Une future grande fête

Bisol von Sint-Omer a écrit:

N'oublies pas que j'arrive aussi, et à cheval !

Heu, t'as pas peur qu'on les "perdent" à oltèques dans une ville qu'on connait pas ?

Non, parce que ce sont que des mâles castrés et que si ils les touchent on leur croisade la face

Bon...et si on avançait dans le rp plutôt que de parler d'organes équins ?

Pendant que les chefs d'états se réunissaient ou tout du moins faisaient route vers le mariage de Tsékelkan, un bateau voyageait, bien plus au nord. Il avait une forme que personne dans Pandréa ne connaissait, d'un bois tout à fait différent de tout ce qu'on peut connaître sous nos longitudes. A son bord, des guerriers tout en noir évoluant dans un silence tombale. Ce n'était pas une élite, c'était la crème de la crème. Les vingt meilleurs soldats de la Confédération. Sélectionnés après le tournoi des dix, une compétition où le vainqueur est déterminé après 10 disciplines variées, allant de la course au tir à l'arc en passant par l'acrobatie et l'escrime, ces soldats n'étaient pas des rigolos. A eux seuls ils pourraient tenir contre une bonne troupe bien entrainée et les mettre en déroute sans se fatiguer. Après des années de guerre et d'entrainement, c'était des durs.
Pourquoi une telle élite, loin au nord, voguant dans des mers où il ne passait personne et tentant de ne pas se faire remarquer? La réponse vient peut-être de la cale, remplie d'or. Détails cocasse, cet or provient des tribus perçus par la Confédération lors du siège de Tyrstädt. Mais que fait-il là, en direction de l'ouest, plus au nord que l'île des okotis? Peut-être simplement est-ce le prix demandé par les ossans pour un petit assassinat...

HRP: ben c'est à Bisol de faire avancer le rp, en postant sa réponse ^^. C'est à lui de venir et tant qu'on en parle, qui remplace Tarik s'il ne se connecte pas (à cause des examens je suppose).

HRP; les confédérés connaissent les ossans ? Pour se faire, n'aurait-il pas fallu que vous attaquiez les chngpas ou Thragrypto ? Car ce sont les seules factions directement en contact avec eux, de plus les ossans n'ont jamais tués au delà des terres changpas, thragryptéennes et impériales.

HRP: 1) La confédération est la faction la plus avancée d'un point de vue intellectuel: ils ont de bonnes connaissances de la géographie et de la démographie de Pandréa. 2) Les Ossans sont des mercenaires, ils ont besoin de se faire connaître en dehors de leurs frontières.

HRP: c'est bienvrai mais vu que je les ai travaillé (bon il y a un petit temps j'avoue), ils n'avaient jamais perpétrés des meurtres au delà, des terres changpas, impériales ou thragrypténnes (et tous les territoires sans nom dont je dois faire l'historique). Enfin, libre à la confédération de les engager mais je rappelle juste un détail, préviens-moi par MP pour ta cible (j'agirai comme le grand maître ossan pour te dire les forces à ta disposition ^^) sauf si Nazarios a le temps de se refaire un compte entretemps (ça m'étonnerait vu ses exams) et SURTOUT pas d'assassinats de personnalités trop importantes comme Bisol, Belzébuth, Heinrich, Tsékelkan, Liliana, L'incarné (bien que lui ce soit discutable), Vares, Serre d'aigle, Tarik (et là pour ses lieutenants, je ne connais pas assez pour dire lesquels sont trop importants pour mourir). C'est tout mais évidemment, tu peux quand même le proposer, le grand maître sera peut-être de bonne humeur

HRP: Merci Vares. Et non, t'en fais pas, j'ai une idée bien précise derrière la tête...

HRP: connaissant tes actions passées, je ne peux qu'espérer ne pas être concernés

HRP: le fait que se soit sur un poste que tu as créé devrais te mettre la puce à l'oreille.

effectivement, heureusement pour moi que je connais déjà les ossans et que je les paie rubis sur l'ongle Néanmoins, peut-être désires-tu profiter de la présence de nombreux chefs d'états au mariage pour éliminer un pion gênant ?

HRP: on va peut-être tenter de continuer le rp ^^

Le 27 février 1250

Tsékelkan attendait dans la salle du trône, deux des personnages les plus importants de l’empire. Deux autres hommes dont l’importance égalait celle du trône impérial et des grands prêtres des cultes. Soudain, le premier fit son apparition, Tsékelkan ainsi que tout le palais l’avaient entendu arriver, il s’agissait du chanteur guerrier ; Kloc’kar.
Celui-ci avait ouvert la porte nonchalement tout en chantant une chanson (imaginez l’air de Toréador) dont les paroles inspiraient la félicitée de l’empire, la gloire de se battre pour celui-ci, l’appel de la patrie. Kloc’Kar ; un véritable monstre de muscles, haut de près de 2m, portant une immense arme originale puisqu’il s’agissait d’un instrument unique faisant, tambour, trompette et guitare. Certes, toute personne non-habituée ne pourrait guère apprécier cette musique si originale puisque généralement il jouait les trois en mêmes temps. Kloc’Kar était l’un des commandants d’une des armées qui avait servi sous Tenoch et bien qu’il lui avait été fidèle, il avait tourné sa veste aussitôt dès l’arrivée d’un autre empereur car en effet à ces yeux, seuls comptaient le devoir de la patrie et du courage des jeunes recrues. L’air souriant comme à son habitude mais les yeux exprimant une sagesse connue, il s’avança jusqu’au trône où après les échanges de politesse d’usage, il partît choir dans un coin de la pièce en attendant l’autre invité.

Le second invité avait été beaucoup plus discret, déjà à son arrivée on pouvait sentir le vieil homme expérimenté qui avait participé à tout ce que l’empire avait pu subir depuis plus d’un demi-siècle. Un homme tellement unique, puisque pour être tranquille, il se faisait passer pour fou. Mais hélas, il est des hommes que l’on ne peut tromper malgré le masque que l’on porte et sa triste vie de folie était maintenant derrière lui pour à nouveau servir son pays.
Gar Staki tel était son nom, mais ne vous prêtez aucune illusion, de son apparence de vieux sénile se cachait l’un des plus grands génies stratégiques que l’empire eut porté dans son sein. Ayant aidé Cuixtli à préparer l’attaque de l’état gothique, celui-ci s’en était voulu pour la mort de tant de jeunes soldats à cause des défauts de son plan. Néanmoins, la volonté refaisait surface et empêcher un tel évènement de se reproduire était une chose qu’il allait devoir prévoir.

Les deux hommes une fois réunis, écoutèrent leurs empereurs qui les envoya aux frontières afin de s’assurer qu’il n’y aurait aucun problème pour la cérémonie. Ceux-ci furent évidemment remerciés par des cadeaux personnels de l’élève pour l’un et du camarade de combat pour l’autre. Le premier se dirigeant près de la frontière gothique où son moral et son bon vivre calmerait les troupes alors que le second partait au nord, organiser la défense au cas où les skaerlings tenteraient une manœuvre peu audacieuse. L’empereur put enfin se reposer et ne penser qu’à son mariage tant la sécurité du royaume était assurée.

Le 27 février 1250 (toujours)

Après le départ de ses deux hommes de confiance, Tsékelkan avait dû recevoir les différents gouverneurs de l'empire (du moins ceux qui étaient arrivés) après les formalités d'usage, ceux-ci avaient tous tentés de faire part de leurs problèmes personnels au nouvel empereur. caféia et Cacaotica désiraient savoir laquelle des deux serait privilégiée par l'empereur (décision extrêment ardue qui pouvait faire basculer l'économie impériale), les provinces agricoles désiraient avoir moins d'impôts et un accès libre aux engrais testés à Ixtiltia, les provinces le long du canal voulaient que Kloctala fasse participer ses connaissances au niveau des navires pour favoriser un commerce avec changpas et skaerlings, les cités jumelles désiraient savoir que faire face au nouveau territoire confédéré situé juste au dessus de leurs terres, Pantheria désirait faire un duel avec les guerriers jaguars pour prouver sa supériorité martiale, Toluca désirait savoir ce qui avait été décidé lors de l'envoi d'ambassadeur chez les gothiques et un tas d'autres subtilités qui ne firent qu'embrumer l'esprit de Tsékelkan tant ses gouverneurs se comportaient comme des enfants. Heureusement, une personne intervint pour tout faire cesser.

-"Saucisse !" Le colosse avait rugi tel un monstre affamé entrant dans une bergerie.
Tous les gouverneurs s'arrêtèrent de bouger et ne tournèrent que très lentement la tête pour voir un colosse se ruer sur le buffet.
Deux d'entres eux avaient failli mourir écrasés heureusement, ce monstre n'avait fait que les pousser pour commencer à engloutir les saucisses à la viande de Dinde avant de s'attaquer à celles de sanglier.
Tsékelkan avait entendu parler de ce fameux Chamuel Popoca mais il ne l'avait jamais entendu parler, il l'avait évité durant le règne de Tenoch.
-"Chamuel ?" osa-t-il prononcer alors que les yeux de tous les gouverneurs de la salle lui suppliaient de se taire.
Le colosse semblait absorbé par sa tâche gustative et n'avait pas entendu l'appel, Tsékelkan descendit du trône et s'avança vers lui avant de lui toucher le dos en criant "GARDE A VOUS"
La réaction fût plus qu'étonnante, Chamuel arrêta de se gaver et se mit plus ou moins au garde à vous tout en cherchant qui avait dit cela.
-"Repos soldat", Tsékelkan s'amusait de la réaction si étrange de cet étrange phénomène.
-"Moi peux manger saucisses ?"
-"Oui tu peux manger saucisses"
-"Ouais !" Et le monstre recommença à engouffrer ce qui restait du buffet
Tsékelkan ordonna doucement aux gouverneurs de sortir et demanda qu'on amène un autre buffet
-"J'ai encore faim" déclara Chamuel avant de roter bruyamment
-"Ne t'en fais pas le reste arrive, alors comment es-tu revenu ?"
-"Moi parti dans terres de mon peuple, moi avoir guidé les autres hommes puis moi avoir rencontré jolie femelle avec plein de poils"
-"Hein ?"
-"Moi avoir quitté escorte et moi être revenu dans empire avec copains"
-"Que quoi ?!" Tsékelkan venait de manquer de s'étrangler, d'autres Chamuels, il n'aurait jamais assez d'un buffet, " Et où sont-ils ?"
-"Eux derrière moi, moi avoir senti saucisse et être venu ici, eux pas loin derrière moi"

C'est alors que Tsékelkan sentit une secousse et vit l'eau et les jus de fruits trembler dans leurs verres et carafes. Puis la porte céda face à l'entrée d'une vingtaine de colosses similaires à Chamuel. Les premières pensées de Tsékelkan furent "vile catin, faut vraiment que je laisse la porte ouverte, ils n'arrêtent pas de la démolir puis ce fût, Oh mon dieu, 20 Chamuels !"

Tous se ruèrent sur le buffet à l'exception d'un seul qui reniflait bruyamment avant de poser ses yeux injectés de sang sur Tsékelkan. Et de foncer sur lui, Tsékelkan ne fut guère courageux, qui l'aurait été face à 20 monstres qui faisaient passer les tortures d'Adolf pour des jeux d'enfants.

-"Bonjour" prononça simplement le monstre
-"Euh bonjour..." Tsékelkan ne savait pas réellement comment agir face à ce monstre parlant d'une voix fluette
-"Veuillez excusez le comportement de mes enfants, ils ne savent pas résister à la nourriture"
-"Oh, euh, et bien qu'ils se servent, ils sont ici chez eux"
-"Merci beaucoup, vous savez il est rare que je les vois aussi heureux, à un point qu'ils en oublient de se battre entre eux et de taper sur tout ce qui bouge"
-"Et bien tant mieux, euh... le reste du buffet va arriver, puis-je vous demander qui vous êtes ?"
-"Oh moi, je ne suis que l'une des mères du clan hache-entrailles de Néandortia"
-"Excusez-moi mais je pensais que votre peuple était plus réticent à servir l'empire"
-"Effectivement mais Chamuel qui était parti de notre clan depuis des années est revenue en suivant l'une des nôtres et il nous parla abondamment des merveilles de l'empire et ça nous a donné envie de venir visiter un peu"
-"Et bien, vous choissisez bien votre moment, une grande fête va avoir lieu dans quelques jours, elle durera des nuits entières !"
-"C'est merveilleux , pour une fois que mes petits pourront s'amuser"
-"A ce propos, vous avez toute autorité sur eux ?"
-"Regardez. Les garçons... Couché !" La vingtaine de monstres de plus de deux mètres s'allongèrent brutalement sur le sol
-"Magnifique, comment avez-vous dit que vous vous nommiez ?"
-" Terrolica, pourquoi ?"
-"Madame, je pense que vos enfants vous pouvoir visiter l'empire tout en s'amusant, aiment-ils les déguisements ?"
-"ça fait en effet partie de leurs jeux pourquoi ?"
-"Et bien, si vous l'acceptez, je me ferais une joie de leur offrir des costumes qui les protègeront et qui leur donnera une apparence impressionnante"
-"C'est bien tentant mais il faudrait aussi nous loger sur place alors"
-"Ma maison est votre maison, si vos enfants savent se tenir"
-"Pas de soucis, à ce niveau-là, d'ailleurs en passant, voici un cadeau, Chamuel nous a dit que l'on collectionnait les caillous ici".

La colosse laissa tomber une immense pierre aux pieds de Tsékelkan. Celui-ci fît immédiatemment le lien; du fer ! Du FER ! Des rumeurs avaient dits qu'il y en avait dans l'empire par le passé grâce à l'un de leurs héros mais jamais ils n'avaient su d'où celui-ci venait.
-"Bah vous savez, les pierres ça se collectionne, vous en avez d'autres avec vous ou chez vous ?"
-"Chez nous, il y en a pas mal, mouais mais on ne s'en sert pas du tout"
-"Eh bien, ma chère dame, considérez-vous comme chez vous ici, la suite du repas arrivera sous peu et des serviteurs vous amènerotn dans des chambres, je vais me retirer, passez une bonne nuit"

Tsékelkan sortît de la pièce avec un tas de nouvelles idées, toutes plus dangereuses et terribles mais il devrait agir après son mariage mais qu'importe cette nouvelle découverte et un groupe entier de Chamuel le rendaient tout heureux.

HRP: Bon, on va éluder le passage de Tarik à Gnosia, disons qzu'il n'y a pas eu d'effusuion de sang et que Tarik et sa garde se sont rendu par leurs propres moyens à l'inviation de Tsékelkan, jugeant peu sain de voyager de concert avec des prêtres en armure.

Env. 20 Février 1250

Tarik, comme de plus en plus souvent dutrant les derniers mois, était de très mauvaise humeur. Il était allé toutes voiles dehors à Gnosia pour tenter d'éviter une guerre, et voilà qu'on l'invitait à un mariage dans une jungle txoqultèque. ça commençait à lui peser sur le système, surtout quand on lui avait de proposer d'y aller avec des Gothique. Tarik était contarié, mais il serait malvenu de refuser une invitation pareille, alors qu'il avait sous la main son escorte personnelle et son landskip, ce qui permettait de continuer le voyage jusqu'à Koluta et de là s'enfocner dans les terres de l'Empire.

Et donc, sous la pluie, tarik se dirigeait vers le palais pour un mariage d'un type dont il savait juste que c'était le nouvel empreur. Mais bon, avec ces 50 gardes, dont trois avaient le don d'Odin, il ne craignait pas grand chose.

La route fut longue, ennuyeuse et marquée par les combats contre les moustique et les regards ahuris des paysans voyant ce groupe en arme mais peu agressif envers eux se diriger, Tarik donnant à chaque rencontre avec de la milice locale la raison de la présence de sa troup et que non ils n'étaient pas des démons blancs ni qu'ils venaient piller, violer et tuer.

Finalement, c'est une troupe de vikings assoiffé de bières qui se présenta devant le palais de l'empreur en voie de mariage.

20 CHAMUELS?
Bon, rassure moi, ils ne savent pas nager, hein?

30 février 1250,

Le dîner s’était déroulé sans accrocs. Pourquoi y en aurait-il eu ? Tsékelkan était un homme raffiné, pour un Impérial, et sa fiacée avait au moins le mérite de flatter l’œil. Quelques plats et propos amicaux mais néanmoins futiles furent échangés ensuite de quoi des gardes avaient conduit la délégation changpa dans les appartements qui leurs étaient réservés.

Après quelques génuflexions réglementaires, on laissa finalement Vares seul dans sa suite. Lorsque la porte se referma derrière le dernier garde impérial en armure noire, le chef changpa jeta son sac sur le lit et examina la pièce. Tout était propre, luxueux, fin et beau. Voilà qui le changeait un peu de la crasse et de l’odeur de yak mouillé… Il remarqua pourtant le son creux que renvoyaient certains murs quand on les frappait et les courants d’air perceptibles à leur pied. Sans aucun doute possible, il s’agissait d’espaces prévus pour les espions de Tsékelkan qui préférait garder un œil sur ses convives.

Voilà pourquoi Vares préférait la douce puanteur de sa yourte…

Il s’approcha du lit et défit son gros sac de toile. Il en extirpa les vêtements qui lui serviraient pour la cérémonie, un vieux truc en soie verte brodée au fil d’or qu’il avait hérité de son père mais qui conviendrait sans doute mieux pour l’occasion que sa tenue de combat crottée. Puis vinrent les armes : plusieurs poignards, des dards à foison (ou plutôt, à poison) ainsi qu’un katana et un wakizashi okos. Et finalement le plus important…Une grosse demi-sphère de la taille d’un poing qu’il prit soigneusement entre les mains et huma avec tendresse…du thé blanc des montagnes…Avec du jasmin…En comparaison, Liliana, la future mariée, avait l’odeur d’un pet de chèvre quinquagénaire.

Un faible bruissement indiqua au Khangarid que ses compagnons venaient de le rejoindre, comme convenu, par le balcon. Ils pénétrèrent dans la pièce et tous s’assirent en cercle sur le tapis moelleux central. Vares les passa en revue :

Cinq d’entre eux étaient les meilleurs Thagis de sa propre tribu, des mystiques et des guerriers dévoués qu’il avait lui-même sélectionné après une série d’épreuves en arts martiaux et techniques de guérilla.

Le médecin et l’astrologue qu’il avait présenté à Tsékelkan étaient en réalité deux alchimistes de la province de Wang respectivement experts en poison et en confection d’explosifs.

Rabten, un chauve malingre, était venu directement de Chempa pour représenter le clergé. Sous ses airs chétifs, il s’agissait pourtant du meilleur moine-guerrier de sa province et il connaissait toutes les synergies utiles entre la médecine traditionnelle changpa et les arts des poings et des pieds. D’aucun racontait qu’il avait déjà sauvé le Gyatso, le religieux suprême, d’une tentative d’assassinat contre sa personne en tuant l’agresseur d’un simple index dans la gorge.

Les deux derniers représentants venaient de la province de Nanga. Et plus précisément de la capitale, Wukong. En fait il s’agissait du chef de la tribu régnante, le redouté et redoutable Kelsang et de sa fille, Tsai. Vares ne savait rien de cette dernière en dehors de sa beauté venimeuse, mais son père, lui, il le connaissait parfaitement : Le Vingtième Kensai, puisque tel était le titre que certains lui donnait, était son éternel et héréditaire rival. Tout les opposait : L’âge (La chevelure de Kelsang était d’une couleur argentée difficilement dissimulable), le caractère, la politique, et par-dessus tout leurs techniques ancestrales de combat qui s’opposaient depuis des siècles. C’était, en réalité, la première fois depuis une génération entière que le Tigre de Lenghur et le Héron de Wukong étaient amenés à collaborer sur une même mission.

Quoiqu’il en soit, Vares était confiant car tous étaient des combattants remarquables et de sages alliés. Autre avantage, tous parlaient la langue secrète des Thagis. C’est précisément dans cet idiome inconnu des espions potentiels que Vares s’adressa à eux :

« - Bien, nous voilà arrivés. Rabten, ton impression ?
- Les Ossans ne sont pas encore ici et leurs quartiers ont sans doute été placés dans une aile du palais opposée. Je ne pense pas qu’ils tenteront quoi que ce soit pendant leur séjour ici car ils sont trop heureux des cachets de leurs nouveaux clients impériaux pour risquer de leur déplaire. De plus il me paraît hasardeux de prédire quelle route ils emprunteront pour retourner chez eux à moins de le découvrir rapidement. Nous devrons donc tâcher de les pister après leur départ pour les cueillir quelque part dans la jungle et sans préparation. Si un seul d’entre eux survit, notre mission sera un échec… »


Les discussions se poursuivirent pendant plusieurs heures, dans la pénombre et la moiteur de la nuit tloxcolèque…

Le 21 février 1250:

La troupe de skaerlings était arrivée à Oltèque. Tsékelkan n'en croyait pas ses oreilles, les skaerlings étaient venus, certes ils étaient venus très nombreux et armés mais ils avaient acceptés de venir ! Le plan de Tsékelkan se mettait lentement en marche, les skaerlings étaient des alliés des changpas et n'avaient pas causé de tort à l'empire depuis quelques années. Autant dire qu'une alliance était possible et faisable.

Tarik n'était jamais venu à Oltèque, la ville était certes différente de Gnosia d'où il venait de séjourner un peu plus tôt mais elle dégageait au contraire de celle-ci une impression de paix et de calme bien que l'ambiance soit à la fête. Tarik fût accueilli par un petit homme à la peau frippé et au regard perçant qui lui demanda de le suivre à travers la cité pour rejoindre leurs quartiers. Tarik accepta bien que redoutant une embuscade ou autre à un moment donné.
Le passage dans la ville fût extrêment surprenant pour Tarik et ses hommes, les gens leur lançaient des pétales de roses et d'autres fleurs, plusieurs femmes et jeunes hommes leur apportèrent des verres de liqueurs ou des fruits et un orchestre jouait sur l'un des toits pendant leur trajet.

Ils arrivèrent finalement au Palais et quel palais. Un immense bâtiment s'élevant vers le ciel dont les marches semblaient être infinies. Ils suivirent le petit homme jusqu'à une pièce assez grande pour loger tous ses hommes. Dans celles-ci se trouvait une cinquantaine de lits remplis d'oreillers de plumes, de draps de soie et un buffet avait été dressé, plus de 5 cochons grillés avec du caramel attendaient les skaelrings sans compter d'autres spécialités; poulet à l'ananas, rat au chocolat et j'en passe. Les skaerlings se jetèrent sur la nourriture et les boissons comme des forcenés après tout, ils avaient fait un long voyage. Le petit homme signala à Tarik que l'empereur viendrait sans nul doute lui parler sous peu de divers sujets tous plus importants les uns des autres.

Tarik se détendit, l'un de ses hommes lui apporta une cuisse de poulet que Tarik ingurgita avant de goûter à la boisson locale, certes ce n'était pas aussi fort que l'hydromel ou leur bière mais qu'est-ce que c'était sucré et agréable. Ses hommes et lui s'endormirent ou profitèrent du buffet ou bien observèrent la ville en effusion par le balcon.

Tarik fût réveillé par l'un de ses hommes qui lui annonça que l'empereur allait arriver sous peu. Tarik réajusta son ceinturon, s'assura d'avoir son arme à son flanc et ordonna à ses hommes d'avoir une apparence présentable. Puis le nouvel empereur entra dans la salle. Il était certes plus petit que Tarik mais d'une assurance incroyable (bon en même temps on est chez lui pensa le kongr) et il avait un style étrange; une armure de cuir noire, des bottes en cuir noires, une cape rouge drappée d'or et de mauve et un masque d'obsidienne avec un casque qui le surplombait.

Cet étrange homme leur souhaita le bonjour et se présenta comme Tsékelkan, empereur des tloxcolèques, il était venu seul dans la pièce et sans arme apparente en tout cas. Il demanda de suite qui était Tarik, celui-ci s'avança d'un pas et se présenta, c'est alors que Tsékelkan avança et lui serra la main tout en le remerciant de sa venue et en lui racontant ce qu'il connaissait de lui à savoir la victoire de Tyrstad. Mais très vite, il demanda à Tarik si il pouvait parler de sujets plus sérieux, Tarik opina du chef (enfin quelqu'un qui va à l'essentiel pensa-t-il).

-"Bien, tout d'abord, je vous remercie d'être venu, noble Kongr Tarik. Je suppose que vous ignorez l'histoire de notre peuple alors je fais simplement vous faire un résumé simple. Depuis Woodtsock où Cuixtli fût vaincu, notre empire n'avait connu que deux empereurs, l'un qui régnait déjà avant la défaite, Cuxi et le second Tenoch qui s'est emparé du trône après Woodstock, je servis sous les deux mais j'aida le premier à reprendre son trône. Malheureusement celui-ci devînt fou et nous dûmes le tuer avant que sa folie ne nous pousse à attaquer les états voisins. Je n'ai pris cette place d'empereur que depuis peu mais j'ai déjà accompli certains actes dont vous avez peut-être entendu, le pacte de non-agression entre amazones, changpas, ossans et tloxcolèques ou plus récemment l'entrée de Thragrypto en tant que nation vassale de l'empire. Et c'est l'une de ses choses dont nous devons discuter. Je sais que vos forces voient en Thragrypto une proie facile mais maintenant qu'elle fait partie de l'empire, s'y attaquer revient à attaquer l'empire. Néanmoins je consens à vous offrir un dédommagement puisque vous ne pourrez plus l'attaquer". Tsékelkan claqua des doigts et 4 serviteurs entrèrent avec chacun un sac. Le premier contenait des pièces d'or tloxcolèques, le second des pièces d'argent, le troisième celle de cuivre et le dernier des pierres précieuses.

-"Voici, près de 10 000 pièces d'or en plusieurs monnaies, j'espère que Thragrypto ne figurera plus sur vos cibles. Cependant, il y a deux autres sujets dont je dois vous parler, le premier concerne les confédérés. Sont-ils réellement dignes de confiance, vous qui avez combattu à leurs côtés ? et le second, nos peuples sont en paix depuis plus de dix ans, ce pourquoi, je vous le demande en toute franchise, souhaitez-vous que nos peuples deviennent peuples frères ? Pour vous donnez l'exemple, nous sommes peuples frères avec les changpas depuis des siècles, nous nous respectons et nous entraidons mais nous n'empiétons pas sur leur territoire sans leur accord et nous commercons sans tenter de profiter de leurs faiblesses. Cet engagement est univoque, si vous l'acceptez, nos peuples s'entraideront pour toujours. Dès que quelqu'un vous attaquera, nous vous aideront, dès que vous aurez besoin de ressources nous vous les fourniront, l'inverse est aussi valable évidemment, j'attends votre réponse en toute franchise".

HRP: Voilà un petit rp avec de grandes conséquences ^^. Bon alors, Tarik, tu as 3 questions à répondre, 1) acceptes-tu de laisser Thragrypto en paix pour 10 000 PO. 2) peut-on faire confiance aux confédérés ? ET 3) Désires-tu devenir peuple frère avec nous ? Voilà j'attends tes réponses et n'hésites pas à détailler tes réactions en entrant dans Oltèque ou autre, j'espère que j'ai réussi à bien te représenter.

Pour toi Mithridas, rassure-toi, les 20 chamuels ne savent pas nager et de plus Chamuel est le plus fort d'entre eux ^^

HRP: Vares j'ai pas fini de tout lire mais les changpas ne sont pas espionnés ! Vous êtes comme nos frères, on vous fait confiance, ce qui est moins vrai pour les gtohqiues ou skaerlings

30 Février 1250

Tsékelkan avait apprécié le repas avec Vares et ses hommes après les dures semaines qu'il avait eu revoir un ami digne de confiance lui faisait du bien. Néanmoins, il devait parler seul à seul avec Vares et pour cela, il partît le voir dans ses appartements mais à son arrivée, il entendit des bruits d'une langue inconnue, il n'avait pas fait posté d'espions car il avait réellement confiance en Vares et sa suite. Cependant, il ne se comporta pas comme un moins que rien et toqua à la porte en demandant s'il pouvait rentrer.

Vares, lui demanda un instant avant de laisser Tsékelkan entrer dans la pièce.
-"Mon ami, nous devons parler de choses que même mes hommes et ma femme ne peuvent entendre."
-"De quoi s'agit-il ?"
-"Du territoire confédéré qui se trouve au dessus de l'une de mes provinces, mes hommes n'ont pas confiance en ces personnes et je ne sais que penser d'eux, pourrais-tu me dire ce que tu en penses ? De plus, il fallait que je te prévienne que Thragrypto est devenue une province impériale, il y aura donc sans aucun doute une route commerciale qui passera par ton pays, je te fais confiance pour t'assurer que les marchands s'aquittent bien de leur taxe et d'un comportement correct à votre égard. Sinon, maintenant il me faut savoir surtout si ton peuple a besoin d'aide pour quoi que ce soit."

30 février,

Vares était heureux de pouvoir revoir son ami. Enfin quelqu’un de confiance à qui il pouvait se confier…

« La question thragyptéenne doit être réglée en accord avec mes principaux alliés : Les Skaers. Mais bien évidemment, si une route commerciale s’ouvre et que la paix s’installe je ne pourrais être qu’heureux…

Concernant les Tamascalais…Je ne sais trop quoi penser…Depuis que les deux territoires de l’Alliance leur ont été cédés, ils n’ont pas manifesté de comportement particulièrement étrange en dehors de quelques mouvements de troupes aux alentours de leurs frontières…Mais je ne leur fait pas confiance. C’est un peuple en plein essor. Ils sont prétentieux, ambitieux et particulièrement avides. La plus grande prudence me paraît être de mise…D’autant plus si le commerce entre l’Empire et Thragypto s’intensifie, cette bande de rapaces sournois aura encore plus de vues sur un monopole commercial de la région…

De plus, les Skaers et l’Oblast de Xodgorod ont déclaré la guerre au roi Uhr du peuple des marais. Si cette affaire n’est pas réglée rapidement, la Confédération pourrait bien profiter du relâchement au sud pour tenter quelques actions contre l’Alliance…Et n’oublions pas leur nouveaux alliés : Les Gothiques qui trépignent d’impatience de nous faire payer la débâcle de Tyrstädt et qui vendraient sans doute père et mère pour une telle occasion…

…Définitivement, je regrette de leur avoir cédé ce territoire, même si je l’ai fait pour sauver les Okos de leur triste sort…Ils nous ont apporté beaucoup de leur savoir en métallurgie et en pêche…Mais ils ont apporté plus de bouches à nourrir que je ne l’aurai cru…Et avec la perte d’un de nos territoires agricoles, nous risquons de glisser vers une famine si la saison des pluies est rude…

Si tu veux vraiment nous aider…serais-tu prêts à négocier les petits territoires fertiles que l’Empire détient sur les rives est du Grand Lac ? Et si oui, que demanderais-tu en échange ? »

HRP : J’ai modifié mon dernier rp. J’avais complétement oublié le traité de non-agression avec les changpas. Le rp fait office de présentation de ma délégation

Tsékelkan : Les territoires qui pourraient être négociés seraient les suivants : 46, 47, 48, 49, 50 ( pas forcément la totalité, bien évidemment.)
Lien vers la carte numérotée

HRP: vu que je n'ai pas la carte actuelle avec le nom des provinces vu que Bisol l'a, je ne peux pas céder les territoires mais j'ai une solution toute indiquée ^^. Sinon dès que j'aurai la carte, je te cedèrai les territoires qui n'ont pas de noms, tu seras libre d'en écrire le background.

Le 30 février 1250:

-"J'ignorai que ton peuple avait dû recevoir des hôtes supplémentaires. Je ne peux malheureusement pas te céder ces territoires mais je peux te donner l'accès à nos cultures. Notre peuple est ouvert et le tien est notre frère, si tu as un problèmes, nous en avons un. Je vais régler ce problème imméditamment."

Tsékelkan appella un serviteur, l'espace de quelques secondes plus tard, une jeune femme portant des rouleaux de parchemins entra et se prépara à noter.
-"Edit de l'empereur Tsékelkan, que toutes les provinces aident les terres changpas en donnant exactement 10% de leurs réserves de nourritures à ceux-ci. Que des caravanes soient créées afin d'aller aider nos frères. Tout gouverneur qui refusera de les aider se verra contraint à payer le triple d'impôts. Faites parvenir ce message aux gouverneurs qui sont à la capitale et qu'ils organisent cela immédiatemment. Vous pouvez disposer". Tsékelkan renvoya la servante.

-"Il me faudrait évidemment, une lettre signée de ta part en plusieurs exemplaires pour autoriser les différentes caravanes à distribuer ces ressources dans toute ta nation".

-"Par le passé, les gothiques n'ont causé que du tort à mon peuple, l'humiliant, le détruisant et l'opprimant. Puis Cuixtli nous permit de reprendre l'espoir. Nous aurions cru possible de leur tenir tête mais nous avons eu deux empereurs lâches qui ne pensaient qu'à leur survie. Personnellement, je suis contre une alliance avec les gothiques mais l'une de mes provinces est devenue partiellement chrétienne et certains d'entre eux désirent servir leur Dieu unique. Je ne peux les empêcher de faire cela. Néanmoins, rien ne m'oblige à ce que mon peuple suive le même chemin. La rancune contre les gothiques est encore vive dans beaucoup d'entre nous et moi le premier". Tsékelkan défit son masque et montra son visage à Vares.
-"Regarde ce que ceux-ci m'ont faits ! Non-contents de nous avoir battu, ils ont torturés ceux qui n'avaient pas réussis à fuir ou qui cherchaient à sauver des blessés ! Mon visage mutilé et brûlé est la preuve de leur cruauté !" Tsékelkan remit son masque.

-"Je ne veux pas la guerre avec les gothiques mais si ceux-ci manifestent des intentions hostiles envers ton peuple ou l'un de mes autres alliés, ils regretteront amèrement de nous avoir sous-estimé. A leurs yeux, nous sommes primitifs, et bien nous leur apprendrons que même l'homme civilisé craint la colère du jaguar lorsque l'on menace l'un des membres de leur meute. Pour mon mariage, j'ignorai si les gothiques ou les skaerlings tenteraient une attaque et j'ai donc fait poster une armée de près d'un million d'hommes le long de l'état gothique et des terres skaerlings, si la moindre action territoriale est engagée, ils craindront notre furie."

-"Je ne connais pas le peuple des marais mais vu sa proximité avec Thragrypto et leur mésentente, il semble que battre cet ennemi commun est une priorité. Dès demain, je ferai envoyer une lettre à plusieurs de mes légions et lorsque tu retourneras dans tes terres avec les nombreuses caravanes, plus de 200 000 hommes vous accompagneront pour soumettre ceux-ci. De plus, je ne connais guère l'Olblast de Xodogrod et me ferai une joie de les aider vu le respect que tu leur témoigne".

-"Pour les tamascalais, je ne sais que réellement penser d'eux, apparemment ils sont puissants mais ils sont hélàs très éloignés de mes terres. Je ne peux que tenter de voir s'ils désirent la paix avec nous mais de toute manière si ils entament une action contre nous ou nos alliés, nous réagirons avec force bien que nous préferions la voie diplomatique".

HRP: Si tu as d'autres demandes, n'hésites pas Vares

Tsékelkan a écrit:

Le 27 février 1250 (toujours)
-"Saucisse !" Le colosse avait rugi tel un monstre affamé entrant dans une bergerie.
Tous les gouverneurs s'arrêtèrent de bouger et ne tournèrent que très lentement la tête pour voir un colosse se ruer sur le buffet.
Deux d'entres eux avaient failli mourir écrasés heureusement, ce monstre n'avait fait que les pousser pour commencer à engloutir les saucisses à la viande de Dinde avant de s'attaquer à celles de sanglier.

Alors, là, c'est du tout bon !!! J'ai bien ris ! Bien que à mon avis, chamuel popoca qui bouscule quelqu'un d'affamé, ça doit plus le lancer que de le faire tomber...
Par contre la mère de Néandertia ne parle pas vraiment comme une Néeandertia : bon pour être plus clair, je traduis un bout :

Tsékelkan a écrit:

-"Salut... Grumpf." prononça simplement le monstre
-"Euh bonjour..." Tsékelkan ne savait pas réellement comment agir face à ce monstre parlant d'une voix fluette
-"Pardon manger mais beaucoup nous faim."
-"Oh, euh, et bien qu'ils se servent, ils sont ici chez eux"
-"Ouais. Je content, eux content, car eux pas se taper dessus ! "
-"Et bien tant mieux, euh... le reste du buffet va arriver, puis-je vous demander qui vous êtes ?"
-"moi mère des hache-entrailles. Moi deNéandortia"
-"Excusez-moi mais je pensais que votre peuple était plus réticent à servir l'empire"
-"Chamuel parler beacoup empire, nous partir voir empire, comme ça nous savoir"
-"Et bien, vous choissisez bien votre moment, une grande fête va avoir lieu dans quelques jours, elle durera des nuits entières !"
-"Ouais. Ca marrant. Nous content."
-"A ce propos, vous avez toute autorité sur eux ?"
-"Couché !" La vingtaine de monstres de plus de deux mètres s'allongèrent brutalement sur le sol
-"Magnifique, comment avez-vous dit que vous vous nommiez ?"
-"Moi Terrolica"
-"Madame, je pense que vos enfants vous pouvoir visiter l'empire tout en s'amusant, aiment-ils les déguisements ?"
-"Mouais ?"
-"Et bien, si vous l'acceptez, je me ferais une joie de leur offrir des costumes qui les protègeront et qui leur donnera une apparence impressionnante"
-"Ou nous dormir ?"
-"Ma maison est votre maison, si vos enfants savent se tenir"

Par contre, je suis comme Mithridas : 20 Chamuel ? Bon ok, ça peut être fun à jouer modulo
- N'essaye pas de te refourger du fer par des rp long et caché ! Tu n'est pas sensé en avoir. Par ailleurs, tu ne sait pas distinguer un caillou ferreux des autre, en pauvre inculte de la matière que tu es. Le fer je suis CONTRE. En clair et net
- Je suis contre aussi le fait que tu dirige parfaitement 20 chamuel. Il est normal, que les 20 chamuels obéissent à leur, mère... mais (comme tout bon chamuel)
* Quand ils tapent n’entendant plus rien, même leur mère, qui est obligée de les assomer pour les calmer.
* Chamuel est le seul un peu civilisé et qui sait parler une langue impériale. Même la mère ne devrait pas savoir. Rappelons, que les Néanterdia sont restés coupé du monde pendant... depuis un peu près toujours en fait - il est normal qu'il ne parlent qu'une unique langue qui leur est propre, et fort distincte des langues impériales.
* Lâché au combat, il différencient les gentils des méchant à la taille. Pas de différence entre un tloxco et un goth, juste un Néandertia et un autre. Donc lâché au combat, ça a l'effet d'un éléphant affolé qui massacre aussi bien ses propres troupes que celles adverses...

Tsékelkan a écrit:

Regarde ce que ceux-ci m'ont faits ! Non-contents de nous avoir battu, ils ont torturés ceux qui n'avaient pas réussis à fuir ou qui cherchaient à sauver des blessés ! Mon visage mutilé et brûlé est la preuve de leur cruauté !

Tu oublie le code d'honneur gothique qui les interdisent d'attaquer un ennemi désarmé. Et la torture n'est pratiquée que contre ceux qui ont des informations ou certains hérétiques (et c'est différent d'être païens, même si Heinrich ne fait pas trop bien la distinction en ce qui concernent les résident de l'Ordre). Les gothique ne tuent donc point les fuyards s'il lâchent leurs armes, et surement pas les brancardiers (Au pire il leur donnent un gros coup de pied pour les faire fuir). Ils ne font toutefois pas de prisonnier, je te l'accorde.

Tsékelkan a écrit:

Désires-tu devenir peuple frère avec nous ? Voilà j'attends tes réponses et n'hésites pas à détailler tes réactions en entrant dans Oltèque ou autre, j'espère que j'ai réussi à bien te représenter.

Oulà, la triple alliance. Ca va être la guerre Pandréacienne !
Vikings + Changpa + Empire vs Ordre + Tamascala.
J'espère tout de même, qu'il y aura plus de conflits d'intérêts !

Mithridas a écrit:

20 CHAMUELS?
Bon, rassure moi, ils ne savent pas nager, hein?

Alors, là, va falloir se mettre d'accord, parce qu'un seul incontrôlable est vachement différent de 20 sous contrôle Tsétsé, faut pas abuser... Et oui, du fer. Mais faudra le temps pour l'exploiter, ce gisement ne vous étant pas encore utile à l'époque. Donc, vas-y molo, 2 millions de soldats c'est déjà sympa je trouve, tout comme fric illimité et 80 provinces.

HRP: je préfère nettement ta traduction de la mère de Chamuel. Sinon pour vous rassurer (comme je l'ai dit au téléphone avec Ludovicus) Chamuel est le plus fort des 20 et ils ne se battent que pour la nourriture (vous n'imaginez même pas le gouffre ^^). Pour le fer, il se trouve que Bisol avait dit que je savais que j'en avais mais pas que je savais l'utiliser. Donc dans ce cas, mettons-nous d'accord, j'ai du fer mais je ne sais pas quoi en faire (si tu lis cela Ludivicus, c'était ma blague nulle du jour ).

Pour la torture, je ne dirais qu'une chose; Qui a tué Cuixtli ? Adolf, que fait Adolf à ses prisonniers ? Il les torture et malheureusement pour mon personnage, il était dans le même endroit que Cuixtli (vu que c'est son père) mais il a réussi à survivre.

Pour l'alliance, je suis en paix avec les skaerlings depuis bien longtemps que l'ordre et ceux-ci s'entendent aussi bien avec les changpas que moi donc pourquoi ne pas tenter une alliance ?