de sabre des massacreurs. Autant dire que Nazzar n'as pas eu le temps de réagir que Coutelas avait sa lame sur sa gorge.
« Ta mission ? dit sèchement Coutelas
- Semer le doute. » rétorqua Nazzar.
À se moment précis Coutelas sentit un coup de vent dans son dos. Il eu juste le temps de donnel un coup de pied à l'assasin qui tentait de le piquer au coup. Pour ce coup, il avait du se tourner de moitié et retirer son sabre Nazzar. Quand il se retourna vers lui, il le vit courrir dans un couloir. Quand il se tourna à nouveau pour voir l'autre assassin, il avait disparu. Coutelas jura une fois énormément, mais ça ne servais à rien si ce n'est que de se faire repérer, il arrêta.
Coutelas se rappela que Kunaï lui avais assuré que les vikings n'avais rien, juste que Otsung avait été éliminé. Celui-sortait du passage secret qui menait dans la pièce d'eau des vikings. Comment ne l'avais-t-il pas vu entré ? C'est alors que Coutelas se rappela d'un autre passage secret dans la suite viking qui donnait dans un hall... d'une autre aile du palais. La partie s'annonçait dure... Kunaï, qui revenait de fouiller le couloir devant les viking, et attiré par le juron de Coutelas arriva.
« Je viens d'un repérer deux, lui dit Coutelas, vu la facilité que j'ai eu a les détecter, ce doit être des apprentis
- deux apprentis ne viendraient jamais seuls aussi loin des terres la moratong, en conclut Kunaï. Il doit donc y en avoir au moins un troisième. Peut-être un maître.
- Ce qui veut dire que ...
- Fen-zen et ton apprenti qui gardent les gothiques sont en danger. On fonce.
- Et les vikings ?
- S'ils voulait les tuer, ils l'ont déjà fait : ce sont des empoisonneur. Il faut les capturer, ils ont toujours l'entidote sur eux, dit Kunaï en courant.
- Et ils vont à coup sur chez les goths. "semer le doute" est leur mission. »

---

Les gothiques était des sanguins, disait-on. Ils s'énervait pour un oui ou pour un non. Mais quand ils était seuls, ils étaient plutôt calme. Très calme en fait. Fen-Zen n'avait entendu que les prières gothiques au soir. « Les gothiques ne se battent pas assez entre eux, alors ils se défoulent sur les autres » pensa-t-il alors. Puis un silence glacial était tombé en même temps que la nuitée, et il ne s'était plus rien passé depuis. Sauf cet homme encapuchonné qui s'avançait vers la porte des gothiques. Il marchait calmement, comme s'il était du palais. Mais on ne trompe pas Fen-Zen si facilement : les tloxcolèques portes des manteau de toutes les couleurs — tel un peuple de bouffons — et cet homme portait une grande cape vert foncé. Fen-zen descendit de la corniche qu'il avait choisi pour surveiller, et se glissa derrière l'homme, il posa sa lame sur son dos et lui dit :
« Tout doux l'inconnu. Qui est-tu et que vient-tu chercher ici ? »
L'homme se figea et resta silencieux.
« Réponds ! » menaca Fen-Zen.
L'homme persévéra dans son mutisme. Fen-Zen s'énerva et fit pivoter l'homme de face en tirant sur son épaule.
« Répond, ou je …»
Il n'eut pas le temps de finir, l'homme en se tournant l'avais piqué au bras. L'erreur de débutant : avant même que ses pupilles ne fassent le tour de ses yeux, il était évanouit. Le maitre Ossan rangea son dart et se dirigea à son aise vers la porte gothique. Alors même qu'il touchait la poignée, Kunaï atterrit du plafon derrière lui. Kunaï n'avait pas été discret, mais il ne pouvait laisser l'homme entrer : il devait aller vite. Le maitre Ossan compris qu'il avait affaire à plus compétente personne et se dégagea vite vers le côté opposé d'ou Kunaï. Malheureusement pour lui, Coutelas n'était pas un apprenti : il n'avait pas suivi Kunaï — qui de surcroît se déplaçait sur la corniche — et avait pris un passage secret qui débouchait au delà de la porte gothique. À peine le maître était-il dans le couloir face à Kunaï, qu'il lui porta un coup au dos. L'empoisonneur sentit venir l'attaque et tenta d'esquiver, mais c'était un peu tard, et Coutelas était un escrimeur hors pair : il dévia son coup vers les hanches du maitre, ce qui le toucha et lui trancha son baudrier. Le maître rattrapa son baudrier au vol, mais deux fioles tombèrent. Kunaï et Coutelas étant déjà sur lui, il décida de battre en retraite. Il lança un dart vers Coutelas. D'un coup de pied au vol, Kunaï dévia le dart, évitant ainsi de se retrouver seul. Coutelas s'arrêta net pour ne pas se prendre Kunaï dans la figure. L'homme encapuchoné était rentré dans un passage secret : la porté était toujours ouverte. Coutelas voulu le suivre, mais Kunaï le retint :
« C'est trop dangereux : s'il tend un fil empoisonné là-dedans, on est fait.»
Coutelas fonça vers le hall ou débouchait le passage qu'avais emprunté l'empoisonneur. Tandis Que Kunaï se pencha sur les deux fioles à terre…

---

Évidemment texte qui a été oublié d'être posté et qui est primordial, et que je n'ais pas ici… Sachez juste qu'une des fioles s'appelle « Le mort qui hurle », et permet de réanimer les personnes assomées. Kunaï ranime Fen-zen. Je reposte ça dès que je peux.

---

Alors que Kunaï, Coutelas et Fen-zen attendent que les empoisonneurs reviennent terminer leur mission chez les gothiques, Ang et Lin'g arpentent les couloirs dans le but de repérer les deux apprentis empoisonneurs. Sachant qu'il avait affaire à des Ossans, il dûrent fouiller l'intégralité des lieux où ils passaient pour ne pas se faire surprendre. Après plusieurs de fouilles intensives de bas reliefs, de passage secret, de fougères décoratives, toutes aussi infructueuses les unes que les autres, ils décidèrent de revenir auprès de leur maître*.
« Une nuit blanche à fouiller pour rien, dit Ang. Comme on les a découverts, je doute qu'on les revoient cette nuit : c'est plus sur de revenir la nuit prochaine.
- Méfie-toi ils ont peut-être des délais. répondit Lin'g. Et s'il ont déjà empoisonné les vikings, ces paranoïaques de goths vont détaler sans qu'il puissent faire leur mission…
- Bah, s'il voulait vraiment tuer les vikings, ils auraient utiliser un poison foudroyant. À quoi ça leur sert de les tuer lentement ?
- À quoi ça leur sert de rentrer chez eux et de les laisser intacts ? Je ne comprends par leur objectifs, c'est ça qui m'inquiète…
- Peu importe… »
Ce n'est pas le moment de discuter : les empoisonneurs sont toujours dans le bâtiment, et une flechette empoisonnée atteignet le cou d'Ang. Ang se retourna et s'effondra. Ang et Lin'g étaient arrivés près des goths. Kunaï, Coutelas et Fen-zen surveillaient les goth, et les empoisonneurs les surveillait. Lin'g souffla l'alerte et se mis à couvert.

Coutelas et Kunaï entendirent le signal.
« Je reste là. Dit Coutelas. Vous deux allez discrètement voir de quoi il en retourne. » Kunaï aquiessa, et fit signe à Fen-zen de le suivre. En arrivant sur les lieux du cri, ils remarquairent trois choses : Ang gisait à terre, Lin'g s'effondrait, un homme sortit du mur en face. L'homme ne les vit pas. Il se contentat de fouiller les deux victimes, puis siffla dans l'ombre : « Ils n'ont pas la mort qui hurle ». L'ombre répondit quelque chose d'incompréhensible pour Kunaï, mais il était clair qu'il avait rencontré récemment le maitre empoisonneur. Kunaï dit à Fen-zen de se tenir en position pour tomber sur l'Ossan, puis il entreprit de traverser le plafon pour s'approcher de l'homme tapis dans l'ombre. Cette fois il put le distinguer nettement. Petit, avec un grand manteau noir pour se cacher, on entendait le cliquetis de ses nombreux flacons, quand il sotit l'un d'eux.
« Mieux vaux ne pas prendre de risque, mon cher Vermon… On les achève », dit Nazzar, l'homme dans l'ombre. Kunaï réagit au quart de tour à cette assertion et d'un geste de la main ordonna Fen-zen de tomber sur ledit Vermon, tandis qu'il fondait sur l'autre. Fen-zen tomba dans le dos de vermon et l'assoma d'un coup sec à la nuque. Kunaï eu plus difficile avec le sien, puisqu'il avait dos au mur, mais toutefois, un bon coup de pied en l'air résoud bien des problèmes. Nazzar fut plaqué au mur, et n'eut pas le temps de reprendre son souffle, que Kunaï l'envoya voler par une prise de main. Toutefois, il ne fut pas assomer et se releva sur-le-champ. Il sortit une autre fiole de son baudrier, et la projetta à terre. Une énorme fumée s'en échappa. Elle était si épaisse qu'on aurait cru que le plafon s'était effondré en poussière. Heureusement, après quelques secondes, elle était déjà fort dissipée.
Nazzar était derrière Fen-zen, une pique enfoncée au dessus de sa hanche. Une seconde passa le temps de rendre compte de la situation, mais Fen-zen resta stable sur ses pieds. Il sourit. Ayant incurgiter la mort qui hurle, il était insensible à des doses normales de somnifèrent. Il donna un coup de pied en arrière pour se dégager, et Kunaï s'élanca vers eux. Nazzar se retourna pour fuir, mais il était dans la direction du couloir viking, et Coutelas débarqua à son encontre. Il était pris au piège. Il avait déjà gaspillé sa potion de fumée et n'en avait pas d'autre : c'est cher ces trucs-là. Toutes les entrées de passage secrets était derrière les Ossans de l'empereur Tsékélkan.
« Bravo, confrère, vous m'avez eu. dit-il. Je suppose qu'on doit négocier le prix pour que je parte en paix.
- Fen-zen, les Gothiques » ordonna Kunaï comme s'il n'avait pas entendu nazzar.
Fen-zen s'éxécuta et marcha prudemment le long de Nazzar pour aller surveiller les goths.
« Jette ton baudrier. Ordonna alors Kunaï à Nazzar.
- Ce ne sera pas néc…
- Jette ! »
Nazzar s'éxecuta, et Kunaï en profita pour administrer de la « mort qui hurle » à Ang et Lin'g. Les yeux de Nazzar brûlèrent de rage en voyant la fiole. Ang fut le premier à hurler, d'un hurlement aigu de douleur. Puis Lin'g hurla à son tour comme s'il s'agissait d'un hurlement de folie ou de rage. Fen-zen fut le troisième à hurler, d'un hurlement de surprise et d'inconpréhension. À ce troisième cri, Coutelas fit volte face, et vit que fen-zen venait de se faire prendre par un fil empoisonné. Le maître était là ! Mais on ne le voyait pas. Nazzar profita de la confusion pour reprendre son baudrier et bousculer Coutelas pour fuir. Mais coutelas retint son équilibre et le frappa au dos. Nazzar tomba à genou. Une flêchette vola vers Coutelas, qui l'évita justa à temps. Nazzar se redrassa et couru vers la statue d'où la flechette fut lancée. Une ombre sortit de cette statue et s'engouffra dans un passage secret. Ang et Lin'g avait vomis, et se redressait. Coutelas s'élanca vers l'ombre. Kunaï lanca un dart vers Nazzar. Coutelas atteignit la porte du passage secret. Elle s'ouvra à la volée, et le maître assassin emergea et planta une dague dans son ventre. Le dart de Kunaï atteignit Nazzar, qui tomba. Ang et Lin'g s'élancèrent et s'arrêtèrent net en entendant des voix derrières. Des voix étrangères qu'il connaissent bien. Des voix Changpas.

PS: Flynt, tu n'as pas à t'inquiéter : tu as acheté les services d'un maître Ossan, qui a lui tout seul vaut à peu près tout les Ossans de Tsékélkan…
PPS: Je te laisse les 5 secondes suivantes à toi, vares. Sache juste que les Ossan vont s'allier, et que Coutelas, Nazzar et Vermon vont être réveillé avec la « mort qui hurle ». Fen-zen est définitivement hors-jeu.

Ce coup là, les Ossans ne l’avaient pas vraiment vu venir… Face à eux, vêtus de noir, se tenaient huit Changpas en armes et non des moindres. Si quatre d’entre eux étaient inconnus au bataillon mais paraissaient être de coriaces Thagis, les autres furent rapidement reconnus :

Rabten, le moine tueur qui avait déjà régler leur compte à bon nombre d’Ossans qui avaient tenté de s’infiltrer dans le grand monastère de Chempa, faisait craquer ses phalanges d’un air paisible qui ne laissait rien présager de bon.

A côté de lui, deux silhouettes droites restaient à proximité l’une de l’autre. La chevelure argentée de Kelsang, le héron de Wukong, le Vingtième Kensaï, ne passait pas inaperçu dans la nuit, pas plus que les reflets de son épée légendaire. A sa droite, c’était la beauté vipérine de sa fille Tsai qui rayonnait. On racontait que la souplesse de ses membres blancs n’avait pas de limites et que la grâce de sa danse des lames envoûtait ses adversaires avant même qu’ils aient eu la gorge tranchée par l’un de ses deux sabres. Le tableau de chasse de ce duo était impressionnant et regorgeait de puissant maîtres ossans.

Et nul autre ne se trouvait à la tête de cette petite troupe que le Khangarid en personne, le Tigre de Lenghur, Vares et son éternelle mine amusée. Cette rencontre était pour lui l’occasion parfaite pour inaugurer son nouveau hochet de mort. Il dégaina alors lentement et cérémonieusement son sabre de duelliste oko, une merveille comme on en avait rarement vu en dehors de l’archipel d’Okoti.

Pour les Ossans rassemblés face à eux la rencontre aussi serait décisive…Soit ils périraient lamentablement face aux quatre meilleurs guerriers des terres changpas, soit ils parviendraient à éliminer une grosse épine dans le pied de la Moratong qui leur en serait sans doute très reconnaissante…

« Bon…, comença Vares, vous allez limiter les dégâts. Rendez-vous céans et on pourra tous bientôt retourner se coucher sans casser d’avantage de mobilier… »

Sur ces mots, les quatres Thagis qui étaient restés en retraits s’avancèrent et formèrent une ligne de défense. Chacun d’eux était armé d’une arbalète à répétition dont les munitions avaient été enduites de poison et qu’ils braquaient sur les Ossans…


HRP : Un Thagi et les deux maîtres alchimistes sont encore cachés non loin de là et attendent de voir si les Ossans attaquent. Si c’est le cas, ils balanceront trois ou quatre grenades dans leur dos pour faire diversion et ainsi donner l’avantage aux autres Changpas, avant de disparaître et retourner à leurs quartiers. Je rappelle que le but des Changpas est de capturer l’un des Ossans pour pouvoir l’interroger et tuer tous les autres s’ils résistent.

Tarik sonda l'empereur de ces yeux foncé... il avait la tête bouillante et ne rêvait que de couper la tête de qui que se soit pour se défouler... Et il allait de faire, quand une voie de femme retentit.

"-Noble empereur... Comprenez mon père... il est venu ici à pied depuis les terres Gothique ou il s'était rendu pour tenter, une fois de plus, d'éviter une guerre totale entre notre peuple et les eunuques... Et maintenant, on le menace, on tente de l'utiliser et on sent les nuages s'amasser sur notre faction. C'est pourquoi il ne peut pas garder son calme.
Ne soyez pas dupe, nous sommes ravis de votre hospitalité, mais les circonstances ne sont pas les meilleures... Vous comprenez, bel homme masqué? -fit-elle, en lui lançant un regarde chargé de promesses-
Alors écoutez mon père...."

Tarik se dit que sa fille avait servi à quelque chose et que, décidément, il avait été béni par Sif pour en avoir une ainsi.

"Oui, oui, ma fille résume bien ma pensée. J'apprécie l'accueil me me faire menacé par une arbalète ne m'anime guère... Et vous avez raison, notre mésentente ne profiterait qu'à la confédération. C'est pour celà que je n'ai pas encore quitté ce palais en laissant une tracée de sang sur mon passage.
Mais assez de paroles, un gothique nous attend. Et Je ne l'ai fait que trop attendre. De plus, lui et ces semblables ont assassiné de mes hommes, acte dont lequel ils n'ont jamais répondu. Allons!"

Et Tarik se dirigea d'un pas courroucé vers la porte menant vers le jardin ou les attendait le Hochmeister et ces hommes.

HRP: pour arrêter Tarik, taper 1, pour que celui-ci tue Bisol taper 2, pour parlemementer, garez vous!

HRP:Vares va parler à ce moment...donc pas de précipitation.

HRP : 2 ^^

j'attends la réponse de Vares avant de faire quoi que ce soit.

À noter, aussi, que les Ossans ont toujours un rôle à jouer, qui peut influencer vos complots.

Les Ossans se rendre à des Changpas ? C'est une plaisenterie ou quoi ? Ils sont encore pire que le KGB, ces gars-là… C'est comme de demander à un gothique de se rendre à des impériaux. Tu crois vraiment que j'ai le choix ?

Les deux clans Ossans étaient en mauvaise posture. Dispersé, ennemis, et avec plusieurs membres inanimés. Heureusement, les Ossans avait un code d'honneur très strict. Ce code disait qu'il devait temporairenent s'allier pour satisfaire des objectifs primordiaux de la guilde. Et un de ces objectifs était simple : vaincre les changpas, et leur enseignement pacifiste des arts martiaux. Pas un mot ne fut échangé c'était d'entente commune. Le maître empoisonneur mis la main à son baudrier, et tout les autres comprirent. Ils posèrent en même temps leur dague devant eux, signe qu'ils se rendaient. Ils était maintenant à genoux, la main au sol, avec la dague devant eux. Et champ libre pour depuis le maître vers les changpas. En un éclair, il tira une fiole de son baudrier, et la jetta vers eux. Les Ossans se redressèrent d'un bond. Les changpas, pas vraiment surpris, se séparairent sur le côté du couloir, ignorant le contenu de la flasque.

C'était une potion de fumée. Vares vit le maitre assassin sortir une autre fiole, puis fuiiiiiiiiiiiii ! il ne voyait plus à 50 centimètres devant lui. Puis il entendit l'explosion de deux grenades. Ses deux alchimiste qu'il avait posté avait estimé qu'il fallait tenter de faire sortir les Ossans de leur brouillard en leur lançant des grenades. Mais en tirant à l'aveuglette, il perdait l'abilité de faire de vrai dégats. Ils pensait aussi que la lumière ferait repérer les positions Ossans, mais la fumée était trop forte.

Les 8 Changpas n'osait s'aventurer dans l'opacité : c'était clairement un terrain favorable au Ossans. Puis, ils entendirent deux hurlement strident. Deux morts qui hurlent. Deux nouveaux adversaires à combattre. Deux nouveaux problème à gérer. Et peut-être plus encore, s'il n'agissait pas.

HRP: Si tu t'aventure pas dans le brouillard et attends, alors il se lève et tu ne trouve personne, sauf Fen-zen.
PS: pas de chance je pensais aussi faire diversion… maintenant c'est vraiment la foire de marché.
PPS: Changpas/Ossan c'est vraiment du Jedi/Sith…
PPPS: Du poison sur tes carreaux ? T'exagère pas un peu là ? Une dague, d'accord, un archer-sniper, à la limite… Mais sur une arbalète à répétition, c'est juste pour te ruiner. Tu crois qu'on produit du poison efficace comme on ceuille des pommes ? Surtout que tu veux en capturer un, là… Que feras-tu si tu les tues tous ?
PPPPS: Fen-zen est hors-jeu, mais pas mort.

HRP : +1 pour tous les PS de Heinrich